• http://3.bp.blogspot.com/_al0kQKOnuvM/Rz4JpnesAuI/AAAAAAAAAIA/02d9Z6ce8wI/s320/kiran+ahluwalia+b.jpg


    http://www.kiranmusic.com/
    http://www.myspace.com/musickiran

    Kiran Ahluwalia is an Indo-Canadian singer who publicly performs her own musical arrangements of ancient Persian and Punjabi Ghazals, or poems. Kiran Ahluwalia won the 'Newcomer' category in the inaugural Songlines Music Awards (2009) - announced May 1, 2009 - the new 'world music' awards organised by the UK-based magazine, Songlines.
    wikipedia-logo.png

    Note :
    Tracklist :
    1. Vo Kuch (Passion) [Ghazal]
    2. Yeh Nahin (Wandering Dusty Paths) [Ghazal]
    3. Jhanjra (Ankle Bells) [Punjabi Folk Song]
    4. Rabh da Roop (Image of Heaven) [Nazm]
    5. Koka (Nose Ring) [Punjabi Folk Song]
    6. Yaar (News of My Loved One) [Ghazal]
    7. Ik Ranjha (My Longing) [Punjabi Folk Song]
    8. Kina Nere (The Unsung Ghazal)
    9. Meri Gori Gori (Yellow Bangles) [Punjabi Folk Song]
    10. Awara (Fickle) [Nazm]
    DOWNLOAD1.gif

    votre commentaire
  • http://medias.fluctuat.net/albums-covers/4/2/9/album-17924.jpg
    Découvrez la playlist Karlex - With All Due Respect (2009)

    http://www.karlexmusic.com/
    http://www.myspace.com/karlex

    Do you know Karlex ? Pour ceux qui seraient passés à côté, malgré la très bonne critique de son deuxième album sorti cette année, Dodb opte pour une piqûre de rappel. Comme son auteur, With All Due Respect (signé sous son propre label Lil' People records) est un mélange aux mille saveurs. Le genre qu’on n’enferme pas dans une case. D'origine haïtienne, Karlex a vécu à New York avant de s'installer il y a six ans sur le littoral du sud de la France, près de Montpellier. C’est là, face à la mer Méditerranée, qu’il a composé ses onze titres (douze avec le bonus), inspirés par tous ces lieux puisqu'il chante en trois langues : anglais, créole et français. Sur les pas de ses oncles et frères, il s’est mis à la guitare vers l’âge de onze ans. Mais c’est dans la composition et l’écriture de chansons qu’il trouve son élément. Ses influences : Les Stones, The Doors, Mickael Jackson, Bob Marley ou encore Fela Kuti.

    Tiraillé entre la culpabilité de vivre pleinement dans cette société de consommation occidentale et la pauvreté qui ronge son Haïti natale, Karlex jongle et parle de cette dualité des cultures qui l’anime et qu’il a aussi du mal à assumer. Son combat intérieur pour trouver un équilibre donne un melting pot riche de couleurs afrobeat, électro-dub, funk, soul ou encore folk et jazzy.

    Il ouvre en anglais par "Liberated" (Tomorrow can wait). Il raconte : "Je parle de cette société de consommation, de cette prison. C’est une folie dans laquelle je suis moi aussi un consommateur." Ses harmoniques à la guitare, le synthé et les rythmes de la batterie s’emballent et virent vers un son électro et très dub. La voix apporte une douce mélodie avant de s’enflammer dans un slam ou un rap final, qu'un duo souffle/basse clôture.

    Dès les premières notes de piano, le second morceau "Do you know my name" affirme clairement sa touche jazzy. Des voix lointaines laissent place au chant de Karlex, qui en écho, semble lancer un appel, ou plutôt une prière, réveillée par des apparitions de flûte traversière. Ni prosélyte, ni moralisateur, il explique pourquoi il s’adresse à Dieu : "Cette chanson parle de la souffrance du peuple haïtien, de celle d’autres peuples. Je suis un croyant dans le questionnement." Dans une autre version (bonus) plus rapide comme lors de ses concerts (il était de passage à Montpellier en décembre) l’entrée électro avec la réverbe de la batterie ravivent le morceau.

