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Par DJDemonAngel le 8 Juillet 2011 à 11:30
Origine du Groupe : U.K
Style : Alternative Rock
Sortie : 1999Wikipedia :
Showbiz est le premier album du groupe de rock alternatif britannique Muse, paru en 1999 chez Mushroom Records. L'album a été produit par le groupe, épaulé de John Leckie et Paul Reeve.
L'album a été certifié disque de platine au Royaume-Uni, mais a toutefois été un échec commercial aux États-Unis.
En 1999, le groupe s'enferma dans les "Sawmills Studios", en Cornouailles et les RAK studios londonniens d'avril à mai.
La plupart des chansons utilisées furent alors écrites en 1997, alors que Matthew Bellamy, leader charismatique de la bande, avait entrepri un long périple à travers l'Europe. Cependant, les faces-B des différents singles, ainsi que la piste 8, Sober, remontent de compositions plus anciennes, alors que Muse sortait ses premières démos, dans la seconde moitié des années '90.
Tracklist :
1. Sunburn 3:54
2. Muscle Museum 4:23
3. Fillip 3:50
4. Falling Down 4:34
5. Cave 4:46
6. Showbiz 5:16
7. Unintended 3:57
8. Uno 3:38
9. Escape 3:31
10. Sober 4:04
11. Overdue 2:26
12. Hate this an i'll love You 5:18
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Par DJDemonAngel le 6 Juillet 2011 à 14:00
http://www.myspace.com/littlebarrie
Origine du Groupe : U.K
Style : Alternative Rock
Sortie : 2011By Paul Stokes from http://www.nme.com
There hasn’t been a Stone Roses-esque manhunt in the five years since their last album, but Little Barrie have been missed nevertheless. The likes of Weller and Primal Scream have recruited Barrie Cadogan for licks, while their gnarly blues pop has earned a minor cult status in their absence.
Reunited with first album producer Edwyn Collins, ‘King Of The Waves’ rekindles the band’s effervescent spirit but injects a fiery determination into Barrie’s blueprint. The likes of ‘Surf Hell’ and ‘Tip It Over’ twitch with machine gun urgency, while ‘Money In Paper’ soars with a sawdust swagger and the producer’s backing vocals. Gritty, wiry, it’s good to have the little ’uns back.
Tracklist :
01 – Surf Hell
02 – How Come
03 – Does The Halo Rust
04 – Precious Pressure
05 – King Of The Waves
06 – Now We’re Nowhere
07 – Dream To Live
08 – Tip It Over
09 – I Can’t Wait
10 – New Diamond Love
11 – Money In Paper
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Par DJDemonAngel le 4 Juillet 2011 à 16:00
Origine du Groupe : U.K
Style : Rock , Blues Rock , Psychedelic
Sortie : 2005
Durée : 149 minWikipedia :
Célèbre pour avoir été le premier « supergroupe » de l'histoire du rock, c'est-à-dire un groupe composé de musiciens déjà célèbres chacun de leur côté, leur musique est caractérisée par un mélange de blues, de rock et d'une bonne dose de psychédélisme qui combine la maîtrise de Clapton, la voix aérienne de Jack Bruce et les rythmes fous de Ginger Baker. Cream représente l'intense énergie du son de l'époque, ancrée dans un style blues plus classique. Les compositions sont mélangées entre les traditionnels classiques comme Crossroads et Born Under a Bad Sign, en passant par des chansons plus excentriques comme Strange Brew et Tales of Brave Ulysses.
Avec The Grateful Dead, Cream est considéré comme le premier « jam band ». En effet, en concert, le groupe ne cessait d'improviser avec des chansons qui dépassaient régulièrement les 20 minutes. Le groupe est également considéré comme étant un des pionniers de la musique heavy metal.
Felix Pappalardi, le producteur (et plus tard membre du groupe Mountain), parfois qualifié de quatrième membre de Cream, apparaît de manière très remarquée sur l'album Disraeli Gears. Le poète britannique Pete Brown a écrit les paroles de plusieurs chansons du groupe et était également un important contributeur.
Après leur séparation en novembre 1968, les trois membres de Cream ne rejouent plus ensemble jusqu'en 1993, pour la cérémonie de l'introduction du groupe au Rock and Roll Hall of Fame, puis en mai 2005 pour une série de quatre concerts au Royal Albert Hall de Londres où ils avaient donné leur dernier concert peu avant leur dissolution en 1968, suivis d'une seconde séance au Madison Square Garden de New York en octobre. Le groupe a vendu plus de 35 millions d'albums et a reçu le premier disque de platine de l'histoire pour Wheels of Fire.
Tracklist :
Disc one
01 "I'm So Glad" (James)
02 "Spoonful" (Dixon)
03 "Outside Woman Blues" (Reynolds)
04 "Pressed Rat and Warthog" (Baker, Taylor)
05 "Sleepy Time Time" 1 (Bruce, Godfrey)
06 "N.S.U." (Bruce)
07 "Badge" 1 (Clapton, Harrison)
08 "Politician" (Bruce, Brown)
09 "Sweet Wine" (Baker, Godfrey)
10 "Rollin' and Tumblin'" (Waters)
11 "Stormy Monday" 2 (Walker)
12 "Deserted Cities of the Heart" 1 (Bruce, Brown)
13 "Born Under a Bad Sign" (Jones, Bell)
14 "We're Going Wrong" (Bruce)
"Sleepy Time Time" (Alternate Take) (Bruce, Godfrey) (Extra feature)
"We're Going Wrong" (Alternate Take) 1 (Bruce) (Extra feature)
Disc two
15 "Crossroads" (Johnson, arr. Clapton)
16 "Sitting on Top of the World" (Chester Burnett)
17 "White Room" 1 (Bruce, Brown)
18 "Toad" 2 (Baker)
19 "Sunshine of Your Love" 1 (Bruce, Clapton, Brown)
"Sunshine of Your Love" (Alternate Take) (Bruce, Clapton, Brown) (Extra feature)
Interviews with Baker, Bruce and Clapton (Extra feature)
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Par DJDemonAngel le 2 Juin 2011 à 15:00
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sweet_Smoke
Origine du Groupe : North America
Style : Psychedelic Rock Groove Jazz
Sortie : 1970Par http://alternativesound.musicblog.fr
Sweet Smoke, groupe originaire de Brooklyn, formé en 1967, s'établit deux ans plus tard en Allemagne afin de vivre en communauté. Sweet Smoke est un pur produit de la culture hippie et ce "just a poke" est un des sommets musical de ce mouvement.
Ce premier album sorti en 1970 n'est composé que de deux longues plages de 16 minutes chacunes, composées à partir de longs jams improvisés, ce dont le groupe était coutumier en live. Malgré la durée des morceaux, Sweet Smoke ne tombe pas dans les travers de certains groupes de rock progressif de l'époque, évitant les longueurs et n'étant à aucun moment ennuyeux. "Baby Night", qui truste la face A, est une parfaite synthese de rock 70's, de jazz et de funk. Le morceau commence en douceur avec une superbe mélodie portée par une voix des plus chaudes, accompagnée par une flûte enchanteresse. Le tempo s'emballe ensuite dans un délire jazzy rock irrésistible avant de s'approprier le "soft parade" des Doors dans une version des plus étonnantes.
On change de face et un saxophone au groove frénétique et psychédélique ouvre "silly sally". Les guitares partent ensuite dans des dérives kaléidoscopiques avant un court solo de basse magistral annonciateur d'un long solo de batterie dantesque. Agrémenté d'effets stéréos et de flanger, il donne l'impression d'entendre un hélicoptère au dessus de nos têtes. Ce passage, qui n'est pas sans rappeler "in-a-gadda-da-vida" de Iron Butterfly, est à tout pris à savourer au casque et est un des temps forts de cet album.
La pochette décrit bien la teneur de ce disque : un dessin aux couleurs psychés où un personnage tire sur un joint aux motifs du drapeau américain. En bref, l'écoute de "just a poke" emmène très haut dans les nuages et est un petit bonhneur de poésie musicale.
Si jusqu'à présent, vous pensiez qu'un morceau long est forcément ennuyeux, ce "just a poke" groovy en diable et psychédélique va vite vous faire changer d'avis !
Tracklist :
1. Baby Night (16:24)
2. Silly Sally (16:22)
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Par DJDemonAngel le 13 Mai 2011 à 11:00
http://www.myspace.com/aliceinchains
Origine du Groupe : North America
Style : Alternative Rock , Grunge , Folk , Acoustic
Sortie : 1996Par Ulyssangus pour http://www.destination-rock.com
UNPLUGGED, OU LA FLAMBOYANCE INTIMISTE
Les dernières apparitions publiques d’Alice In Chains remontent à l’année 1993. Les rumeurs de dissolution s’enchaînent, sans que personne ne puisse vérifier leur véracité. Pourtant, le groupe est bien vivant, comme le prouvent l’impeccable Jar Of Flies, et le torturé éponyme de 1995. Le quatuor, à la sortie de ce dernier album, décide à nouveau de ne pas reprendre les concerts. L’addiction de Layne Staley est connue de tous, et cette décision ne surprend personne. L’état de santé effrayant du chanteur est évoqué à demi-mot par certains de ses amis, désespérés par sa défaite face aux opiacés. Alice In Chains resurgit pourtant, à la surprise de tous, et d’une manière à la fois élégante et inattendue : lors de la sacro-sainte émission Unplugged de MTV. Enregistrée en avril, l’émission paraît en disque en juillet, parvenant jusqu’à la première place des meilleures ventes. Elle présente également le groupe sous son jour le plus inhabituel, puisque le guitariste Scott Olson est présent pour étoffer les arrangements acoustiques. Le succès brillant de l’album et de l’émission prouvent à nouveau qu’Alice In Chains n’a pas quitté le cœur du public durant ses années de silence, loin de là. Premier concert des américains en deux ans et demi, mais aussi une des dernières apparitions de Layne Staley, Unplugged multiplie les symboles.
L’aura qui se dégage de cet album est proprement indescriptible. L’auditeur, dès les premières mesures de Nutshell, est happé dans un climat tragique, à la fois transcendant et désolant. Une noirceur indéfinissable plane sur l’ensemble du projet, s’insinuant dans le moindre couplet, dans le moindre accord, dans la moindre note. La musique d’Alice In Chains, même privée de ses attributs électriques, demeure aussi saisissante qu’à l’origine. Sa force sombre est telle que le public garde un silence respectueux durant la plus grande partie des morceaux, littéralement dominé par la prestation scénique aussi modeste qu’époustouflante accomplie par le quintette. Libéré des contraintes rythmiques, Jerry Cantrell peut se concentrer sur les mélodies et les soli, livrant de frémissantes caresses mélodiques, avec retenue, douceur et mélancolie. La basse de Mike Inez est parfaitement mise en valeur, bien plus que sur les albums du groupe, se coulant avec aisance entre les guitares et la batterie, dardant des lignes captivantes, sans cesse changeantes. Sean Kinney frappe ses fûts avec sa rigueur habituelle, s’alliant aux instrumentistes, les soutenant sans les gêner. Mais tous les musiciens présents ne sont que des rouages d’une machine qui les dépasse, d’un être collectif de loin supérieur à la somme de ses membres.
Et, toujours au sommet de l’édifice savamment tissé par le groupe, planent les voix de Jerry Cantrell et de Layne Staley. L’organe carré, direct, suave du guitariste et celui vibrant, éraillé, percutant du chanteur s’entremêlent, se répondent, se complètent, se combattent avec tristesse et volupté. Leur ballet, nimbé d’un chagrin confinant à la morbidité, trouve ici son incarnation la plus naturelle, la plus subjuguante. Pour paraphraser la formule ô combien galvaudée d’Alfred de Musset, les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Unplugged semble être la traduction de cette citation dans le monde du rock. Si Dirt illustrait la bataille entre un homme et ses démons, Unplugged incarne quant à lui le contrecoup de la défaite, la résignation, la capitulation. Cette marche funèbre, capable de saisir le plus indifférent, est le couronnement de l’œuvre d’Alice In Chains. Parfois, l’auditeur à l’impression d’entendre ces titres pour la première fois, tant leur force originelle est transcendée par la performance presque surnaturelle du quintette. Introduction idéale à l’œuvre d’Alice enchaînée, œuvre déprimante et déprimée, symbole d’une époque révolue, Unplugged est tout cela, et bien plus encore. Reste, de nos jours, la figure sombre, émaciée, pâle, creusée, de Layne Staley, livrant de toute son âme une des plus poignantes prestations des années 1990, quelques années avant la fin inévitable.
REGARDER LE CONCERT LIVE EN ENTIER
Tracklist :
1 - Nutshell
2 - Brother
3 - No Excuses
4 - Sludge Factory
5 - Down In A Hole
6 - Angry Chair
7 - Rooster
8 - Got Me Wrong
9 - heaven Beside You
10 - Would?
11 - Frogs
12 - Over Now
13 - Killer Is Me
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