• http://ecx.images-amazon.com/images/I/51faWz7iHAL._SL500_AA300_.jpg

    Note :

    More dry guitars, let's go back in time.
    In the new urban culture during the fifties in the copper mining towns of Katanga Province
    in southern Congo and on the Copperbelt in northern Zambia, the guitar became an important status symbol.
    Hugh Tracey the South African broadcaster turned field recordist amassed probably the largest body of pre-independence recordings of music in central and southern Africa.
    This focus on guitar music offers a journey from remote forest villages into the cities and mining camps.
    Depending on where they lived, miners and urban professionals heard on their radios American jazz and its South African imitators, Cuban pop, and its Congolese imitators, as well as all sorts of traditional music.....
    All of that is echoed in these recordings from Congo, Zambia, Zimbabwe and Malawi during the 1950s.
    An exciting document, the emergence of a new sound – with some famous names such as Mwenda Jean Bosco
    and George Sibanda......

    by nauma
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    Origine du Groupe : Africa
    Style : World Guitar
    Sortie : 2002


    Tracklist :

    1957 &'58 recordings

    Congo :
    01-Ilunga Patrice & Misonba Victor-Mama Josefina
    02-Ilunga Patrice & Misonba Victor-Masengu
    03-Ngoi Nono & Kabongo Anastase-Muleka Mwene Yombwe
    04-Kaseba Anatole-Muleka Mwene Ngoie

    Zambia :
    05-Stephen Tsoti Kasumali-Ematamno Waifwe Bantu
    06-Stephen Tsoti Kasumali-Banakatekwe
    07-T. Muntali & M. Sapao-Maio Wafwa
    08-The Four Pauls-Nifwe Ba Four Pais
    09-The Four Pauls-Maselino Yaya Yoyayu
    10-John Lushi-Bamgufya Ba Kwati
    11-Isaac Matafwana & Sunkutu-Katikalepuke Katikatobeke
    12-Luson Mwape Muchalo-Chilomendo Chakumena
    13-William Sivale-Nashe Nsapato
    14-F. Musonda-Amatstotsi Mama Amaononge Chalo

    Malawi :
    15-Pearson Kapeni-Akazi
    16-De Ndirande Pitch Crooners-Elube

    1950,'51,'52 recordings


    Zimbabwe :
    17-George Sibanda-Gwabi Gwabi
    18-George Sibanda-Dali Ngiyakuthanda Bati Ha-Ha-Ha
    19-Josiah Nkomi-Itaula Bava Yami

    Congo :
    20-Mwenda Jean Bosco-Mama Na Mwana
    21-Ombiza Charles-Nachelewa
    22-Ombiza Charles-Safari Ya Baraka
    23-Bembele Henri-Colette
    24-Bembele Henri-Beni

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  • http://bmorse.free.fr/Outofthereeds.jpg

    Note : +

    http://www.pharaohsdaughter.com

    http://www.myspace.com/pharaohsdaughter

    Réédition révisée et remastérisée d'un classique de la Renaissance de la Musique Juive (anciennement KFR 273) nous faisant entendre l'incroyable diversité vocale de BASYA SCHECHTER, juive orthodoxe de Brooklyn. Produit par une figure majeure de la Downtown Scene, ANTHONY COLEMAN, Out of the Reeds est traversé d'un bout à l'autre par un chant vibrant qui conjugue les traditions sépharate et ashkénite. De l'âme avant toute chose.

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    Origine du Groupe : North America
    Style : World
    Sortie : 2000

    Tracklist: :
    1. Hevel
    2. Afilu
    3. Im Ein Ani Li Mili
    4. Taitch
    5. Eicha
    6. West African Niggun
    7. Lecha Dodi
    8. Hamavdil
    9. Koomi Lach
    10. Shnirele Perele
    11. Ija Mia

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  • http://soulsafari.files.wordpress.com/2009/12/he-o-oe-oe-cover.jpg

    Note :

    http://www.afrisson.com/Lesotho-1608.html

    The album ‘He O Oe Oe!’  by the Sotho singer Puseletso Seema,  backed by the group Tau Ea Linares, translated ‘King of Buffaloes, was originally released in 1985 by Globestyle, the UK label of Ben Mandelson and is long out of print. The recordings on this album are unique because Ben, as a passionate music aficionado, arranged for the meeting of Puseletso Seema and Tau Ea Linare, who normally record separately.

    Sotho traditional music is an integral part of Sotho social education and traditionally links hearing with the understanding of the natural and social worlds. The Sotho describe instruments as either liletsa tsa matsoho (those sounded by the hand) or liletsa tsa molomo (those sounded by the mouth). The former category includes the moropa and skupu drums, these days often made from oil cans because of scarcity of wood. The latter category includes the lesiba, a mouth-resonated stick-zither sounded by blowing. The primary use of the lesiba is in cattle-herding; bird sounds and actions are seen to affect cattle; these sounds can be imitated on the lesiba and the instrument is thus used to control the animals’ behaviour. The whistles and yipping are herdboy’s calls as recorded for the particular song.

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    Origine du Groupe : Lesotho
    Style : World Music
    Sortie : 1985

    Tracklist :
    1 He o oe oe !
    2 Leshano
    3 Vatse halenone
    4 Ha motsoane
    5 Mathabo
    6 Tsetala Linare
    7 Thaba tsepe
    8 Katla ka sotleha
    9 Bajoetse saki
    10 Kesetse mahlomolenu

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  • http://www.1000recordings.com/images/artist-s/sangare-oumou-755-l.jpg

    Note :

    http://oumousangare.com

    http://www.myspace.com/oumousangare

    Comme toutes les stars véritables, dans n’importe quel style de musique, Oumou Sangaré doit sa place dans le panthéon ouest-africain à quelque chose qui dépasse largement la capacité de bien chanter.
    Elle écrit et compose ses chansons, critique la réalité sociale, défend les droits des femmes, représente publiquement sa génération et son sexe. Bref, Oumou est plus qu’une simple "chanteuse". C’est une sorte de phénomène, parce qu’elle incarne des valeurs et des luttes très importantes pour beaucoup de gens, parce que c’est une Africaine et surtout une femme africaine, qui dit sa façon de penser sans la moindre peur.

    Oumou Sangaré est née à Bamako en 1968, ses parents ayant émigré de la région-sud du fleuve Niger, le Wassoulou, vers la capitale du Mali en plein développement. Sa mère, Aminata Diakité, chanteuse également, devait, comme la plupart des femmes de sa génération, partager son mari avec deux autres épouses. Cette confrontation formatrice avec la polygamie et la souffrance qu’elle peut causer a beaucoup marqué la petite fille. Sa mère l’a poussée à travailler son précieux talent de chanteuse, lui murmurant par exemple au moment où, terrifiée, elle allait monter en scène au stade omnisports de Bamako, pour sa première apparition publique à l’âge de six ans, "Chante comme si tu étais à la maison, dans la cuisine." Après avoir été membre de l’Ensemble instrumental National du Mali, où se sont formés beaucoup de grands musiciens du pays, Oumou, à la demande du vétéran du Super Djata Band, Bamba Dembélé, est partie en 1986 accompagner sa troupe de percussions traditionnelles Djoliba en tournée en Europe. Après cette brève incursion dans la vie de musicien, elle est rentrée chez elle avec la détermination exceptionnelle de former son propre groupe et de créer sa propre musique basée sur les styles et les traditions de sa patrie ancestrale, le Wassoulou.

    Pour des raisons qu’elle-même a du mal à bien expliquer, la région du Wassoulou a produit un nombre remarquable de grandes chanteuses depuis l’indépendance du Mali, acquise au début des années soixante. Parmi celles qui l’ont fortement influencée, elle cite constamment les pionnières Coumba Sidibé, Sali Sidibe et Flan Saran qui, avec beaucoup d’autres, ont forgé un style de musique bien particulier à partir des danses et des rythmes régionaux comme le didadi, le bari, le sigui et surtout le sogonikun, une danse traditionnelle, masquée, exécutée principalement par des jeunes filles au moment de la moisson.
    Ce style, aujourd’hui connu comme ‘wassoulou’, marie le tambour djembé et le karignan (un grattoir en métal) et catapulte les rythmes des danses traditionnelles de la région avec le son nerveux mais vigoureux du kamalen n'goni (littéralement, ‘harpe des jeunes hommes’), instrument qui a joué un rôle-clé dans le développement du wassoulou.
    Adapté par les jeunes de Yanfolila, au cœur du Wassoulou, à partir du donso n'goni, une harpe ancienne utilisée dans les rituels des chasseurs forestiers de la région, le kamalen n'goni symbolise à plusieurs égards la jeunesse et peut-être la rébellion dans le sens rock‘n’roll du terme, mais au moins la notion de plaisir et de liberté.

    En 1986, peu après son retour d’Europe, Oumou a commencé à travailler auprès de l’illustre arrangeur Amadou Ba Guindo. Avec un excellent groupe de musiciens qui comprenait Boubacar Diallo à la guitare et Aliou Traoré au violon, Oumou et Amadou Ba se sont attelés à la création d’un son précis et très personnel, ancré dans la tradition tout en étant à la fois original et moderne. Oumou a remplacé le violon traditionnel à cordes en crin de cheval, dit soku, par un violon moderne qui n’avait pas encore été utilisé dans une formation wassoulou et a introduit la calebasse ou fle comme instrument de percussion.
    Après deux ans de dur labeur et d’expérimentation, le groupe a obtenu un contrat d’enregistrement. Oumou et compagnie sont donc partis pour Abidjan, en Côte-d’Ivoire, où ils ont gravé ‘Moussolou’, six compositions originales d’Oumou, en sept jours aux légendaires studios JBZ.
    A sa sortie en 1989, la cassette s’est vendue à plus de 200.000 exemplaires, le public et les pirates sont devenus fous et à vingt-et-un ans, Oumou s’est retrouvée star.

    ‘Moussolou’ (Femmes) est un classique de la pop africaine moderne. A sa manière, il représentait une sorte de révolution dans la manière d’enregistrer et de produire la musique africaine. Avec leurs sonorités magnifiquement claires et rares, reposant sur des instruments traditionnels et en général acoustiques, Oumou et Amadou Ba avaient concocté une alternative viable à ce que l’on percevait auparavant comme les seules options possibles : la ‘modernité’ marchant au synthé et à la boîte à rythmes ou l’inécoutable ‘obscurité’ du traditionnel bricolé en basse-fidélité. Cette approche de la musique faisait également écho au combat plus profond de ses pairs pour une identité culturelle dans laquelle la tradition n’est pas éjectée, mais modernisée en gardant son essence et sa force intactes. Oumou insiste sur le fait que, même si elle condamne les abus des coutumes traditionnelles comme la polygamie, elle n’est pas contre la tradition. "Regardez les vêtements que je porte, dit-elle, est-ce qu’ils ne sont pas traditionnels ?"

    Bien que l’incroyable succès de ‘Moussolou’ ait mis Oumou sur l’échiquier musical ouest-africain, ce n’est qu’après en avoir entendu parler, par hasard, par le légendaire guitariste malien Ali Farka Touré en 1991 que le label britannique World Circuit a repris les droits de l’album hors d’Afrique et a commencé à construire la carrière internationale de la chanteuse. ‘Moussolou’ a été extrêmement bien accueilli partout lors de sa sortie mondiale et Oumou, jamais à court d’inspiration, s’est mise à travailler sur les chansons de son second album ‘Ko Sira’ (Mariage aujourd’hui), enregistré à Berlin et publié par World Circuit en 1993. ‘Ko Sira’ comprend ‘Saa Magni’, un émouvant hommage à Amadou Ba, disparu dans un accident de voiture. "La mort a foudroyé Amadou Ba Guindo, chante-t-elle, la mort n’épargne aucun être, rien ne peut l’arrêter, même pas la célébrité."

    Avec ‘Ko Sira’, Oumou a mis un deuxième succès à son palmarès et a consolidé sa renommée. Dans son pays les hommes politiques se sont précipités pour s’associer à ses opinions lucides sur la moralité contemporaine, mais elle reste ostensiblement non-alignée. Elle a remporté de nombreux prix au Mali et ‘Ko Sira’ a été élu Album world music de l’année (1993) en Europe. Malgré la naissance de son premier enfant, elle a entrepris d’épuisantes tournées en Afrique et en Europe et a fait sa deuxième visite aux USA en 1994 dans le cadre de la tournée collective d’Africa Fête, jouant devant un public extasié au Summer Stage de Central Park, à New York.

    Pour son troisième album, ‘Worotan’ (Dix noix de cola… c’est-à-dire le traditionnel prix d’une mariée au Mali), sorti en 1996, elle a travaillé avec Pee Wee Ellis, ancien saxophoniste de James Brown et fidèle des Horny Horns, qui a apporté sa contribution enthousiaste mais respectueuse à la création de Sangaré. Nitin Sawhney, l’as anglo-indien de la guitare, a également prêté son concours à l’album, surtout dans la dernière chanson, ’Djôrôlen’, l’une des compositions les plus touchantes d’Oumou à ce jour.

    La raison essentielle de la popularité nationale, puis internationale, du wassoulou vient de ce qu’il offre, surtout aux jeunes, une alternative appréciable à la tradition ancienne et principalement malienne des griots ou djélis, ou chanteurs de louanges. Tandis que les djélis font l’éloge des hommes importants et vantent la gloire de leurs ancêtres, les chanteurs wassoulou abordent les soucis quotidiens dans leurs chansons. Les djélis adressent leurs louanges à un individu particulier (généralement un pilier de la société et de la communauté) dans l’espoir d’une belle récompense, alors que les chanteurs de wassoulou chantent pour tout un chacun, sans penser à une quelconque rétribution financière. Le public reste assis pendant le concert d’un djéli en l’écoutant calmement et respectueusement, les chanteurs de wassoulou s’attendent au contraire à ce que leur auditoire se mette debout et danse.

    Imprégnée de cette perspective du wassoulou, Oumou Sangaré est assurément la star féminine des gens qui réfléchissent. Quand il s’agit de parler vrai, elle n’essaie jamais de se dérober à sa tâche. Les mêmes thèmes reviennent dans tous ses disques : les combats des femmes dans une société musulmane dominée par les hommes, le conflit entre tradition et modernité, les joies et les peines incompréhensibles de la vie et de la mort. Avec sa stature imposante, sa beauté provocatrice, son intelligence courageuse et sa voix extraordinaire, elle réussit à impressionner et à étonner presque partout, que ce soit dans les rues de Bamako, les boutiques de Paris ou sur les scènes de concert internationales. Lorsqu’elle chante avec l’aisance et la puissance expressive d’une Aretha Franklin ou d’une Patsy Cline, puis vous regarde droit dans les yeux en vous disant, "Je me battrais jusqu’à la mort pour les droits des femmes africaines et des femmes du monde entier", vous vous rendez compte que vous avez affaire à quelqu’un de très spécial.

    Si Oumou a quelque peu délaissé l’Europe ces dernières années, elle a occupé le devant de la scène en Afrique. Trois mois après sa parution en mars 2001 (uniquement en Afrique), son quatrième album, ‘Laban’, était déjà disque d’or au Mali, avec plus de 100.000 cassettes officielles vendues.

    En novembre 2001, elle a reçu le Prix de la musique 2001 de l’UNESCO/Conseil international de la musique pour sa contribution à "l’enrichissement et au développement de la musique, ainsi qu’à la cause de la paix, de la compréhension entre les peuples et de la coopération internationale". En dehors de ses multiples tournées en Afrique de l’Ouest, elle vient d’ouvrir un hôtel à Bamako, au printemps 2002.

    Suite à une prestation époustouflante au Festival d’Essaouira en juin 2002, Oumou est de nouveau prête à remonter sur les scènes internationales. Durant l’été 2003, elle doit se produire dans plusieurs grands festivals européens, dont Jazz à Vienne (en France), le festival Paleo (en Suisse) et le Womad (au Royaume-Uni).

    En septembre 2003, World Circuit publie un CD-compilation des meilleurs titres, anciens et nouveaux, d’Oumou Sangaré, qui sera suivi d’une grande tournée internationale.

    par Andy Morgan
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    Origine du Groupe : Mali
    Style : world Music
    Sortie : 1993

    Tracklist :
    1. Kayini Wura
    2. Sigi Kuruni
    3. Mani Djindala
    4. Saa Magi
    5. Dugu Kamelenba
    6. Bi Furu
    7. Nawo Nawo
    8. Ko Sira

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  • http://www.qobuz.com/images/jaquettes/3661/3661585002680_600.jpg

    Note :

    http://www.marabi.net

    http://www.myspace.com/mouniramitchala

    Mounira Mitchala est une jeune chanteuse tchadienne, auteur-compositeur-interprète, s'il vous plat, qui commence à se faire un nom par chez nous. Autant le dire d'emblée, la voix est magnifique, vibrante dans les graves et presque angélique dans les aigus - comme seules savent le faire les chanteuses africaines ! Les chansons ne sont pas en reste : très accrocheuses et surprenantes, elles allient mélodie et instrumentation inhabituelle, à mi-chemin entre tradition et modernité pourrait-on dire (ça fait un peu Libé ou Télérama d'écrire ça, mais c'est vrai !), avec des instruments issus de la culture pop/rock (guitares, basse...) et des sonorités acoustiques authentiques. Mounira ne fait pas de la musique traditionnelle, elle propose une musique actuelle. Les amateurs de world music adaptée à nos critères européens (ce que je dis ne se veut pas péjoratif...) auront peut-être du mal à rentrer dedans, mais cela vaut la peine de s'accrocher, je vous assure ! Quant aux textes, ils sont politiquement très engagés; les sujets sont graves : le Darfour évidemment, le Sahara, le droit des femmes, etc. Ils ne sont pas traduits (cela aurait été intéressant...), mais le thème de chaque titre est brièvement exposé en Français). Très chaudement recommandé !

    par bruspell
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    Origine du Groupe : Tchad
    Style : World Music
    Sortie : 2008

    Tracklist :
    01 - Annil
    02 - Zarlie
    03 - Tourapna
    04 - Talou Lena
    05 - Assamony
    06 - Darfour
    07 - Koulnodji
    08 - Annaloule
    09 - Al Sahara
    10 - Adinna
    11 - Hadjilidjai
    12 - Darna

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