• http://1.bp.blogspot.com/_zUyrB4lyZb4/TP-_HFwP2wI/AAAAAAAAAtg/K1BublPnBt0/s320/Cover.jpg

    http://www.lendivexer.com

    http://www.myspace.com/lendivexer

    Origine du Groupe : Argentina
    Style : Acoustic , Trip Hop
    Sortie : 2009

    From Official Site :

    Biography:

    Lendi Vexer recorded its first promotional EP in its own studio in 2002 (self-produced CDR) called Suicidal Adage. Originally, it consisted of 4 tracks (Tribute to desolation, Scape, Nothing was special and Suicidal adage).
    After deciding to upload it on the Internet for sale, the duo got in touch with people abroad and with an Australian independent label. They put them in contact with distributors and promoted the EP. Once the first 500 units were sold out, in 2004 the EP was relaunched with a bonus track in which Natalie plays the Theremin in real time. This EP will be re-edited by Stereotape Records. As DJ Tom Bollinger played it in Australian clubs, it was him, this great Australian collaborator, who made the first Remix version of the song Nothing was special.

    As this material became known, on the web, the duo was asked for permission to make a second remix. Thus, in 2004, The Crimson Underground (UK-North Ireland) made the remixed version of the track Suicidal adage. The EP was already being distributed by “Super D” (US) and was for sale in Cdbaby, Amazon and in Tower Records U.S.
    During that year, in the UK and Brazil, Tripofagia (the main Trip Hop site) chooses the EP Suicidal Adage as one of the best three Trip Hop EPs in 2004. In 2005, the company Jun Group Entertainment, Inc. chooses Lendi Vexer to become part of the soundtrack of the “Episode 10” of the American TV show called “The scene”. The selected tracks were Nothing was special, Every Thing is Special Tom Bollinger MIX, Suicidal adage and Tribute to desolation. By the end of that year, the Trip Hop compilation W.E.B (Wicked Electronic Beats vol.1) is edited in the UK and Brazil by Tripofagia’s team. This selection of artists includes Lendi Vexer with its song Tribute to desolation. About this, Guto (Tripofagia) wrote "Tribute to Desolation is one of the nicest melancholic trip-hop songs I've ever heard...". This record also included, among other artists, U-topia and Lovage (Mike Patton, from Faith no more and Dan The Automator, Gorillaz’s producer). By early 2006, due to the fast impact of the record on the web, the Colombian artist Paddington Breaks contacted Lendi Vexer. He made the second remixed version of the song Nothing was special. Meanwhile, in Argentina, the EP was sold in the live shows that took place in “Niceto Club”, “Cemento”, “Especial”, “Remember Jazz Pub” and “El Argentino”, among others for soon continuing in Auditorio Cendas, Virasoro Bar and Liberarte.

    In 2007 they release, with its own label, the album The process of disillusion that consists of 13 tracks which explore the vocal variables inside the electronic music downtempo, conjugating sad and melancholic poetries with a strong critical content. It approaches musical genres as folk, song, broken beats, trip hop and a dismantled jazz reminiscent of the sound of the old school of Bristol, such as Portishead, Tricky, Massive Attack or PJ Harvey. The Theremin participates in this combination in several tracks of the record.
    The album is distributed by SuperD, one of the greatest integral music distributors in the US which works through catalogue sales and has distributed this record in more than 2400 stores between the US and other countries (France, Italy, Canada, Japan, Korea, etc.). The record is sold in digital form in addition to iTunes, napster and eMusic and it is also available in music stores in Buenos Aires, in all Argentina and the rest of the world (through Faro Latino).

    Description:

    Two impelled artists to spill out deep songs about having decided feelings and aspects of life, with intense lyrics, sometimes introspective, full of personal queries; or, present and retrospective with critics worthy to be written with the most rational pen of the Punk.

    Based on the Down tempo and the Trip hop in format “song”, with a dense and orquestal tint, minimal and rough at moments, distanced clearly of the soft skin of chill-out. The dirt and roughness of their sound is invoked with their old school equipment that they have gone on harvesting minutely from their beginnings.
    This environment acoustic is seconded by the electronics and reinforced with the different abilities in both components, as the orchestrations and programmings of DG and the singular voice of Natalie and their ability with the legendary Theremin among other instruments.

