-
http://www.myspace.com/januarylt
With a given name like January, it’s no wonder that singer-songwriter January Thompson’s label debut Careful What You Tell the Sky comes off as a pristine wintery soundscape. The unique combination of a classical music upbringing with an electronic treatment from producers Ramin Sakurai (Supreme Beings of Leisure) and DJ and Quango label CEO Bruno Guez make for a sound filled with both organic acoustic notes and sparser electronic atmospherics.
permalink
Note :
Tracklist :
1. Hourglass (3:40)
2. Careful What You Tell the Sky (5:31)
3. I Do (3:44)
4. You'll Love Again (4:16)
5. Beautiful Ache (4:47)
6. I'd Rather (4:25)
7. Where Do You Put Your Heart (4:55)
8. The Dream (4:27)
9. Fall Forward (4:11)
10. In Spite Of (4:11)
votre commentaire -
http://www.myspace.com/januarylt
With a given name like January, it’s no wonder that singer-songwriter January Thompson’s label debut Careful What You Tell the Sky comes off as a pristine wintery soundscape. The unique combination of a classical music upbringing with an electronic treatment from producers Ramin Sakurai (Supreme Beings of Leisure) and DJ and Quango label CEO Bruno Guez make for a sound filled with both organic acoustic notes and sparser electronic atmospherics.
permalink
Note :
Tracklist :
1. Hourglass (3:40)
2. Careful What You Tell the Sky (5:31)
3. I Do (3:44)
4. You'll Love Again (4:16)
5. Beautiful Ache (4:47)
6. I'd Rather (4:25)
7. Where Do You Put Your Heart (4:55)
8. The Dream (4:27)
9. Fall Forward (4:11)
10. In Spite Of (4:11)
votre commentaire -
Découvrez la playlist Laura Vane & The Vipertones (2009)http://lauravaneandthevipertones.com/
http://www.myspace.com/lauravaneandthevipertones
Blonde, Anglaise, des featurings prestigieux avant de se lancer seule (Gnarls Barkley, Omar, The Street), Laura Vane a de quoi se faire cataloguer Alice Russell bis en un rien de temps. Surtout qu’avec ses Vipertones elle vient elle aussi jouer des hanches dans le créneau Soul rétro, là où le made in britain est désormais la référence. Avec des déchets au sens propre comme au figuré. Eventuelle confusion + saturation du genre, on a connu des conditions meilleures.
Pourtant sans être LA sortie de l’année, Laura Vane & The Vipertones arrive comme une agréable surprise conforme à une certaine idée du vintage : une voix qui emmanche sans riper les tympans (donc pas pour les inconditionnels de Stax ou de Hi), pas de bidouillages électro ni de surproduction et surtout de sérieuses œillades à Détroit et sa Motown.
Angleterre oblige, l’influence pop est de la partie. Mais ça, ils n’arriveront jamais à s’en débarrasser, c’est dans leurs gènes.
permalink
votre commentaire -
Découvrez la playlist Laura Vane & The Vipertones (2009)http://lauravaneandthevipertones.com/
http://www.myspace.com/lauravaneandthevipertones
Blonde, Anglaise, des featurings prestigieux avant de se lancer seule (Gnarls Barkley, Omar, The Street), Laura Vane a de quoi se faire cataloguer Alice Russell bis en un rien de temps. Surtout qu’avec ses Vipertones elle vient elle aussi jouer des hanches dans le créneau Soul rétro, là où le made in britain est désormais la référence. Avec des déchets au sens propre comme au figuré. Eventuelle confusion + saturation du genre, on a connu des conditions meilleures.
Pourtant sans être LA sortie de l’année, Laura Vane & The Vipertones arrive comme une agréable surprise conforme à une certaine idée du vintage : une voix qui emmanche sans riper les tympans (donc pas pour les inconditionnels de Stax ou de Hi), pas de bidouillages électro ni de surproduction et surtout de sérieuses œillades à Détroit et sa Motown.
Angleterre oblige, l’influence pop est de la partie. Mais ça, ils n’arriveront jamais à s’en débarrasser, c’est dans leurs gènes.
permalink
votre commentaire -
Découvrez la playlist Laura Vane & The Vipertones (2009)http://lauravaneandthevipertones.com/
http://www.myspace.com/lauravaneandthevipertones
Blonde, Anglaise, des featurings prestigieux avant de se lancer seule (Gnarls Barkley, Omar, The Street), Laura Vane a de quoi se faire cataloguer Alice Russell bis en un rien de temps. Surtout qu’avec ses Vipertones elle vient elle aussi jouer des hanches dans le créneau Soul rétro, là où le made in britain est désormais la référence. Avec des déchets au sens propre comme au figuré. Eventuelle confusion + saturation du genre, on a connu des conditions meilleures.
Pourtant sans être LA sortie de l’année, Laura Vane & The Vipertones arrive comme une agréable surprise conforme à une certaine idée du vintage : une voix qui emmanche sans riper les tympans (donc pas pour les inconditionnels de Stax ou de Hi), pas de bidouillages électro ni de surproduction et surtout de sérieuses œillades à Détroit et sa Motown.
Angleterre oblige, l’influence pop est de la partie. Mais ça, ils n’arriveront jamais à s’en débarrasser, c’est dans leurs gènes.
permalink
votre commentaire