    "Onè respè" mêle le créole et le français. En Haïti une expression veut qu’au lieu de frapper à la porte de chez quelqu’un on dise "Honneur" (Onè) et les gens répondent "Respect" (respè). Sa voix chaude et son parlé incarnent l’Homme africain. "Courir pour être libre, courir pour ne pas mourir." Inspiré par ses ancêtres esclaves qui ont couru pour la liberté, il pointe les différences nord/sud. La place donnée à la guitare électrique, la mélodie enjouée, le synthé et une enveloppe sonore électro rafraîchissent le côté traditionnel.

    Karlex poursuit son retour aux racines avec l’afrobeat de "I-nèg'marron". "On est tous des Neg marrons. Des Neg marrons qui se battent pour la dignité", crie-t-il en concert. "Mes ancêtres étaient des esclaves alors je dois en être un aussi.".

    Après "Dear Mama", place au jazz groovy de "Choukoune". Dans ce dialogue entre le piano, la batterie et sa voix sensuelle, Karlex slame en créole un poème du 19e siècle, l’histoire d’un homme enchaîné des deux pieds par une femme !

    Folk, avec un début à la guitare seule, "Everyday" laisse enfin place au chant et moins à la voix parlée. Derrière une base de rythmes africains, la voix se balance entre le registre grave et aigu. Tandis que les riffs de guitares électriques s’entremêlent aux sons du synthé.

    Dans "It's all in your heart", les rythmes de percus africaines persistent. Mêlés à la guitare, à la répétition d’effets, notamment de la wah-wah, ils rendent l’atmosphère mystique tout comme la voix douce qui envoûte et alterne entre medium et aigu. Les boucles de voix répétées hypnotisent et leurs longueur installent un univers de transe. Avec des percus en constante résonance dans la tête.

    Après la guitare plus rock de "So much in a man's mind" et les bases electro-pop avec des voix sur la fin de "Making it right", Karlex rend hommage à David Bowie. "This not America" est sa première reprise. Très lente, il pose les paroles comme un slam sur le synthé, instrument solo du morceau. Au bout de plus de deux minutes d’introduction, il chante le refrain. Apaisé, on se laisse guider et on prend le temps d'écouter. Il finit par de longues nappes enveloppantes. Une version très épurée, et très pure. Comme son interprète.

    En bref : un artiste éclectique et inclassable qui puise sa musique et son verbe autant de son Haïti natale que de New-York, où il a fait ses classes. Un répertoire envoûtant à découvrir aussi en live pour une version plus chaloupée.

    permalink



    Note :
    Tracklist :
    01. Liberated (Tomorrow Can Wait)
    02. Do You Know My Name
    03. On Resp
    04. I N g’ Marron
    05. Dear Mama
    06. Choukoune
    07. Everyday
    08. It’s All in Your Heart
    09. So Much in A Man’s Mind
    10. Making it Right
    11. This is Not America
    12. Do You Know My Name (Alt. Version)(bonus)
    DOWNLOAD2.png

    votre commentaire
  • http://www.radiochango.com/uploads/discos/En-Blanc__f550d66fa8ae058dd1fe45a3b5e79602.jpg
    Découvrez la playlist Nour - En Blanc (2008)

    icon_www_lang.gif   logo-myspace.jpg
    NOUR presents its second disc, “En Blanc”, another step forward with eleven new songs. Similar to the previous album, the new songs are sung mixing Catalan, Arabic, Spanish and French to express sentiments, emotions, connections and the dreams created from a special mix of East and West. Eastern and Western civilizations, horizons, looks, oceans, north, south, deserts...Optimism...All of this is evoked in the new work by NOUR. “En Blanc” is revealed like a gulp of fresh air, a clean look of optimism and clarity. The diverse worlds that are integrated in these old concepts, these new virtual frontiers, are coherently blended; where the distinct rhythms find their natural means of expression, like in the first single and video clip, “I disengage from the lead”, where the basic funk rhythm is mixed with Arabic violins. With the same coherence we find gnawa rhythms under hip hop rhythms in “Fire” or a careful Arabic instrumentation that gives way to a great pop rock chorus in “From today to tomorrow”. On the title track of the album, “My mind is blank”, the urban rhythms, the electronic groove, create the ideal base for slow melodies and embrace the warm voices of Yacine and Olalla. The new songs on Nour provoke an emotional response; they reflect on a territory and embody a new musical path that is already a reality here. This disc is recorded by: Yacine Belahcene (voice), Olalla Castro (voice), Rubio (guitars), Manolo López (bass, double bass and Arabic instruments), Stéphane Carteaux (keyboards and programming), Pablo Potenzoni (drums). The same Yacine Belahcene, Manolo Lopez and Stephane Carteaux were responsible for the production and they counted on the collaboration of Marc Llobera for technical assistance. Also appearing on the album are the regular collaborators like the Algerian singer, Rabah Ourrad (MBS) and the Moroccan violinist, Mohamed Soulimane (The Barcelona Arabian Orchestra), with new choral contributions by Laura Guiteras, singer with Taima Tesao and an actress in the popular TV3 series “The heart of the city”.
    permalink

    Note :
    DOWNLOAD1.gif

    votre commentaire

  •  
    Depuis 1992, Frédéric Galliano occupe une place singulière dans le paysage des DJ-producteurs. Ses recherches sur les rapports entre musiques électroniques et le jazz -comme en témoigne ses productions avec les frères Belmondo ou Julien Lourau- mais aussi avec des références aussi diverses que l'art, la philosophie, ou les cultures de différents pays, l'ont amené aujourd'hui à développer un projet jetant une passerelle entre l'Afrique et les dancefloors. Un carnet de voyage sonore en Afrique Noire... Les voix magiques des divas africaines Hadja Kouyaté, Aissata Baldé et Ramatta Doussou, sont soutenues par des mix recueillis entre le Niger et le Sénégal où le jeune compositeur a promené son multipiste pendant quatre ans. Au-delà d'un travail de collectage, Frédéric Galliano témoigne par cette association des musiques traditionelles aux programmations électroniques, de son ambition de renouveler le langage de la musique africaine.
    permalink

    Note :

    votre commentaire

  •  
    Tonolec est un duo dont les membres - la chanteuse Charo Bogarin et le guitariste Diego Pérez - viennent de la province de Chaco. Les deux musiciens se sont ainsi formés autour d’un concept simple, qui depuis quelques années porte ses fruits, mélanger l’électronique à la musique de leurs origines. Durant en effet près de trois ans, Tonolec s’est imprégné de la culture Toba, peuple indigène de cette province de l’Argentine, qui bénéficie de l’aide de l’UNESCO dans la préservation de sa langue et de bien entendu sa culture. Le duo reprend donc les chants de ce peuple et les réarrange à la sauce électro.
    On est cependant très loin des projets à la Deep Forest, le projet de Tonolec se veut avant tout profondément humain et évite de finir comme musique d’ascenseur ou de jingle pour émission de radio en mal de sensations. Ne bénéficiant pas d’une production gargantuesque, l’orchestration est donc a minima, mais suffisamment efficace pour que leur premier album soit traversé par une foi quasi lumineuse, en ce qu’ils font. Ce n’est donc point une musique de stade que nous concocte le duo, bien au contraire, elle est suffisamment intimiste pour qu’elle s’installe de façon permanente en bande-son de cet été. L’occasion aussi de se pencher sur ce coin de la Terre et apprendre à faire connaissance avec le peuple Toba et de leur situation catastrophique.
    permalink
    Note :

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique