• When Arthur Conley asked the immortal question 'do you like good music, that sweet soul music', maybe he didn't exactly have the island of Jamaica in mind; nevertheless, the answer from that quarter was a loud and clear 'yes'. The cultural relationship between the USA and Jamaica had been in place long before, from jazz through r & b, and on into the age of soul. A whole generation of singers, players and mcs had grown up in thrall to the sounds of 1960s black America; indeed, in the 1950s Jamaican dancehall music itself had evolved by adapting shuffle-based r&b and boogie, with deejays like Count Machuki freely borrowing slang & lyrics from Harlem journalist Dan Burley's 'Jive' magazine, using that language to introduce and pep up their selections. The link continued through the early 1960s, with singers and vocal groups - Ken Boothe, Slim Smith & the Techniques, the Melodians, Roy Shirley - all engaging in impromptu cutting contests in ghetto locations like Back O Wall, in which the material they sang was drawn from the catalogues of such as the Drifters, Clyde McPhatter, and the ever-present Impressions. When 'soul' replaced 'r & b' in the affections of black American listeners, so rock steady and later, reggae, developed as Jamaican music kept pace with innovations on the US mainland. Through the 1960s, as US soul began increasingly to reflect the social concerns and political aspirations of the black working class, the same phenomenon began to register in Jamaican music. By the end of the 1960s, Jamaica could boast the presence of several singers who equalled in emotional intensity their US cousins, among them such as Ken Boothe, Alton Ellis, John Holt and Delroy Wilson, as well as groups like the Techniques with Slim Smith, Pat Kelly and others. Similarly, instrumentalists like the Meters, Booker T & the MGs and James Brown's band also had their influence on the development of reggae. This compilation celebrates that cultural exchange during the period 1973-1980, emphasising the fact that roots music doesn't have to be overtly Rasta inspired for the message to get across; indeed several of the songs here proved to be as suitable for Jamaican conditions as they were in the USA.
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    Déjà 10 ans de carrière pour les Black Seeds. Le groupe est devenu une figure incontournable de la scène néo-zéolandaise, cumulant les récompenses, les disques d’or et les platines. Leur titre « The Answer », de la compil « Best Seven Vol.2 » du label allemand Sonar Kollektiv, a tourné en boucle sur les ondes de Radio Nova l’été dernier. C’est après une année de création intensive que sort en France de leur troisième album « Into The Dojo » en août 2007, accompagné du retour en tournée des huit membres du groupe. La scène de la Bellevilloise se souvient encore de leur passage en septembre 2007. Dans la même lignée que Fat Freddy’s Drop, leur musique est un mélange de reggae, dub, funk et soul qui fait danser les foules. Pour la première fois, l’écriture des morceaux a été réalisée par tout le groupe, et Daniel Weetman rejoint Barnaby Weir au chant.
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    Après la première rencontre très réussie entre le chanteur américain Amp Fiddler et les monuments jamaïcains Sly & Robbie, deux nouvelles collaborations viennent enrichir la collection Inspiration Information du label Strut. Né en 1999 à Londres, Strut Records réédite des trésors oubliés des années 1970, du compas au disco italien en passant par la soul des Caraïbes, des vieux mixes de Kid Creole ou ceux du mythique Grandmaster Flash. Inspiration Information repose sur un concept simple : réunir en studio deux univers artistiques, l’un installé, incontournable, et l’autre plus jeune, encore peu connu. Puis observer ce qu’il se passe…

    La première des deux nouvelles galettes à paraître confronte l’exceptionnelle voix du Jamaïcain Horace Andy à l’électronique fantaisiste de l’Anglais Ashley Beedle. Dj acide house, remixeur acharné, élevé aux sound systems londoniens des années 1980, il fait ses classes avec les groupes X-Press 2 ou Black Science Orchestra. Leur rencontre donne naissance à des dubs aux sons improbables, des rythmiques électroniques soutenues sur lesquelles Horace Andy pose son flow légendaire. Un heureux accident qui pourra peut-être diviser sur la reprise d’Angie des Stones, mais procure une bonne bouffée d’air frais.

     


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  • Echo Minott, de son vrai nom Noel Philipps, est né en 1963 et a grandi dans le quartier Maverley de Kingston, Jamaïque. Il commença à chanter dès son plus jeune âge, apparaissant dans des compétitions entre talents locaux et lors de concerts à l’école. Sa carrière démarra en 1981 quand il enregistra l’album « Youthman Vibration » pour le légendaire producteur Prince Jammy à l’âge de 17 ans. Cet album ne fut pas commercialisé en Jamaïque et apparu sur le label Starlight basé à Londres, Royaume-Uni. Il enregistra aussi un album obscur sous son propre nom Noel Phillips. En 1982, il enregistra « Emilio Bimbo » avec Prince Hammer, qui prit en charge sa carrière sur son propre label Berris. Avec le producteur Jack Scorpio, il enregistra « Lazy Body », un titre précurseur dans la période Digitale, par le rythme composé par un beat machine, considéré par les puristes comme sacré. En 1983, il enregistra la tune « Ten Miles » pour son cousin, producteur Errol Marshall, première tune à être produite sous le nom Echo Minott. Ensuite, il enregistra son premier hit au Royaume-Uni « Man in Love » (Oak Sound) pour Dillinger et un album « Echo Minott meets Sly & Robbie » (Jam-Can) pour le célèbre producteur Georges Phang. Quatre de ces morceaux furent plus tard réédités sur un album intitulé « Echo Minott meets Frankie Paul » (Powerhouse) sorti en 1987. Du fait d’une forte popularité en tant que chanteur Dancehall, Echo commença à enregistrer pour beaucoup d’autres producteurs et réalisa son premier hit jamaïcain (single 7’’) avec le morceau « Love Problems » produit par Joe Gibbs. Il enchaîna sur un autre hit, « Farmer Man » pour le label de Henry « Junjo » Lawes, Volcano Records. En 1985, Echo Minott devint finalement une star internationale de Reggae avec l’énorme tube « Lazy Body », sorti sur le label Black Scorpio. Cette chanson fut numéro 1 reggae dans le monde entier et déboucha sur un album complet regroupant les différentes versions. Cette production est suivie par l’album « Rock and Calypso » pour le producteur Harry J, contenant les tubes « Lazy Body », «Rock and Calypso » et le puisant « Uncle Sam Country », qui raconte ses exploits lors de son séjour aux Etats-Unis. A cette époque, Echo était membre régulier de deux des sound systems les plus en vue Black Scorpio et King Jammy’s. C’est avec ce dernier que Echo produira ses prochains hits « Original Fat Thing » et « Put Your Hands Pon The Key » qui furent tous deux d’énormes tubes sur le nouveau et révolutionnaire riddim Sleng Teng. Des centaines des versions ont été enregistrées depuis l’apparition de ce riddim mais la version originale de Jammy’s reste définitivement celle avec les classiques de Wayne Smith, Tenor Saw, Jonnhy Osbourne et Tonto Irie. La popularité de Echo Minott s’est accrue lorsqu’il créa en 1986 ‘What the Hell the Police Can Do », sur le label Jammy’s, une référence à la réticence des forces de sécurité. Ce morceau fut de nouveau un hit atteignant le sommet des Jamaican Charts pendant trois mois consécutifs. Ce morceau fut précurseur, étant le premier à utiliser le rythme raggamuffin du Dancehall actuel et fut un morceau extrêmement controversé qui inspira de nombreuses versions tel que le hit « Babylon Boops » par Lovindeer. Cela amena Echo à enregistrer la seconde partie de ses propres productions dont « Me and My Girl Gone Back » qui fut aussi un tube international de reggae dancehall. King Jammy’s enchaîna ces tubes avec l’album « What The Hell » et aussi l’autre grand hit « Emmanuel Road », qui repris une chanson de vieux folk jamaïcain sur un rythme dancehall. De nombreux autres hits comme « Mr Ruddy » (Witty), « Follow Me » (Music Master), « Been Around The World » (Jammys), “Whip appeal” (Black Scorpio) et “Article Don” (Two Friends), assureront à Echo de rester un nom incontournable au sein de la scène reggae à la fin des années 80, début des années 90. En 1992, Echo quitta la Jamaïque pour s’installer à New York où il eu immédiatement un énorme hit international numéro 1 avec « Murder Weapon » (Signet) sur une version du rythme de Shaggy « Oh Carolina ». Quand l’explosion de la Jungle débarqua au Royaume-Uni en 1993/1994, Murder Weapon fut revisité dans un nouveau style et devint encore une fois un immense hit. De retour en Jamaïque en 1994, Echo eu de nombreux hits Dancehall avec des chansons comme « I Am Back », une nouvelle fois pour Jammy’s et « Sensitive » pour Mafia and Fluxy. Ensuite, il se retira du ‘reggae business’ pendant quelques années. Aujourd’hui, célébrant plus de 20 années de carrière comme artiste de reggae à succès, Echo a acquis un véritable statut de vétéran. Il s’associa avec The Rootsman pour enregistrer une sélection de Special Dub Plates en 2000 qui les amena à faire des tournées en Allemagne, Italie et Pays-Bas. En Mars 2002, il visita finalement le studio Third Eyes pour enregistrer de nouveaux morceaux produits par Rootsman. Trois morceaux – « How Could I », « Oh Jah » et le Dancehall ‘Anthem’ « Sharpshooter » (sur une version roots maison revisitée du Sleng Teng) sont le fruit de ces sessions qui sortiront sur Third Eyes Music par la suite. L’année 2005 est l’année de son retour médiatisé en Jamaïque et en Europe, avec la sortie de son album ‘Roots of Dancehall’ sur le label MAGUARI Productions et une tournée avec un des plus gros sounds européens, Soul Stereo. Il prévoit aussi des rééditions de oldies et de nouveaux morceaux, toujours en collaboration avec François ‘Djanko’, à découvrir prochainement sur le label NEW DIMENSION/MAGUARI Productions .
    Biographie par : Official
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  • Record date : 1978-79

    Playlist :
    Standing Firm
    The Black ''spy''
    Silver & Gold
    Straight To Cuddley's Chest
    Ital Light
    Laughing Babylon
    Wanted
    Copper Bullet
    Healing Of The Nation
    Joshua ''a'' Loaf
    I've Got The Handle
    Wariera Hill Rock
    Peace Treaty Special
    Pass The Pipe
    Sinners
    Smg Skank
    Bionic Skank
    Badness Never Pay

    Engineer : Maxie & Sylvan Morris & Errol Thompson

    Producer : Tommy Cowan

    Vocals : Jacob Miller
    Backing Band : Fatman Riddim Section
    Drums : Calvin McKenzie & Sly Dunbar
    Bass : Ian Lewis & Robbie Shakespeare
    Rhythm Guitar : Roger Lewis
    Lead Guitar : Chinna
    Keyboards : Charles Farquharson & Touter Harvey
    Saxophone : Jah Devon




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