     


    Tracklist :
    1 - Escape
    2 - La
    3 - Nothing was especial
    4 - Missing time
    5 - Refrán Suicida (Spanish Version)
    6 - Septiembre
    7 - The process of disillusion
    8 - That fish and the bait
    9 - Tribute to desolation
    10- To play again

    mp3


    votre commentaire
  • http://www.mixmatters.com/wags/loka_fire_shepherds.jpg

    http://www.myspace.com/lokafireshepherds

    Origine du Groupe : U.K
    Style : Trip Hop , Instrumental
    Sortie : 2006

    Par Dude  pour http://www.trip-hop.net

    Du 100% Ninja Tune, dans la verve et à la croisée des chemins de Cinematic Orchestra, Skalpel et Jaga Jazzist. Loka a cette verve effrontée du jazz embrumé, du rock larsen et entêtant, de l'improvisation psyché d'un Radiohead touché par la folie d'un Four Tet, et d'une culture d'une musique toujours plus cinéphile... C'est aussi la faiblesse de Loka : être trop encré dans des références fortes, racées, très caractéristiques. Mais bon : quelles références !

    Les vrais fans de Ninja Tune attendent le premier vrai album de Loka depuis de 2 ans, les maniaques du label, depuis 6 ans ... Une apparition dans Xen Cuts en 2000, un maxi très prometteur en 2004 (contenant les titres Airfling, Safe Self Tester et Beginningless) avaient permis aux " Ninja Geeks " de prendre un nouveau mal en patience... Il est clair que les 3 titres de leur maxi étaient tout simplement géniaux, tout à fait en phase avec les succès jazzistiques du label (cf plus haut) : "Beginningless', après plus de 2 ans, sonne toujours aussi bien : cuivres et batteries enfumés, mélodie jazz rock groove... Cinematic Orchestra n'avait qu'à bien se tenir.

    Seulement voilà : 2006, 2 ans plus tard, le duo ne sort aujourd'hui que 3 titres ½ (Tabernacle étant un opus divisé) pour cet album qui pourrait être considéré comme un 2nd maxi au final, avec ses 45 minutes cumulées...
    Rassurez-vous : ce bémol n'est valable que pour les maniaques et les vrais fans. Pour tous les autres, Loka est une nouvelle référence électronique jazz rock, offrant un souffle d'authenticité à Ninja Tune, bel et bien maître dans ce registre si spécifique et jouissif ! A écouter...

     


    Tracklist :
    1. Safe Self Tester
    2. Meet Dad
    3. Airfling
    4. Freda Mae
    5. Beginningless
    6. Tabernacle Part 1
    7. Tabernacle Part 2

    mp3


    votre commentaire
  • http://3.bp.blogspot.com/_m7X5ypxB1NU/TTSLxny2O3I/AAAAAAAAAl4/FEH77ShYND0/s1600/folder.jpg

    http://www.earthlingmusic.co.uk

    Origine du Groupe : U.K
    Style : Trip Hop , Downtempo , Abstract Hip Hop , Alternative
    Sortie : 2010

    Par  Elnorton  pour http://www.indierockmag.com

    George Cockcroft n’est pas le seul homme à avoir été ivre. Sans doute pas le seul non plus à avoir alors laissé le hasard guider l’une de ses décisions. Il est en revanche le seul à avoir poussé le paroxysme aussi loin...

    L’histoire d’Earthling est étroitement liée à celle de George Cockcroft. Docteur en psychiatrie, l’histoire de ce dernier commença véritablement lorsque ivre, il laissa un dé guider l’une de ses décisions. Et là où n’importe quel autre individu aurait, dès le lendemain, abandonné cette grotesque idée, l’américain étend ce rituel à chacun de ses choix.

    Attribuant une humeur à chaque résultat possible, il est alors branché sur courant alternatif, tantôt taciturne, tantôt prolixe selon la volonté du dé. Cette méthode lui sert également à l’heure d’effectuer ses diagnostics (rappelons que l’individu est psychiatre) ou dans ses choix de couple. Un jour, les dés lui dicteront même d’écrire son autobiographie. L’Homme-Dé sera ainsi publié en 1971 sous le pseudonyme de Luke Rhinehart (un nom qu’on imagine dicté par le cube).

    Vingt ans plus tard, au début des années 90, Tim Saul est un jeune musicien qui a appris à jongler avec les sons au côté d’un certain Geoff Barrow, fils d’amis de la famille. Désireux de voir plus grand, il passe une annonce où il indique chercher un rappeur imaginatif. Mau, se définissant lui-même comme "un gosse de la bourgeoisie noire" et vivant comme un ermite (ses parents lui interdisaient l’accès aux cités ouvrières) répond, pessimiste, à l’annonce. "Depuis des mois, je ne rencontrais que des musiciens idiots" explique-t-il. Ce ne sera pas le cas cette fois-ci. Censés parler musique, c’est autour de L’Homme-Dé de Luke Rhinehart que la conversation tourne. Les deux jeunes anglais ont tous les deux adoré le roman, se trouvent ainsi un premier point commun et quand arrive le petit matin, le duo a déjà enregistré son premier titre...

    Après avoir travaillé sur Dummy aux côtés des membres de Portishead, T Saul reprend son travail de création. Et Radar, le premier album d’Earthling, sortira en 1995. Andy Keep a alors rejoint le groupe, et Geoff Barrow, avec sa guitare et ses scratchs, s’invite sur quelques titres. Le deuxième album se prépare tranquillement, Mau confie d’ailleurs que l’ambiance en studio est au beau fixe ("Nous avons tellement d’idées en stock qu’il est facile d’écarter un morceau dont l’un de nous ne serait pas heureux. Ça interdit les luttes d’ego.").

    Humandust est ainsi finalisé en 1997, mais la maison de disques du groupe refuse de sortir l’album. L’avenir d’Earthling se joue alors sur un coup de dé (en espérant que les membres du label n’aient pas usé des mêmes méthodes que celles prônées par Luke Rhinehart) puisque cette décision entraîne la rupture du groupe. Humandust, plus froid et mature que son prédécesseur, finira par sortir en 2004. A cette époque, Andy Keep était totalement impliqué dans Ming, projet trip-hop avec la chanteuse Jo-Kate Benson, tandis que T Saul s’était lancé dans la création de musiques pour documentaires. Mau, de son côté, apportait ici et là sa contribution vocale, que ce soit pour le compte de Cuba, 2 Square, Télépopmusik ou Dirty Beatniks...

    L’étonnante reformation d’Earthling (sans Andy Keep, au début du mois de décembre 2010 devait donc être l’occasion de rendre hommage à ce groupe qui, sans une décision hasardeuse de son label, figurerait sans doute au panthéon des groupes bristoliens, aux côtés de Massive Attack, Tricky ou Portishead. Mais Insomniacs’ Ball, le nouvel album du groupe, nous offre la certitude qu’il ne s’agit pas là d’un coup médiatique, ni commercial. Earthling a encore des choses à dire, le flow de Mau (rappelant parfois celui de Tricky en moins nonchalant) est toujours aussi efficace, tandis que l’escapade du côté du film documentaire a permis à T Saul d’étoffer son registre.

    Pourtant, alors que Portishead s’exprime dans une veine plus industrielle et que les compositions de Massive Attack n’ont, depuis Mezzanine, plus grand chose à voir avec le trip-hop initial, Earthling persiste dans la même veine. Et si le retour aux sources de certains piliers du mouvement, comme celui de Morcheeba sur Blood Like Lemonade n’innove en rien, les compositions de Tim Saul abritent quelques bruits et rythmes difficilement identifiables.

    En vérité, Insomniacs’ Ball reprend les choses où elles s’étaient arrêtées sur Humandust. L’album est froid et crépusculaire. Le flow de Mau contribue également à le rendre dynamique. Et ceci accouche de quelques sommets rarement égalés dans la discographie du groupe (A Great Year for Shadows, Bobby X, Harp for Bats, Peepholes...). Difficile de ne pas citer la totalité de l’album, en fin de compte, une fois celui-ci appréhendé.

    Car Insomniacs’ Ball est un disque intelligent, qui se bonifie au gré des écoutes. Tim Saul n’apprécie guère ces histoires de "son de Bristol", justifiant la similitude entre son groupe et Portishead par l’emploi commun d’accords mineurs. Paradoxalement, c’est pourtant son groupe qui, aujourd’hui, réhabilite totalement ce son...

    Quand à Andy Keep, troisième membre de la formation, il est désormais enseignant à l’Université de Bath Spa où il se fait appeler "Docteur Andy Keep". Docteur, comme Luke Rhinehart...


    Tracklist :
    1.Lab Baby 03:20
    2.A Great Year for Shadows 03:34
    3.Poems,Prayers & Pills 03:03
    4.Gri Gri 03:37
    5.Fly Away 05:07
    6.Bobby X 03:46
    7.Harp for Bats 03:46
    8.In the Sky 03:00
    9.Peepholes 03:20   
    10.Branded Youth 03:04

    released 01 January 2011
    All Words & Vocals by Mau, except Fly Away by Julee Cruise.
    All tracks Mixed by Kosi & T.Saul in Studio Koslik, Berlin & Produced by T.Saul.
    Rik Dowding was the engineer at S.O.A.Studios, Bristol.

     

    mp3


    votre commentaire
  • http://khoe-wa.meabilis.fr/mbFiles/fileManager/thumbs/250x250/poch-eplife.jpg

    http://khoe-wa.meabilis.fr

    http://www.myspace.com/khoewa

    Origine du Groupe : France
    Style : Trip Hop , Electro Dub
    Sortie : 2011

     

    Par Erwan pour http://www.trip-hop.net

    Le nom de Kwoe-wa ne vous évoque peut-être rien et pourtant ces derniers creusent leur petit sillon entre électro-dub, world et trip-hop depuis bientôt 6 ans. Leur route aura d'ailleurs croisé, sur cette période, des artistes chers à trip-hop.net tels qu'Orange blossom, Brain damage ou encore Kaly live dub. Jolie carte de visite, quand même.
    Et cet album - EP Live ? - ne déçoit pas même s'il s'avère un peu court avec ses 5 " petites " pistes seulement. Il n'empêche qu'on ne boude pas son plaisir : les mélodies sont efficaces, les arrangements bass'n dub complètent la jolie voix tout en suavité de Julie Fallu avec beaucoup de justesse et sans monotonie.
    Les tonalités rock de Warp révèleront au fil des écoutes de petites subtilités sonores dans les arrangements. Le plaisir grandit encore à l'apparition d'un sitar qui - ma foi - déchire vraiment ! (j'adore) La reprise de Venus in furs (Velvet underground déjà remise au goût du jour en 2005 sur le fnal du désespéré Last days de Gus Van Sant) est très réussie, étrangement plus rapide et presqu'enjouée... Mais, pourquoi pas ! High to down s'écoute ensuite assez tranquillement avec un final au sitar qui apporte juste ce qu'il faut de complexité avant la jolie montée tout en basse de Fucking unplugged et un final très roots (They say)...
    Il y a quelque chose ici d'Orange blossom. Certes, moins dense, mais plus intime. Et si le tout manque un peu de matière, on y trouvera du savoir faire, ce qu'il faut d'originalité (merci le sitar), d'exotisme et de charme. Et c'est bien ça, le charme.

    Tracklist : 
    1. Warp
    2. Venus in furs
    3. High to down
    4. Fucking unplugged
    5. They say

    Tell a Friend

    <script src="http://cdn.widgetserver.com/syndication/subscriber/InsertWidget.js" type="text/javascript"> </script><script type="text/javascript"> // <![CDATA[ if (WIDGETBOX) WIDGETBOX.renderWidget('93ba8a3c-546d-482e-bff3-396fe7e5739b'); // ]]> </script>


    votre commentaire
  • http://zene.hu/image/db_album/.640x640/5659.jpg

    http://www.myspace.com/binjipofficialspace

    Origine du Groupe : Hungary
    Style : Trip Hop , Future Jazz
    Sortie : 2010

    From official Myspace :

    Four young musicians are behind the odd-sounding name “Bin-Jip”. Although their existence and their working together has been an open secret for some time, the band was not in a hurry to go officially public. They have been working for more than a year perfecting their tunes, which can be described as more eclectic, modern and experimenting than their previous projects. Albeit being eclectic, their show is absolutely song-centric. Bin-Jip is a very democratic community, where the musicians are almost peers in writing, arranging the songs and being producers of the project. They not only contribute with their own instruments, but they shape the songs’ structure, sounds and effects together. After a year of work they have recorded a whole album’s worth of exciting music. The name “Bin-Jip” comes from the Korean motion picture, which is a well-liked movie of the members. But beyond that, the name was chosen because in the movie the story took place mainly indoors, just like the band, which existed only in Andrew J’s living-room up until now. That is where the songs were written and the musicians became a band.

    Booking: matyasszepesi@gmail.com


    Tracklist :
    01. Enter
    02. Step
    03. Heat
    04. Where Is She
    05. One Word
    06. All Excuses
    07. Outer Eye
    08. Bin-Jip
    09. Keep Away
    10. 8Days
    11. Earthquake
    12. Hair Down

    mp3

    Tell a Friend

    <script type="text/javascript"> // <![CDATA[ aR_BgColor=""; aR_FgColor=""; aR_url=location.href; aR_title=document.title; aR_StarType ='3'; document.write('
    </div>'); document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"></scr'+'ipt>'); // ]]> </script>

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique