• Little World with Lisa's antenna - August 2008

    Little World - 2008

    release notes from Soft Phase netlabel:

    "The days are slowly becoming shorter, the leaves on the trees begin to change their colour,
    the weather is getting colder, the autumn is approaching. We welcome you to the world
    of Soft Phase netlabel with our first release, which is a collaboration between
    two northern artists, Planet Boelex and Lisa's antenna. The former you might know
    from the past releases on Monotonik and Kahvi Collective, and we'd suspect you might learn
    something about Lisa while listening to these songs. Enter Little World, journey into the
    mysterious sound universe full of soft and sensitive vocals, lyrics that'll tell you little
    stories, backed up by the floating melodic atmospheres you've grown to expect from Planet
    Boelex. Perfect for taking with you, while walking in the misty autumn evening, watching the
    nature silently preparing for the coldness of the winter. Get yourself a nice cup of tea,
    sit comfortably and let Little World's songs surround you with warmth and emotion."

    review at Morpheus Music / Original Sound Version

    audio streaming: FMP3 under (cc) license

    Soft Phase: "Little World" with Lisa's antenna [sfp01]

    download in high quality MP3 format:

    01 Are you there [5:45] (download) (mirror)
    02 Angels [5:41] (download) (mirror)
    03 Fall [5:34] (download) (mirror)
    04 Walk ahead [4:22] (download) (mirror)
    05 Outlet [5:45] (download) (mirror)
    06 Fill me up [5:03] (download) (mirror)

    download the entire release as MP3: (softphase) (mirror)
    download the entire release as FLAC: (softphase) (mirror)
    the main cover art by Lisa
     

    ( also available in the archive )

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  • www.myspace.com/tomokiikeda

    Down-tempo / Electronique / Expérimentale 

    akita, Berlin
    Allemagne                                                                                     

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  • http://www.myspace.com/theaydio



    [ Stream tracks ]

    http://www.archive.org/details/DWK031

    Publié le 25/03/2009 par Eric from auboutdufil
    L’EP d’Aydio “Deltitnu” est féérique! Les morceaux s’enchaînent en toute légèreté les uns avec les autres. En écoute, j’ai choisi le Titre ‘Deltitnu’ avec un mélange de basses groovy, des guitares soul/dub, le tout dans une ambiance étendue. Si vous aimez le style de Morcheeba, vous allez certainement tomber amoureux de cette release!

    Dusted Wax Kingdom


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  • http://www.amontobin.com/
    http://www.myspace.com/tobinamon




    Foley Room Trailer


    Amon Tobin - Foley Room (2007)

    Amon Tobin a toujours eu l'immense talent d'avoir sans cesse su se renouveler, à chaque album, sans que la qualité de son travail n'en pâtisse pour autant. Depuis le premier Bricolage (et même avant avec Cujo), il n'a eu de cesse de requestionner son approche de la musique. Très jazzy dans un premier temps, ses productions s'étaient peu à peu métamorphosées en quelque chose de complètement électronique, dont la paroxysme fut atteint sur Out From Out Where. La B.O. de Splinter Cell annonçait alors (peut-être ?) une nouvelle étape dans son cheminement. Gardant cette technicité bruitiste acquise au fil des années, Chaos Theory semblait vouloir renouer avec les ambiances feutrées de ses premières productions. Plus qu'un retour aux sources, il s'agissait là d'une véritable tentative de synthèse entre la toute relative épure des débuts et le maximalisme dense et baroque d'un Out From Out Where. Mais fallait-il prendre cela comme une véritable évolution dans son travail, ou comme une simple réponse au cadre particulier que constituait son dévouement à l'ambiancement d'un jeu ? C'est à Foley Room que revenait la tâche d'y répondre.

    Les premières notes, sur Bloodstone, sont posées par Kronos Quartet, un quatuor à cordes qui s'était fait remarquer, entre autres, pour sa prestation sur la B.O. de Requiem For A Dream. Frappées et frottées, les cordes occupent tout l'espace de cette première pièce, précieuse ritournelle déshabillée de toute violence rythmique. Et si Amon Tobin se fait pour l'instant discret, il n'attendra véritablement qu'Esther pour se laisser imploser. Pot d'échappement de bécane (réminiscence du titre Boxer vs Golfer ?), basse vrombissante, beat sur-compressé aux résonances tribales, et quelques notes de piano qui virevoltent autour. Fidèle à ses habitudes, Amon Tobin développe son morceau comme s'il s'agissait de la respiration d'un rêveur agité : soubresauts, profondes inspirations et étirements spasmodiques.

    Keep Your Distance vient confirmer ce qui se pressent depuis le début de l'album. Qu'importe si ses compositions peuvent perdre en densité ou précision, le ninja préfère désormais s'attacher à leur conférer une cohérence presque "filmique". Evidemment, ce terme ne saurait être absent d'une chronique portant sur ce genre d'artiste. Mais il prend ici son sens non seulement dans l'aspect hautement réverbéré de ses morceaux, mais aussi dans la scénarisation à laquelle ils sont soumis. Notre homme se plaît à laisser durer le suspens avant de dévoiler toutes ses cartes.

    On est ainsi surpris par le sensationnel The Killer's Vanilla, tout en pudeur émouvante et tension romantique, confirmant Amon Tobin comme la projection moderne d'un Rachmaninov electrocuté. On quitte cet univers boulversant pour le minimalisme bruitiste de Kitchen Sink. Une pièce de bri-collage qui sonnerait presque comme une collaboration avec Matthew Herbert, avec cette épure mélodique, et qui assume à lui seul le concept de l'album, à savoir le "field-recording".


    Les accents acid-jazz, qu'Amon Tobin se plaît toujours à convoquer, n'apparaîtront que dans la seconde partie de l'album, portés par une batterie libre et foudroyante. Si Always la laissera entièrement s'exprimer, des morceaux comme Foley Room ou Ever Falling s'amuseront à intercepter chacun de ses coups pour en faire des espèces de machines trébuchantes. L'album s'achèvant sur les pièces contemplatives que sont Straight Pysche et At The End Of Day


    Chaos Theory n'était donc pas un simple essai. Amon Tobin, le grandiloquent d'Out From Out Where a bien laissé place à Amon Tobin, le précieux de Foley Room. Tout est savamment maîtrisé et chaque sample fait l'objet d'une délicate attention. Alors, il est vrai que la furie assourdissante dont il s'était montré capable par le passé n'avait rien de déplaisant, et certains regretteront peut être de le voir délaisser ses épaisses peintures surréalistes pour l'art soustractif de la sculpture. Ceci nous amenant à la grande question stérile et attendue du "mieux" ou du "moins bien" du nouvel opus d'un tel artiste. Bien entendu, il n'y a aucune réponse un tant soit peu pertinente à apporter. Foley Room confirme simplement l'évolution qui pouvait déjà se deviner dans Chaos Theory. Pas de grande surprise donc, mais l'excellent travail d'un artiste garant de pronfondeur et de subtilité.

    Chroniqué par Tehanor & Raf
    le 22/03/2007
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  • Compilation JFX Bits #3

    Elle aura mis un petit moment à sortir, et au vu du nombre de personnes qui nous en ont parlé, on comprend pourquoi l'impatience vous gagnait.
    Voici donc JFX Bits #3, la meilleure compil JFX à ce jour, résolument ouverte, pleine de découvertes et de promesses pour vous comme pour nous.
    Permalink


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    JFX Bits #3 - MP3 320kbs - 170 Mo
    JFX Bits #3 - MP3 128kbs - 80 Mo


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