The classic album "Groovy Joe" from 1970 features mostly instrumentals played by Harry Mudie's regular hornsman Jo Jo Bennett and the excellent studio band Mudies All Stars consisting of Winston Wright (organ), Val Douglas (bass), Gladstone Anderson (piano), Theophilus Beckford (piano), Jeffrey & Mikey Chung (guitar), Winston Grennan (drums), Bobby Ellis (trumpet), David Madden (trumpet), Vin Gordon (trombone) and Tommy McCook (tenor sax), to name a few. The under-celebrated Harry A. Mudie (born 1940, Spanish Town, Jamaica) has brought early reggae the most refined productions as he deftly combined sweet, tuneful melodies with heavy riddims. However, undoubtedly the most daring of his innovations in reggae music was to add strings to some records, an odd combination that he made work as can be witnessed by checking John Holt's classic "Time Is The Master" album. This reissue of Jo Jo Bennet's "Groovy Joe" album contains twelve original tracks and two bonus tracks and bring us timeless early reggae music in digital clarity. We're treated to wonderful moments and sweet memories from way back, still very entertaining and a joy to listen to. Many highlights on this set including a cut of one of Harry Mudie's best-known hits, the impressive "Leaving Rome", which features some of the best use of strings on a reggae record. Among the vintage instrumentals that were particularly popular as a source for revived dancehall riddims in the first half of the eighties was Jo Jo Bennett's "The Lecture". Here he revives his rocksteady hit (as "Lecture Me") to good effect. It's actually featured as an extended version with first the instrumental and then the vocal part. Other standout tracks are the up-tempo "Me And You", "What's My Color", "Velvet Mood", and a stunning cut of the Ebony Sisters' "Let Me Tell You Boy". This set fully underlines Harry Mudie's statement on the sleeves of his releases... "We make music, not noise!"
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Record date : 1970

Album style : roots, instrumental

Playlist :
Groovy Jo Jo
Leaving Rome
Lecture Me
Me And You
Calling You
Mother's Love
What's My Color
10 Steps To Soul
Velvet Mood
In The Nude
Let Me Tell You Boy
Sweet V
Going Home *
Canteloupe Rock *

Backing Band : The Mudies All Stars
Horns : Jo Jo Bennett

Si loin de nous, à la frontière de la Guyane Française et du Surinam, Prince Koloni, descendant de Marrons, ces esclaves auto-libérés, signe un premier opus sobre et délicat. Chapelet des rythmes qui l’accompagnent depuis son enfance (aléké, kaseko, bigi pokoe, reggae…), cette introduction affirme tout en simplicité le talent et l’aisance de ce galérien de la vie. Prince Koloni – il fut orpailleur avant de se consacrer uniquement à la musique – sait extraire la pépite. Authentiques, innocentes et surtout universelles, ses treize chansons portées par une voix sans artifices, cultivent un sentiment de proximité qui pourrait très bien nous rendre très familier cet album enregistré si loin de nous.
par Squaaly
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Note :

 
Después del EP “Runaway” que la situó como una de las voces Reggae Soul del momento, ahora se presenta íntegramente con su disco debut “My Type O Smoove”. El single “Cool Down”, extrañamente ubicado casi al final del álbum, expone a una mujer independiente y explosiva, mandando a la punta del cerro al ex novio. Esta descripción calza con Marlene, criada en una base militar yanqui ubicada en Alemania, es una mujer autónoma en la vida y versátil en lo musical. Tan versátil, que no se le asocia al Reggae hasta el 2005, año en que logra un exitazo con “We A Warriors” en colaboración con Marlon B. Como mencionamos antes, al hit le sigue el EP “Runaway” y hoy la musa del Reggae Soul se presenta con catorce tracks, su primer trabajo solista que cuenta con una producción musical impecable a cargo de los austriacos House of Riddim. Los mismos que un hace un tiempo musicalizaron el notable disco debut de Jah Meek (otro artista para poner ojo) quien reclutaría a Marlene en coros, hoy catapultan la carrera artística de Johnson y la acompañan en su gira europea instrumentalizando el “My Type O Smoove”. En sus reiteradas visitas al estudio austriaco, Marlene logró, además de terminar su primer disco, grabar material para una segunda placa que no sería de Reggae. Esto lo mantiene en reserva hasta haber lanzado y tocado este primer álbum que se encuentra a la venta en las disqueras desde mediados de abril. Big Up!
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Note :

 
Traduction Review permalink :
Avec la libération de l'album actuel « la sous-culture » célèbre toutefois toujours ceux volume « Dubtari » des Altona facilement tardivement, à temps son anniversaire de scène de an ans. Le volume a été fondé en 1998 et depuis lors peut sur un nombre considérable concerts être jeté un regard en arrière. Tandis que les itinéraires de club il a conduit ceux volume par l'Allemagne et l'Autriche et scènes de festival renommées (p. ex. Wutzrock cela de toaster, Summerjam etc.) devenir aussi déjà enregistré. Des Dubtari étaient il y a 10 ans un appui les volumes de reggae jamaïquains « Culture » dans l'usine dans les Hamburg-Altona et depuis lors ont suivi pour la première fois entre autres aspects avec Laurel Aitken et Burning Spear. « La sous-culture » est maintenant le quatrième album de studio « des Dubtari » et est un voyage gai par l'histoire de volume. Le son de reggae typique avec des impacts de punk et de Ska- est sa marque et avec des perches grasses, Bläsern, chanson parlée rugueuse argile de reggae et Soca Sud-Américains naît ce Dubtari-Sound charismatique, toujours la certaine sensation caraïbe fourni. L'album a été produit dans une régie propre et aussi publié sous la propre étiquette « Dubtari enregistrements » le 24.04.2009. Ici, des Ska et Hip Hop punkige se heurtent des impacts à des Soca et l'argile de reggae musique Sud-Américainnes. Et même si le nom de volume fait attendre quelques Dub-Passagen, celui s'est ainsi retenu assez le volume. L'Opener contient toutefois aussi déjà que wars quelques Dub-Passagen, précisément comme « des Dubwise » et « R085 le Dub » -. Convenablement à l'été de cette année des Ska et la reggae sont en premier lieu et étendent une chanson autour d'une chanson humeur de dance et envie sur le prochain été. Les Soca et les Latino-Sounds dispersent légèrement quelques-une une chanson et surprennent l'auditeur, puisqu'on ne y compte pas en réalité avec. Il est exactement la même chose aussi avec la langue : Il est râpé en allemand, anglais et même l'espagnol. À côté des thèmes joyeux le doigt est également soulevé. Ainsi par exemple avec la chanson « drogues », dans laquelle on déduit avec fumant la scène de reggae. L'album fait une humeur vraiment bonne et cela de chanson des Dubtari garantit chaque auditeur et de festival danser d'amener. Le titre « Dancing Shoes » convient par exemple très bon à la diffusion de la bonne humeur. Celui qui ici pas encore avec le pied mitwippt qui ne peut plus être aidé. « L'Africa » agit ici déjà presque étrangement, puisque la chanson commence avec des sons sphériques et ne rappelle pas du tout ainsi avec le chant africain angehauchten une reggae. Après court une minute, il continue alors toutefois déjà encore habitué. Très varié. Cette glace fait plus une envie sur ! Il y a par conséquent 9/10 points de moi.