• http://xxmusic.ru/uploads/posts/2010-01/1263672198_a_borovik-cover.jpg

    Note : +

    http://alexanderborovik.ru

    http://www.myspace.com/alexanderborovik


    Took from rap better and it reembodied. However, this new music it is equal as rap, it is so created for the life: it is possible to listen to it, when you go, you lie, you sit, you will go. It can be background, it is possible to listen to it, it is possible to listen to it, and it is possible to design for it, being in any mood. Within the framework resources about rap we consider “by a whisper”, of course, not as something that connected with this rap itself, but as simply good music.

    Text possesses not semantic fullness, but fullness by the symbols, which in the head of each will outgrow already by its own associations, thoughts and interpretation. From the other side, it cannot be said that the song of Alexander - this continuously symbolism. In them many sufficiently simple phrases without the dual bottom, which exactly in the context of music acquire their intricate nuances. This music not for those, who love, when all present to them on the saucer, and not for those, who never took into the hands volume with the verses.

    The absence of some strict movement to canons, generally something strict gives, at long last, the possibility to be weakened and to cease to analyze and to compare (only if you are the conservative fan of his past turn of creation). Here [Borovik] - free artist. It, as El Salvador they gave, strings means after the means in the limits of one work, creating the fabric, which is deprived of any framework, its linen is limitless.

    The amplitude of the fluctuations of mood, manner of performance, arrangement is not great, canvas for this work one. Sensations from one track smoothly overflow into the sensations from another. In the life there are no sharp passages from one aspect to another, so and [Borovik] it must be perceived in the totality.
    Thoughts about the success of rhymes (about the rhymes as a whole) practically do not appear. The author rather is similar to the actor, than to the musician. “In a whisper” it obeys as radio performance. From a number of its passages of ant they run along the skin, and is created impression, that some lines could not be written otherwise as on the elbows or in the assaults of fury. And, it seems, in this play main heroine - music.

    You listen to and you begin to envy to this freedom from [skilzov], this determination to accept itself as such, such as you exists. Volney [Borovika] perhaps that wind. And this ease of passage of one state to another is definitely transferred to listener and gives to it, in addition to the impressions, feelings and pleasure, the new point of view. Especially if thus far listener could not be abstracted from rap or could not understand that music - this, first of all, skill.

    the author: Maria [Leskova]
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    Origine du Groupe : Russia
    Style : Folk , Rap
    Sortie : 2010

    Tracklist:
    01. Новый
    02. Шёпотом
    03. Вдохновение
    04. Нет никого ближе
    05. Белый шум
    06. Не убежать
    07. Катя
    08. В бетонных склепах
    09. Исповедь
    10. Трамплин
    11. Кривой эфир
    12. Верить в чудо

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    Note :

    http://www.theestrandedhorse.com

    http://www.myspace.com/theestrandedhorse

    XVIIème siècle : le sinistre commerce triangulaire débute et conduit un grand nombre d'Africains en Amérique ; leur exploitation et les conditions cruelles dans lesquelles ceux-ci sont traités donneront naissance à une musique qui, avec les années et au contact des instruments d'origine européenne (guitare, harmonica, …), s'appellera le blues. A son tour mêlée aux genres traditionnels des colons (bluegrass, …), celle-ci deviendra l'un des (nombreux) ancêtres de la musique folk. Tout ceci est bien évidemment très très schématique. Mais sur son nouveau projet, "Thee, Stranded Horse", Yann Tambour a décidé d'effectuer le trajet inverse, rebroussant le temps et l'espace : c'est désormais le folk américain qui, dans un voyage apaisé, vient rendre visite à l'Afrique. A travers le chanteur d'Encre, ce sont les voix nasales de la musique des Etats-Unis qui abordent l'Afrique et empruntent l'un de ses instruments traditionnels : la kora, sorte de harpe issue de la tradition mandingue. Le mélange est inédit. Dépouillé, et superbe : pas question de tomber dans la caricature ou dans le tourisme musical ; l'instrument est ici au service du spleen du chanteur. Et celui-ci, admirable joueur de kora, se permet toutes les audaces : de la folk-song de quelques minutes aux longues plages quasiment psychédéliques de "Swaying Eel" ou "Sharpened Suede". Ainsi, "Misty Mist", belle reprise dérobée à Marc Bolan, dédouble la voix du chanteur de manière inquiétante. "Le Sel", chanté dans un français mâchonné, évoque l'eau de cet océan qu'il a fallu traverser. La voix penche tour à tour vers les plaintes des bluesmen ("Churning Strides") ou du côté du chant nasillard d'un Dylan ou d'un Vic Chesnutt ("Sharpened Suede"). Les morceaux prennent leur temps, entrelacent les arpèges, s'arrêtent parfois, dévisagent l'auditeur et reprennent leur route tortueuse. Et on ne va pas se priver de faire la route avec eux.

    par Christophe Dufeu
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    Origine du Groupe : France , U.K
    Style : Folk , Psyché
    Sortie : 2007

    Tracklist :
       1. So Goes the Pulse
       2. Misty Mist (Highways)
       3. Le Sel
       4. Swaying Eel
       5. Churning Strides
       6. Tainted Days
       7. Sharpened Suede
       8. Fiend Over your Knees

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  • http://ecx.images-amazon.com/images/I/51CWY4K500L._SL500_AA300_.jpg

    Note :

    http://www.rykardaparasol.com

    http://www.myspace.com/rykardaparasol

    S'appeler Rykarda Parasol n'est peut-être pas si facile que ça... En effet, nous aurions très vite tendance, trop même, à la classer dans la variété avant même de l'avoir écoutée. Pourtant nous aurions bien tort car Rykarda Parasol nous offre un album plein d'émotion qui n'a vraiment rien à voir avec l'image erronée que nous pourrions nous faire en découvrant son nom.

    La chanteuse et guitariste nous vient de San Francisco. Elle a fait ses preuves avec un groupe nommé The Tower Ravens formé en 2002. Un premier EP sort en 2003. Parmi ses influences, il y a un certain Nick Cave mais aussi le Velvet Underground de l'époque Nico. Pas étonnant du tout à l'écoute de cet opus, mais c'est loin d'être les seules.

    Un titre comme "Hannah Leah" ne manquera pas de vous captiver. Le chant de Rykarda nous titille les tympans, l'ambiance est hypnotique, impossible de ne pas avoir envie de chanter avec elle tant le refrain nous capture dans ses filets. Dans la voix de la chanteuse, il y a un petit côté Marianne Faithfull mais aussi des empreintes bien PJ Harvey. Ainsi sur "Night on Red River", elle module, elle varie, et puis elle a toujours ce côté captivant dont on ne ressort pas vivant. Elle assure la guitare rythmique, Greg Benitz s'occupant des guitares d'habillement assurant de petites plaintes jouissives. Quelques vocalises transcendent le tout sur la fin.

    La mélancolie qui baigne "Weeding Time" est captivante. Sa voix nous ensorcelle à la manière d'une Faithfull. "Candy Gold" est plus rythmé mais l'impression générale d'intimité qui baigne l'opus persiste malgré tout. L'étrangeté de "Arrival, A Rival" nous interpelle. Encore une fois le côté hypnotique est subjuguant et cela en fait une des perles de la rondelle. Plainte aérienne d'un Theremin sur "Good Fall", un court instrumental sur lequel Rykarda assure guitare et piano.

    En parfaite disciple de Nick Cave, elle nous envoie en pleine figure ce "How Does a Woman Fall?". Les percussions sont d'une sobriété sans pareille, un peu d'accordéon et de Theremin assure l'ambiance. "En Route" permet au piano de se remettre en valeur soutenant le chant habité de notre vedette. "Lonesome Place" sera plus léger avec un côté Velvet Underground bien marqué. La chanson est basée sur un poème de Langston Hughes.

    Le chant de "Texas Midnight Radio" est soutenu par des vocalises aériennes. Le piano de Wymond Miles et la guitare acoustique de Rykarda lui ajoutent ses atours. "Weeding" est plus classique avec un chant lancinant aux tons graves telle une Faithfull. Elle terminera avec "Janis, Don't Go Back" où elle est quasi seule assurant chant et piano. Jeffrey Luck Lucas ajoute juste un peu de violoncelle accentuant la mélancolie.

    Sorti en 2006 aux Etats-Unis, ce premier album de Rykarda Parasol arrive seulement en Europe en ce mois de février 2008. Il aurait vraiment été dommage de rater cela et si vous aimez Nick Cave, PJ Harvey, Marianne Faithfull et Patti Smith, je vous le conseille vivement. Elle sera bientôt en tournée en Europe, ne la manquez pas !

    par Jean-Pierre Lhoir
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    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative Folk Rock
    Sortie : 2006

    Tracklist :
    01 - Good Sick
    02 - Hannah Leah
    03 - Night on Red River
    04 - Lullaby for Blacktail
    05 - Weeding Time
    06 - Arrival, A Rival
    07 - Candy Gold
    08 - Good Fall
    09 - How Does a Woman Fall?
    10 - En Route
    11 - Lonesome Place
    12 - Texas Midnight Radio
    13 - Weeding
    14 - Good Sick II
    15 - Janis, Don't Go Back

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  • http://s3.amazonaws.com/metisse_covers/23072007155332.jpeg

    Note :

    http://www.purafe.com

    http://www.myspace.com/purafe

    Le second album solo de Pura Fé, Amérindienne Tuscarora, s’ouvre par un chant traditionnel qui glisse bientôt vers des accords bluesy joués par une guitare lap steel. C’est sur ce canevas atmosphérique que la voix de Pura Fé, languide et lumineuse, prend son élan, vers des cîmes de grâce dont elle ne redescendra jamais. Une reprise de "Summertime", gravitation superbe d’aisance, confi rme que la fl uidité avec laquelle sa voix se meut entre les instruments, acoustiques toujours, doit beaucoup aux chanteuses de jazz. Magnifi quement habitée dans l‘ensemble, l’album pêche toutefois par un manque de variété rythmique et harmonique. On rêve d’une véritable fusion entre ces blues teintés de jazz et les chants indiens qui les enserrent.

    par Benjamin MiNiMuM
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    Origine du Groupe : Seattle,WA & Tuscarora Nation of, North Carolina (Etats-Uni)

    Style : Folk , World

    Sortie : 2007

    Tracklist :
    1. My People My Land, Pt. 1 - North Carolina Jam Sessions
    2. If I Was Your Guitar (I d Be the Happiest Woman Alive)
    3. Summertime
    4. Let Heaven Show
    5. Little Girl Dreaming
    6. Hold the Rain, Pt. 1
    7. Hold the Rain, Pt. 2
    8. Follow Your Heart s Desire
    9. Love Like Mine
    10. People You Love
    11. Home
    12. Quiet Moments
    13. My People My Land, Pt. 2

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  • http://mishkanyc.verbsite.com.lg1x8zmax.simplecdn.net/bloglin/wp-content/uploads/2009/05/Rome-Flowers-From-Exile.jpg

    Note : +

    http://romepage.eu

    http://www.myspace.com/romecm

    Origine du Groupe : Luxembourg

    Style : Folk , Alternative , Post Folk

    Sortie : 2009

    Tracklist :
       1. to a generation of destroyers
       2. the accidents of gesture
       3. odessa
       4. the secret sons of europe
       5. the hollow self
       6. a legacy of unrest
       7. to die among strangers
       8. a culture of fragments
       9. we who fell in love with the sea
      10. swords to rust - hearts to dust
      11. flowers from exile
      12. flight in formation

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    Rome avait besoin de s’évader de la tour d’ivoire Cold Meat Industries, qui faisait vraisemblablement repoussoir pour certaines personnes. Si je parle pour moi, je parle peut-être pour vous. La signature chez Trisol, véritable Vatican pour les fidèles de la religion gothique et dérivés, vient comme une remise à plat, qui permettra aux travaux précédents de Jérôme Reuter de toucher un auditoire plus vaste et plus conforme à leur nature. Flowers from Exile y sera pour beaucoup. Largement inspiré par les péripéties de ses aïeuls déracinés par les régimes franquiste et mussolinien, cet album installe avec une grande maîtrise, et une humilité sans défaut, de vastes panoramas en argentique bruni, creusés de cette nostalgie sans réponse qui malaxe et plie dans tous les sens une âme coupée depuis trop longtemps de son terreau natal. A force de coups de reins discrets, album après album, pour s’extirper de l’ombre dévorante du panthéon neo-folk, et notamment du diktat des percussions, Rome est parvenu à se défricher là une vraie petite corniche d’indépendance où nul ne viendra réclamer sa dime.

    Cela est passé par le travail des guitares, dont parviennent des chapelets d’accords et d’arpèges d’un raffinement et d’une puissance suggestive supérieurs. Loin des démonstrations de doigté mais à l’abri du catalogue du fonds commun, on y devine des rêves de rivages inaccessibles, des désespérances boursouflées comme les mamelles d’une nation à laquelle on a arraché ses enfants. Plusieurs parties trahissent avec bonheur l’intérêt de Jérôme pour les guitaristes espagnols classiques. Entre austérité et fluidité, entre tensions brûlantes et fenêtres de repos, Flowers from Exile suit le cours des rivières de la vieille Europe, où se jettent les petites tragédies collatérales engendrées par les grandes. Le cadre musical s’émancipe de lui-même dans le bourgeonnement des situations imaginées, des intrusions dans nos propres albums de souvenirs. On y croit, on s’y vautre avec passion !

    Cela est passé aussi par le travail du son. L’intégration du musicien et producteur professionnel Patrick Damiani en tant que second membre a été décisive. En tant qu’alchimiste de la console, il a aidé à définir le vernis qui amène aux compositions cet éclat de vitrail et ce pelage délicatement parcheminé qui les rend à la fois profondes et distantes ; un peu précieuses certes, mais sans hauteur indue. Il suffit d’écouter le superbe effacement des violons sur “We who fell in love with the sea”, la façon dont les samples de films et de documentaires agissent comme le cartilage naturel des différentes parties, pour prendre la mesure du dévouement et de la soif de cohérence qui a présidé aux arrangements.

    Et puis que serait Rome sans la voix aphrodisiaque de Jérôme, évoquant avec ses incantations de baryton angoissé un Dave Gahan sous perfusion de tisane au miel. Avec un parfait équilibre entre les hymnes, les morceaux plus transitoires et contemplatifs, et ceux faisant très honorablement office de générique d’entrée/fin, tout est réuni pour graver Flowers from Exile dans le marbre de 2009, et sans doute bien au-delà, tant il a tous les traits de l’œuvre fondatrice.

    Par Matt Moussiloose
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