• INORAN, le plus discret des membres de LUNA SEA, aime le hip hop, le rock et les belles ballades, cela n'est un secret pour personne. Il réunit tous ces genres musicaux avec bonheur dans sa période solo, longtemps son filet de voix et sa timidité ont été un obstacle sur scène, mais aujourd'hui, il s'est affirmé et prend beaucoup de plaisir à chanter sur scène. A découvrir absolument en concert.
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    Music
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  • On "what silence knows," Shara Nelson declares her independence, and it feels good. When you first heard her voice, it was roaming the landscape of Massive Attack's brilliant 1991 album, Blue Lines. Three years after "Unfinished Sympathy," the hit single from that record, startled the music world, she delivers some downbeat soul of her own. Listen and catch Nelson contemplating her potential independence as a woman and as an artist, rolling with romance and bathing in a tub of soothing sentimentality all in the same breath. Sprinkled with self-affirming mantras ("'Cause I'm so proud/I wanna sing/I wanna shout") and weighty questions ("How close/Is too close/When there was never/Rules laid down"), What Silence Knows comes across as upfront and headstrong yet completely vulnerable. The album opens ambitiously with "Nobody," on which Nelson purrs: "I wanna go where no one has gone before me/I'll stand alone even when it's cold outside." Sounds familiar, but clichés are only clichés because they've worked before. Her moody, sensuous soprano set against the thumping beats and ominous strings lends her words dramatic force. Other songs like "Down That Road," co-written with P.M. Dawn's Prince Be, and "Chance" are skillful, soulful dance pop. The flirtatious, radio-friendly "One Good-bye in Ten" (with St. Etienne collaborating) is a dainty smile back at Motown, and "Inside Out," on which Nelson is accompanied by a spare solo guitar, is the record's most moving track because of its starkness. Nelson's postmodern soul revolves around her vocals, which reign gracefully over this album's 10 tracks. At times it sounds as if she's straining for effect, but she's hardly just another lovelorn prima donna. With a rich blend of hip-hop and dance beats, emotional crescendos and orchestral arrangements supporting her, Shara Nelson takes the plunge – and emerges with a stirring, impassioned debut.
    NILOU PANAHPOUR
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  • Ödland, Les Yeux de l'Oiseau from Lorenzo Papace on Vimeo.

     

    Voilà typiquement le genre d'album que j'adore, un petit album qui va me surprendre, me ravir dès la première écoute, par son originalité, par la fraicheur qu'elle dégage. Le genre de petite sortie qui laisse croire que la scène netaudio reste toujours aussi passionnante et qu’elle seule peut nous apporte des musiques de ce genre.
    Ödland est un groupe folk français inspiré par le 19ème siècle qui mélange piano, cordes, percussions légères, boîtes à musique et divers petits bruits et bien sûr chant.
    Dans un style que l’on appellera néo folk pour pas s’embêter, les chansons Ödland rappelle par certains aspects CocoRosie mais renvoient aussi à des tas de choses et notamment à une certaine forme de poésie légère et onirique inspirée notamment par Alice au pays des merveilles.
    En attendant le premier album "Ottocento", on se régalera avec ces 5 titres magnifiques à écouter de toute urgence !

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  • Marc Collin et Xavier Jamaux se rencontrent au lycée à Versailles dans les années 1980. Ils cotoient et jouent dans des groupes éphémère (Orange pour Xavier Jamaux ou Spleen Ideal pour Marc Collin) dont les autres membres sont : les futurs Air, Etienne de Crécy, Alex Gopher ou Zend Avesta. Xavier et Marc fondent au début des années 1990, le groupe Indurain avec Jérôme Mestre. Le groupe publie un album dans un style House/Acid Jazz assez en vogue à l'époque avec des paroles en anglais. L'album est un échec et ils décident de poursuivre mais avec des textes en français (Jérôme Mestre peu enthousiaste à cette idée préfère quitter l'aventure. Ils en profitent pour changer de nom et choisi celui d'un autre coureur cycliste : Ollano (ils font cependant une légère faute d'orthographe car le coureur cycliste s'appelle Olano). Les deux musiciens considèrent qu'Ollano n'est pas un groupe mais plutôt un projet auquel ils participent. Ils sortent un album chez Rosebud, Ollano en 1996, après deux ans de travail. Pour l'enregistrement, ils s'entourent de musiciens et de deux chanteuses (Sandra Nkake et Helena Noguerra), car s’ils ont composé tous les morceaux et produit l'album, ils ne jouent presque pas sur le disque laissant cette tache à d'autres considérant qu'ils n'ont pas le niveau pour jouer sur leurs propres disques[1]. Le disque aura de bonnes critiques et connaîtra un léger succès grâce au single Latitudes. Après le disque, Xavier Jamaux a sorti des disques sous le nom de Bang Bang et composé la musique du film Tokyo Eyes, Marc Collin est à l'initiative du projet Nouvelle Vague et a composé la musique du film Les Kidnappeurs de Graham Guit.

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  • Marcin et Igor sont déjà de retour. Encore hagards de leur tournée "ongoing' et de tous leurs concerts et shows visuels, les 2 polonais arrivent une nouvelle fois à diffuser à la fois leur culture, leur savoir encyclopédique sur leur patrimoine jazzistique et leur envie d'échange. Si Konfusion - on le regrette ! - ne fait que 35 minutes, la qualité de ces 11 pistes justifie plus qu'une simple écoute nocturne, qui sera cette fois plus agitée que la normale pour Skalpel... Globalement plus cinématique, Konfusion relaye en second rôle les cordes alors que la guest star devient la basse/batterie, combo clairement désigné comme directeur de la rythmique. Gages d'un style plus sombre, souvent très proches des films de gangsters des années 40/60, les compos de Skalpel sont à la fois plus percutantes et plus difficiles d'accès que leur 1er album éponyme (et leur EP "Sculpture). En résulte donc un album plus jazz encore ("Deep Breath'), plus taquin et filmique ("Konfusion'), confidentiel ("Seaweed') et toujours aussi démentiellement Ninja Tune ("Shivers' et "Flying Officers'). La version double-album vous permettra d'écouter d'excellents remixes de leur 1er album, soit par les vainqueurs d'un concours international (nous ne pouvons donc les qualifier d'amateurs !), soit par des pointures comme Quantic ou... Skalpel temselves.
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