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    Note : +

    http://www.myspace.com/davidhillyardrocksteady7

    Origine du Groupe : North America

    Style : Reggae , Instrumental , Jazz , Ska

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    01 – Get back up!
    02 – Death ride
    03 – Change of plans
    04 – Ca’purange
    05 – Esta tarde
    06 – 7 years of plenty
    07 – RNA
    08 – Sunny
    09 – Greedy
    10 – Soul thing for Ray
    11 – Trouble sleep yanga wake am

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    Tenor and soprano saxophonist, David Hillyard is one of the innovators of the American ska scene. His group, the Rocksteady 7, mixes instrumental Jamaican roots rhythms and extended jazz improvisation. His new cd GET BACK UP! is a blinding tour de force of his Jamaican Jazz conception. David Hillyard has played with Hepcat and the Slackers. El saxofonista tenor y soprano David Hillyard es uno de los innovadores de la escena ska estadounidense. Su grupo, The Ropcksteady 7, mezcla ritmos instrumentales roots jamaicanos y extensivas improvisaciones de jazz. Su nuevo cd GET BACK UP! Es un deslumbrante tour de force a través de su concepción del Jazz Jamaicano. David Hillyard Ha tocado con Hepcat y Slackers.

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  • http://www.peterbroggs.com/images/never_forget_big.gif

    Note :

     

    http://www.peterbroggs.com

    http://www.myspace.com/roots17

    Origine du Groupe : Jamaica

    Style : Reggae Roots

    Sortie : 2001

    Tracklist :

    1. Vank Out (Vocal & Dub)
    2. African Sister (Extended)
    3. Jah Golden Throne (Extended)
    4. Don't Get Weary Rastaman
    5. Never Forget Jah
    6. Jah Jah Voice Is Calling
    7. International Farmer (Vocal -- Original Version)
    8. International Farmer (Dub Based On Later Vewsion)
    9. Rastafari Liveth (Extended)
    10. No Ism Pon De Riddim
    11. Give Thanks
    12. Rastaman Chant Nyahbingi

    00000000000000DOWNLOAD

    Le retour en grâce des yardies ne profite pas seulement aux mythes tels que Big Youth, U-Roy  ou Horace Andy. A leur suite, des artistes moins réputés reviennent sur le devant d'une scène qu'ils n'ont jamais quittée. Les amateurs de reggae ne sont jamais rassasiés de sensations, et rien ne semble devoir entraver les efforts entrepris par les labels soucieux de transmettre aux siècles futurs des œuvres menacées de disparition, et avec elles la mémoire de leurs auteurs. C'est donc avec une immense joie que nous avons accueilli l'anthologie consacrée à Peter Broggs par Motion Records.

    Il faut dire que le cas Peter Broggs nous interpelle depuis longtemps. L'homme n'eut pas une carrière très prolifique, ni très remarquée. Et pourtant, l'artiste est grand : une voix plaintive, un style de sufferer roots authentique, des textes simples empreints d'une grande sincérité. Le décalage entre son talent et sa notoriété s'explique sans doute par la modestie du personnage. Rasta consciencieux, Peter Broggs n'a jamais cherché à se faire de la pub. Les stratégies de crossover sont étrangères à ses préoccupations. Même lorsqu'il connut le succès en Jamaïque, il eut pour seul souci de s'occuper de sa famille, prier Jah et se comporter en bon rasta.

    Peter Broggs est né en 1954 dans un petit village de Jamaïque près de Negril. A 17 ans, comme beaucoup de jeunes Jamaïcains, il s'en va tenter sa chance à Kingston, travaillant à l'usine pour gagner sa vie. Evidemment, le jeune Peter ne tarde pas à nouer de mauvaises fréquentations, intégrant rapidement une communauté rasta. Il laisse pousser ses cheveux, fume de l'herbe plus souvent qu'à son tour, commence à prier Jah et joue de la musique avec ses nouveaux amis. Il est vrai que dans le Kingston des seventies, devenir rasta est la plus belle aventure dont puisse rêver un adolescent méditatif qui s'est ennuyé à la campagne pendant toute sa jeunesse.

    La vie étant faite d'épreuves qui vous poussent à faire des choix existentiels, voilà que Peter se fait virer de son boulot parce que sa coupe n'est pas réglementaire. A ce moment de sa vie, l'arbitrage est clair : soit il se coupe les dreads et devient un bon ouvrier, avec la possibilité de passer contremaître dans une dizaine d'années, soit il dit fuck you à Babylone et il se jette à corps perdu dans sa passion, la musique. Evidemment, Peter choisit la seconde voie, sans doute poussé en cela par une Amélie Poulain locale.

    Pour une poignée de dollars, Peter Broggs engage alors des musiciens pour enregistrer un disque. Et pas des moindres : les Roots Radics, l'un des plus talentueux backing bands de l'époque. Peter loue le studio Channel One, enregistre presto le titre Vank out, se débrouille pour auto-produire le 45t puis s'en va le vendre lui-même dans les rues de Kingston. Quelques mois plus tard, il réitère l'opération pour African Sister. La situation est difficile, Peter n'a plus d'argent, et il n'est pas très doué pour convaincre les gens d'acheter ses disques. Il survit tant bien que mal dans le ghetto avec ses amis rastas. De fait, il laisse tomber ses projets musicaux, découragé.

    Et puis un jour, en 75, il croise Bim Sherman, Monsieur Bim Sherman en personne, rendez-vous compte, et Bim lui adresse ses compliments pour Vank out, qu'il a eu l'occasion d'entendre : "T'as du talent, mon gars, t'as une super voix, t'as un super rythme, lâche pas l'affaire, continue à bosser, t'as un truc à accomplir", lui dit-il en substance. Alors Peter se sent tout ragaillardi, il se dit que Bim Sherman doit avoir raison, et puis il ne voudrait pas le décevoir, alors il repart à l'attaque, un peu comme les meufs de Popstars quand elles se font coacher sévère. Avec son copain Bim, Peter fait le tour des studios pour proposer ses services vocaux. Il s'incruste au Randy's, retourne au Channel One, tente sa chance au Tuff Gong, passe dire bonjour à King Tubby et tente sa chance au studio Treasure Isle. A chaque fois, il en profite pour placer ses 45t auto-produits. Parallèlement, il enchaîne les petits boulots pour vivre. Peu à peu, le buzz monte. Peter se lie d'amitié avec Gregory Isaacs, et on commence à lui proposer des plans d'enfer. Bingy Bunny, le bassiste des Roots Radics, lui propose de faire sa promo en Angleterre, à l'occasion d'une tournée où les Roots Radics doivent accompagner l'ami Gregory. Pour cela, il faut juste que Peter lui confie quelques enregistrements originaux pour faire saliver les producteurs. Rebelote : Peter loue le studio Channel One pour deux heures afin d'y enregistrer quelques morceaux. Pour que ça sonne parfaitement bien, il décide de confier à King Tubby l'enregistrement des voix et le mixage. Comme rien n'est jamais simple, le king n'a qu'une paire d'heures à leur accorder. C'est amplement suffisant pour Peter, dont le talent explose dans cette session à Waterhouse, endroit magique il est vrai, propice au dépassement de soi (cf. The crowning of Prince Jammy). Peter devait sortir trois morceaux à cette occasion. Finalement, subjugué par la voix de ce chanteur inconnu, King Tubby lui permettra d'en enregistrer dix, en lui filant des riddims gentiment sortis d'une boîte magique où il était écrit "A n'utiliser qu'avec les chanteurs vraiment talentueux et sympas". Cette collaboration aboutira à l'album Progressive Youth. Ainsi introduit, Peter collaborera avec Coxsone Dodd, puis avec Prince Far I (sur Jah Golden Throne notamment).

    Suit une anecdote amusante, derrière laquelle on reconnaît une nouvelle fois la marque de la Providence : à la fin des années 70, Doctor Dread, un animateur radio vivant aux Etats-Unis, croise Peter Broggs dans une rue de Kingston, Chancery Lane. Bon, en réalité, la Providence est un bien grand mot pour désigner le concours de circonstances qui amena les deux hommes à se rencontrer. En fait, Peter Broggs était en train de tenir le mur de la boutique de disques de Gregory Isaacs, African Museum. Doctor Dread, quant à lui, se rendait dans la dite boutique afin d'y saluer son ami Gregory et de collecter ses productions récentes pour les exporter aux Etats-Unis, par le biais de son show radio ("Night of the living dread") et d'un petit label tout neuf qui se contentait alors d'exporter les albums reggae ayant connu le succès en Jamaïque. La probabilité que Dr. Dread et Peter Broggs se rencontrent était donc élevée, et il était dit que cette rencontre se ferait grâce à Mister Isaacs, qu'il soit remercié pour ça aussi. Bref, Dr. Dread salue Peter et lui adresse ses félicitations pour ses talentueuses productions. Peter se marre et pense à une blague. Il ne lui semble pas possible que sa musique puisse être entendue en dehors de l'île. Doctor Dread insiste, dit à Peter qu'il diffuse régulièrement ses morceaux et, pour prouver sa bonne foi, se met à les chantonner. Peter est sur le cul ; Doctor Dread enchaîne en lui demandant s'il dispose de suffisamment de chansons en réserve pour sortir un album. Il vient de lancer un label de reggae, et aimerait que Peter Broggs enregistre pour lui le premier album original d'une série qu'il espère longue.

    Epilogue : le label en question s'appelle RAS Records ; il est devenu une des plus grandes maisons d'édition reggae, et continue de prospérer. La collaboration entre les deux hommes donnera l'album Rastafari Liveth en 1982, qui contient notamment le planant Jah jah voice is calling et l'alléchant International farmer. Suivront les albums Rise and Shine en 1985, Cease the war en 1987 et Reasoning en 1990. Très longtemps, Peter Broggs continua à vivre chichement, les modestes ventes de ses albums ne lui permettant pas de connaître le confort d'une rock star capricieuse. Il continua à vivre dans une petite baraque du ghetto de Kingston, sans électricité ni eau courante. Dr. Dread racontera par la suite comment Peter, venu à Washington pour faire la promo de son album, claqua ses économies en vingt minutes ! Peu à peu, heureusement, l'artiste parviendra à vivre correctement de son travail, et continuera à enregistrer, sur son propre label ou pour RAS Records. Ses productions n'égaleront pas ses travaux de jeunesse, notamment parce que son style de chanteur roots cadre mal avec la vague de ragga numérique qui transforme l'industrie du reggae dès le milieu des années 80.

    Il n'y a donc pas lieu de regretter que la compilation mise au point par Motion records se concentre sur la première partie de carrière de Peter Broggs (The early years 76-86). L'essentiel est là. Un concentré de reggae roots mélodique, où la douce voix de Peter Broggs se pose sur des arrangements impeccables, orchestrés par les Roots Radics, Sly & Robbie ou les Wailers. Ici et là, vous reconnaîtrez la basse de Familyman, la touche de Sly Dunbar et les arrangements de King Tubby aidé de l'un de ses disciples, Scientist. La compilation permet d'apprécier une écriture originale, dans laquelle Peter Broggs enrichit les thèmes classiques du rastafarisme d'une approche personnelle, faite d'humilité, d'humour et de générosité. Mention spéciale pour Vank out et African Sister, les deux premières chansons écrites par Peter Broggs, avant même qu'il n'embrasse réellement la carrière de chanteur. Ces deux superbes morceaux ne lui apportèrent pas, à l'époque, le succès qu'il méritait déjà, mais c'est à leur écoute que diverses bonnes fées eurent envie d'aider Peter Broggs. Sans ces deux morceaux, grumeleux et sticky à souhait, Peter serait sans doute retourné dans son village, et les amateurs de reggae n'auraient jamais eu la chance d'entendre cet artiste de grande classe.

    Par Kzino

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  • http://www.wobblyweb.com

    http://www.myspace.com/ziontrainindub

     

    Live in Paris , at Glaz'Art : 26 October 2009

    Style : Reggae , Dancehall , Electro Dub

    Tracklist :

    1. Track 01 00:05:27
    2. Track 02 00:04:46
    3. Track 03 00:02:05
    4. Track 04 00:02:35
    5. Forward Ever Backward Never 00:05:03
    6. Track 06 00:06:40
    7. Give Me Good Sensimilia 00:05:07
    8. Track 08 00:06:33
    9. Track 09 00:06:03
    10. Track 10 00:08:24
    11. Track 11 00:06:40
    12. Track 12 00:07:26
    13. Track 13 00:05:09
    14. Track 14 00:07:31
    15. Track 15 00:06:15

    REVIEW CONNECT


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  • http://www.tightenup.fr/_emission/archives/images/Zion%20Train%20Live%20as%20One.jpg

    Note : ++

    http://www.wobblyweb.com

    http://www.myspace.com/ziontrainindub

    Origine du Groupe : United Kingdom

    Style : Reggae , Electro Dub

    Sortie : 2007

    Tracklist :

    1) Boxes and Amps feat Dubdadda(perch/fullwood/johnson)
    2) Audrey and June (perch/fullwood)
    3) Life That I Choose feat YT (perch/hull/fullwood)
    4) What A Situation feat Raiz and Tippa Irie(perch/harzmann/henry/della volpe)
    5) Moha (perch/fullwood)
    6) Tribute To Keng Keng (perch/fullwood)
    7) Forward ever feat Lua (perch/berk/fullwood)
    8) Edelweiss Piraten (perch/fullwood)
    9) Give Me Good Sensi feat Earl 16 (perch/fullwood/daley)
    10) Terror Talk feat Dubdadda (perch/fullwood/johnson)
    11) Animus Mundi (perch/fullwood)
    12) Live As One feat Lua (perch/fullwood/berk)
    13) Why feat Marlene Johnson (perch/fullwood/johnson)
    14) Hibakusha song (perch/fullwood)
    15) Baby Father feat YT (perch/hull/fullwood)
    16) Bloodlines feat Dubdadda (perch/fullwood/johnson)

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    Live As One marque plusieurs renouveaux pour Zion Train, déjà il s'avère être le premier disque du groupe entièrement produit et arrangé par Neil Perch seul, au Zion Train studio de Cologne (en Allemagne) et tranche définitivement avec les précédents métissages sonores en proposant essentiellement des morceaux dub et new roots.
    On retrouve à travers les textes des chansons les thèmes et inspirations habituels de Zion Train, soulignant l'influence et le désordre générés par les sociétés occidentales, invitant chacun à mieux se responsabiliser et assumer ses choix, délivrer plus d'amour et de compassion.
    Un livret accompagne d'ailleurs le digipack du CD, y figurent le discours de commémoration de la déclaration de paix prononcé en 2006 par le maire d'Hiroshima - Tadatoshi Akiba, des extraits d'articles de quotidiens de presse du Times, Daily Mail...Mais aussi un texte plus obscur sur les caractéristiques de plusieurs espèces de grenouilles (??).
    Le discours militant de Zion Train est plus que jamais présent et sera énoncé au cours de l'album par les voix de sept chanteurs/singjays dont le meilleur viendra certainement des participations féminines.
    Sur le conscient Live As One c'est le chant de Lua que l'on a déjà entendue sur Bass Matters des Radikal Dub Kolektiv qui nous transporte mais on retiendra surtout le splendide Why où la délicieuse voix soul de Marlene Johnson nous provoque les frissons ultimes de l'album.
    Dubdadda et YT animent de leur flow énergique les tubes Boxes And Amps, Life That I Choose et Baby Father, trois déflagrations sismiques aux lignes de basses percutantes conçues pour embraser les live sets du groupe.
    La seule petite déception vient à l'écoute de Give Me Good Sensi entonné par Earl 16, curieux morceau car malgré sa bonne qualité, le sens du texte (ôde à la sinsemilia) diffère un peu de la tendance générale des titres et aurait probablement plus sa place sur un album d'Abassi All Stars (le side project de Neil Perch).

    Perch nous fait une fois encore la démonstration de ses talents d'arrangeur à travers des dubs épurés, mêlant instruments live aux basses et rythmes digitaux. Il s'amuse aussi à reprendre certains riddims des débuts de Zion Train, nottamment de Passage To Indica, pour en livrer des versions boostées à la sauce steppa actuelle.
    L'influence des Radikal Dub Kolektiv se fait clairement sentir sur Tribute To Keng Keng, leur batteur Vedran Meniga a d'ailleurs participé à l'élaboration du disque et est à n'en pas douter un des initiateurs de ce dub imparable.
    C'est aussi l'ombre des Vibronics que l'on voit également se dessiner sur quelques de pistes, nottament Edelweiss Piraten et Baby Father. Pas étonnant que ces derniers aient remixé le titre Boxes & Amps à l'occasion d'une sortie en vinyl 10'' au mois de Mai (Zion Train Remix EP – EGGY025) tellement les sonorités des deux formations trouvent des points de convergeance.
    David Fullwood (trompette) et Bigga Harzmann (trombonne) forment un excellent contre-point instrumental roots aux skanks et basses digitales de Perch. Tout le monde n'appréciera pas forcément la présence systématique de cuivres sur toutes les compos mais on ne peut pas nier qu'ils font partie de l'empreinte musicale de Zion Train.
    Un des gros point fort de Live As One est également d'alterner entre tracks new roots et dub instrumentaux, ne décevant ainsi aucun amateur des deux styles et conférant un bon rythme à l'ensemble.
    ziontrainlive.jpg Neil Perch et MC DubDadda (photo : Derek Djons)

    Parmis les disques attendus au tournant de la rentrée 2007, Live As One est de ceux hautement recommandables pour tout fan du groupe qui se respecte (ayant patienté plus de cinq ans avant de voir l'émergence d'un nouveau LP) et les amateurs de dub steppa cuivré à la Abassi All Stars.
    Même s'il n'atteint pas des sommets d'originalité, faisant plutôt figure d'évolution, il est la preuve qu'au bout de quinze ans Zion Train ont gagné en maturité et ont finalement pris peu de rides. L'énergie est bel et bien au rendez-vous et pour vous en convaincre, allez faire un de leurs concerts et quand vous verrez Dubdadda sauter à plus d'un mètre du sol entre deux refrains de Terror Talk vous comprendrez vite que la vibe UK n'est pas prête de s'éteindre !

    par Mill3k

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  • http://vibrationsmusic.com/wp-content/images/shop/jamaica-shines-everywhere.jpg

    Note :  ++

    http://vibrationsmusic.com/collections-vibrations

    Origine du Groupe : Various World

    Style : Reggae

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    01. Groundation - Freedom Taking Over (6:01)
    02. The Black Seeds - Send A Message (6:18)
    03. Natty - Bedroom Eyes (4:17)
    04. Sharon Jones & the Dap-Kings - How Long Do I Have to Wait (Ticklah Remix) (5:42)
    05. Blundetto Featuring Grandmagneto - Everybody's Talkin' (3:20)
    06. Katchafire - Seriously (3:21)
    07. 340 ML - Midnight (3:43)
    08. Nightmares on Wax - 70's, 80's (5:35)
    09. Easy Star All-Stars - Karma Police (4:48)
    10. Calypso Rose - Calypso Blues (4:18)
    11. Prince Koloni - Murderer (4:15)
    12. Nutty & Wharfy - Give Me A Chance (4:26)
    13. Alpha Wess - Mobaloukomma (5:26)
    14. Manjul - Africa is Calling (His Children to Go Home) (4:44)
    15. Fc Apatride - Tricks (4:10)
    16. Santogold - Shove it (Switch Remix) (3:46)
    17. Dub Pistols Featuring Rodney P - You'll Never Find (4:21)

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    17 morceaux de reggae du monde entier Les racines du reggae roots des années 70 ont poussé. Le son jamaïquain est aujourd’hui un arbre robuste, dont les branches s’étirent aux quatre coins de la planète. Aucun des titres de cette sélection n’a été produit en Jamaïque. Et pourtant, la terre de Marley est partout sur ce disque riche, fertile, et dont les fruits vous surprendront par leurs saveurs originales et subtiles.

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