• http://www.myspace.com/tributetopablogad


    Pablo Gad est comme Shaka un personnage mysterieux dont on ne connait pas grand chose, si ce n'est qu' il est l'un des artistes les plus talentueux du Royaume Uni. Pablo fait partie des chanteurs les plus virulents et engagés de la scène Roots Reggae UK. Il débute sa carrière à la fin des 70 's en signant un premier opus "Blood Suckers"(que l'on peut trouver sous un autre nom : Trafalgar Square"), en 1978, backé par le "Zion Steppers", qui fait partie des pièces maîtresses du reggae (qu'il soit anglais ou jamaïcain). Il enchaine ensuite les tueries : Hard Times (1980), Best Of (77 - 80) qui compile ses meilleurs titres avec des version discomix, Life Without Death, Don't Push Jah (2003) (plus que vivement conseillé)... "On dit" que... Pablo Gad est un "Bad Man" (Herb businessman) , un peu parano (ça fait des années qu'il ne tourne pas car il considère ça comme de la prostitution - mais il semblerait que cela s'arrange !). Malgé toutes ces frasques, il reste quand même un BIG BIG ARTISTE !

    Discographie






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  • http://dawehcongo.com/
    http://www.myspace.com/dawehcongo

    Ecoutez Ghetto Skyline megamix :


    Depuis ses débuts en 1999 avec l'album "Militancy", Daweh Congo a mené sa carrière un peu en marge, n'attirant que rarement la lumière comparé aux artistes de sa génération. Ce qui ne l'empêche pas de durer : celui qui a enregistré son premier titre pour Alton Ellis sortira début 2009 son sixième album, "Ghetto Skyline", alors que son dernier effort, "Health & Strenght", enregistré à Londres, remonte déjà à 2005.
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    Discographie :

    Militancy-1999

    Human Rights & Justice-2000
    Guidance/In Dub-2000
    Jah Children-2004
    Health & Strength-2005
    Ghetto Skyline - 2009 


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  • http://tushungpeng.free.fr/
    http://www.myspace.com/tushungpeng



    Chronique écrite par Nicolas Pradat
    le mardi 07 octobre 2008


    "Trouble Time", le dernier album de Tu Shung Peng, est une vraie sensation ! Le groupe est passé du statut de backing band parisien prometteur à celui de révélation reggae. Sans rien renier de leur manière d’appréhender la musique, on est monté d’un cran dans la qualité des riddims où les riffs de cuivres ont tous le petit plus qui fait mouche et qui prolonge le plaisir de l’écoute. En ce sens, le Trouble Time riddim, qui donne son titre à l’album, est une vraie carte de visite pour le groupe. Les ossatures rythmiques ont été polies et malaxées jusqu'à atteindre cette fragile sensation de légèreté. Le Soul Jazz Riddim lancinant et lourd, est emprunt d’une magie propre, tandis que Johnny "Dizzy" Moore, aux côtés de Bunny & Skully, habite le Eskobar Riddim (True love can never dies) qui clôture l'album.

    Tout cela ne serait rien sans un line-up impeccable. Clinton Fearon (ex Gladiators) ouvre la danse suivi par un Michael Rose plus profond que jamais (Babylon pressure). Plus loin, le maitre des dancehalls, Joseph Cotton, brûle de sa voix rauque un Trouble Time inusable (Filthy Act). Coté deejay, c’est sûrement le résultat d’un sondage d’opinion tant le fan de roots est comblé : en plus de Cotton, on retrouve Prince Jazzbo, Tappa Zukie, U Brown, Ranking Joe et…un U Roy en forme ! Si tous les riddims sont parfaitement voicés, vibrants, il faut également noter la qualité des lyrics, qu’on retrouve avec plaisir dans le livret. Derrick Harriott et Bunny Brown nous livrent à ce propos un magnifique I’m A Believer, incandescent et profond. On va se bousculer à la porte des studios de Tu Shung Peng.
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  • icon for podbean  Standard Podcasts [ 46:28m]: Hide Player | Play in Popup | Download | Embeddable Player |



    Again from my large tape archive: A selection of tunes played on the radio in Berlin in 1988. The independent radiostation “Radio 100″ had a weekly show called “Dubstreet”. I recorded it sometimes (to an audiotape, of course). It starts with some heavy Ska tunes, followed by Rocksteady and Rootsreggae (remember: Peter Tosh was killed only a few months ago, Ska had his second revival). And it´s finished with some really fresh Dancehall. So everything, that was hot at this time was presented in this realy good show. Fortunally you got the music, unfortunally there are no comments of the radio DJs.

    11_Reggae_and_Ska_Radio_1988_part_1.jpg

    So here´s the playlist:

    1. -?-: The Lord is with me
    2. Jackie Opel: Wood inna di fire
    3. Warren Allan: Babylon (Studio 1, 1964)
    4. -?-: -?-
    5. Decan Johnson: The woodman (Lee Pery)
    6. Spanish Town Ska Beats: Stop that train (Blue Beat, Prince Buster, 1965)
    7. -?-: In the backyard
    8. the Maytals: Hallelujah
    9. Derrick Morgan: Forward march!
    10. Derrick Morgan: The Hop
    11. Burning Spear: Repatriation (1983)
    12. Bunny Wailer: Get up, stand up (1977)
    13. Peter Tosh: Apartheid (1987)
    14. DubStreet jingle
    15. White Mice: Cocaine (True love, 1988)
    16. Courtney Melody: Bad Boy
    17. ?: Haffi fly out

    Selektion by Switch Docta. Original recorded as an audiotape August 1988. Digital rework made at Electric Lion´s Den. Berlin-Kreuzberg. Germany. November 2007.

    Blessings, Switch Docta

    Listen Now:



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  • http://www.rockamovya.com/




    Rockamovya (A Groundation side project )


    What do you call a project featuring modern Jazz/Fusion/Jam's most ubiquitous guitarist, Roots Reggae music's most prolific drummer, and three players from the biggest American Reggae band in the world?

    Rockamovya brings together long time Jazz-heavyweight, Grammy nominated Will Bernard (Motherbug, Stanton Moore trio, Dr. Lonnie Smith), the incomparable Leroy "Horsemouth" Wallace (Burning Spear, The Abyssinians, the cult film classic "Rockers") and Ryan Newman (bass), Marcus Urani (organ/keys/piano) and Harrison Stafford (rhythm guitar/ vocals) of the internationally acclaimed Cali-based Reggae-Fusion group Groundation for what will surely be a genre-defying classic of an album.

    Rockamovya is already generating a strong buzz within the more traditional music industry, as well as the ever-growing conscious music community. The expansive and altogether new sound Rockamovya emits is due in large part to the inter-generational links the album has created. Whether its Horsemouth's 1960's era steppers rhythms, Bernard's 1970's inspired jazz-funk licks, or the wholly unique 21st century roots sound of Groundation, Rockamovya reaches across demographics and genres to entice and enthral listeners of any and every tribe.

    (...)




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