• http://images.uulyrics.com/cover/s/sergent-garcia/album-mascaras.jpg

    Note :

    http://www.sergentgarcia.com

    http://www.myspace.com/sgtogarcia

    Chez madmoiZelle.com, on a une philosophie : ce n’est pas parce qu’on est des jeunes filles qu’on est cruches. N’empêche que quand j’ai vu le titre du nouveau CD de Sergent Garcia, Mascaras, je n’ai pas pu faire autrement que de me dire "chouette, un disque de musique pas girly qui a un titre de produit de beauté, c’est la classe !". En fait, rien à voir, ça veut juste dire "Masques" en espagnol, et ça correspond d’ailleurs nettement mieux à la musique qu’on y trouve que ma première interprétation.

    Le premier titre "Dulce con chili" préfigure le reste du disque, qui est dans son ensemble une petite douceur qui cache bien son côté pimenté par les mélanges subtils et originaux dont Sergent Garcia a fait sa marque de fabrique depuis qu’il a inventé la salsa muffin.

    Fidèle à cette tradition du cocktail musical, Mascaras est donc un mélange détonant de tout ce que les oreilles de Sergent Garcia ont pu grapiller à gauche et à droite dans toutes les grandes villes visitées durant sa précédente tournée, avec l’ambition de faire émerger un concentré de la musique urbaine entendue aux quatre coins du globe.

    Les 12 titres de l’album ont chacun un style bien à eux, né d’un mix de reggae et de rap ("Toi tu es là bas"), de reggaeton et de mambo ("Pintame"), de pur reggae ("Les cinq sens du guerrier") et plein d’autres choses encore. Il y en a donc un peu pour tous les goûts : des paroles en français, en anglais et en espagnol ; du tendre, du dynamisant et de l’engagé…

    Finalement, le seul reproche que l’on puisse faire à cet album, qui n’est en réalité que le revers de la médaille de sa qualité, c’est d’être assez peu accessible pour les oreilles novices. A moins d’accepter, sans en apprécier nécessairement toutes les subtilités, de se laisser tout simplement emporter par ses rythmes explosifs !

    par 
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    Origine du Groupe : France
    Style : Alternative Fusion World
    Sortie : 2006

    Tracklist :
    1. Dulce Con Chile
    2. Pintame
    3. Toi Tu Es Là Bas
    4. En Este Mundo De Locos
    5. Yo Me Voy Pa' La Cumbia
    6. Non Words
    7. Tantas Cosas
    8. Si Sólo Fuera Yo Un Pajaro
    9. Guantanamera City
    10. Eres Tú
    11. Les Cinq Sens Du Guerrier
    12. El Camión No Para

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  • http://www.worldconnection.nl/_img/32/coverweb_CQT_ORO.gif

    Note :

    http://www.chocquibtown.com

    http://www.myspace.com/chocquibtown

    Currulao, chirímia et aguabajo ? Plus besoin d’être ethnomusicologue pour s’initier aux rythmes et sonorités traditionnels de la côte Pacifique colombienne. Une région enclavée, connue comme la « petite Afrique » de Colombie, dont Choc Quib Town s’est fait le porte-parole, puisant dans son folklore pour produire une fusion musclée de hip-hop, dancehall et de funk-pop latino. Outre son caractère éminemment festif, la formule doit son succès aux messages positifs véhiculés par la charismatique chanteuse Goyo et les MC Tostao et Slow, qui épinglent les problèmes sociaux (« De Dónde Vengo Yo »), ethniques (« Oro ») et écologiques (« Pescao Envenenao ») qui, au-delà d’une région (« Somos Pacifico »), touchent le pays tout entier. Consacré sur le plan national et fort bien reçu aux Etats-Unis, Choc Quib Town débarque en Europe avec un disque sous forme de best-of de ses deux premières productions, avant une tournée estivale qui sera l’occasion de mesurer la formidable énergie communicative du trio.

    par Yannis Ruel
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    Origine du Groupe : Colombia
    Style : Alternative Fusion World , Rap Fusion
    Sortie : 2010

    Tracklist :
    01 El Bombo 3:33
    02 Son Bereju 3:11
    03 Somos Pacifico 3:48
    04 Pescao Envenenao 4:03
    05 San Antonio 4:06
    06 De Donde Vengo Yo 4:20
    07 Rumba Sin Pelea 4:05
    08 Te Saco A Corre 3:32
    09 Oro 3:52
    10 La Calle O La Casa 4:14
    11 Los Tenis 3:22
    12 Infiel 4:00
    13 Somos Pacifico Rmx Richard Blair 4:37
    14 Somos Pacifico Salsa Version 5:55

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  • http://photos.froggytest.com/d/32004-2/Genes+and+jeans.jpg

    Note :

    http://www.noasmusic.com

    http://www.myspace.com/noasmusic

    Noa (de son vrai nom Achinoam Nini), auteur-compositeur israélienne, a été révélée en France lors de la sortie de son album éponyme, en 1994. Elle y interprétait, entre autres, un Ave Maria chaud et envoutant, ou encore Wildflower.

    Le grand public français a surtout pu découvrir Noa à l’occasion de la sortie de la comédie musicale Notre-Dame de Paris.

    Noa n’a pas souhaité faire la tournée, mais elle interprétait, sur l’album, le rôle d’Esméralda, et nous a par exemple offert cet Ave Maria Paien (textes de Richard Cocciante sur une musique de Luc Plamandon),

    Chanteuse engagée pour la paix, Noa veut bousculer les frontières, et elle participe à des concerts caritatifs dans le monde entier.

    Cependant, six ans après son dernier enregistrement, c’est avec un album plus personnel que Noa revient dans les bacs. Elle le définit comme le voyage de toute sa famille, partie du Yémen pour s’installer en Israël, avant d’aller vivre aux Etats-Unis. Elle-même a grandi à New-York, avant de repartir vivre en Israël.

    Comme un hommage d’une jeune femme (Jeans) à sa grand-mère (Gènes), Noa chante dans cet album le mélange des cultures, tantôt en anglais, en hébreu ou en yémenite.

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    Origine du Groupe : Israel
    Style : Alternative Fusion World
    Sortie : 2008

    Tracklist :

    1. Waltz to the road
    2. Ayelet Chen - intro
    3. In your eyes (Ayelet Chen)
    4. The eyes of love
    5. Dreamer
    6. Something has changed
    7. Ani Tzameh
    8. Follow your heart
    9. Lecha Dodi - interlude
    10. Heart and head
    11. Lullaby
    12. Dala Dala - interlude
    13. Dala Dala
    14. El Ha Maayan
    15. Take me
    16. Genes and Jeans
    17. The balancing act

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  • http://souldiscoveries.files.wordpress.com/2009/11/somi-if-the-rain-comes-first.png?w=500&h=500

    Note :

    http://www.somimusic.com

    http://www.myspace.com/somimusic

    One tendency I've found among musicians is that worldly artists tend to be pretty good at making worldly music. Vocalist and songstress Somi certainly qualifies. Born in middle-American Illinois but to immigrants from the East African nations of Rwanda and Uganda, Somi spent part of her childhood in Zambia. She studied the cello through much of her life, until she was inspired by her mother to take up singing. Eventually, she molded her own emblem on music; that sound of hers is a perfect blend of American jazz and soul with East African hues and rhythms. Somi calls it "New African Soul." This multicultural approach has been honed over two albums and as of October 13, Somi has a third album that's perhaps her most personal one yet, entitled If The Rains Come First.

    If "New African Soul" sounds just a tad like Michael Olatuja's Speak album written about here earlier this year, well, Olatuja is very much involved on this album, too: he contributes his electric and acoustic bass playing deftness on every track, as well as producing this record along with Michele Locatelli. Having recorded this disc last spring in Paris, they were able to pull in a rhythm section from the city's vibrant local African music scene. By using musicians who instinctively understand Somi's delicate vision, Olatuja and Locatelli gives the sonic palette some depth and it's smooth as the surface of a bayou, but tastefully avoids trends of the day. It embraces the ears with the comforting sounds of acoustic guitars, gurgling electric piano and genuine African percussion. Most importantly, they allow Somi's voice, songs and musical conception come fully to life.

    Somi's lithe voice carries the elegant moodiness of Nina Simone and the smokey allure of Sade. Even though Somi sings in three different East African languages as well as English, you don't even notice she's giving us linguistic change-ups because the universal language of music stays out front. She doesn't attempt to knock you over with a broad range (although as "Maybe Then" shows us, she has little difficulties hitting the upper register), nor does she over-emote, a trap too many soul singers fall into. She takes the songwriter's approach of rendering her lyrics in service of the melody.

    Somi wrote the lyrics for all eleven tracks and created those melodies with some help from the producers and the other backing musicians. Though Somi doesn't play any instruments on this record, she clearly understands enough about music theory from all her years studying classical music to put together some subtle, elaborate melodies that are consistently sweet-sounding. Take, for instance, the opener "Hot Blue," which grooves along gently on a circular African rhythm but concludes with a more assertive bridge where Somi provides a lead vocal counterpoint in English to background vocals sung in one of those African tongues. Her lyrics are consistently introspective, dealing with issues of spirituality and confronting life's challenges while relishing its blessings.

    The contemporary Brazilian vocal backing on "Rising" combine with African beats and jazz guitar to create a breezy three-way connection among Africa, South America and North America." Other notable touches are the tight, soothing East African grooves and airy vocals found on the title tune, the gentle piano tribute to Somi's father "Jewel Of His Soul, and the way the jazzy melody just floats above rapid percussion rumbling underneath on "Kuzunguka." Somi even supplies some effective oral percussion on the acoustic guitar based "Changing Inspiration" (see video of live version below).

    The track being promoted most heavily is "Enganjyani," which means "most beloved" in the Rutooro language. Hugh Masekela guest appearance may have much to do with the hoopla on this track, but even the famed South African trumpeter takes a backseat to Somi's flair for easy flowing melodic lines and naturally heartfelt vocal stylings.

    Somi came up with the heading If The Rains Come First from her mother, who told her that rains can bring blessings as much as they offer challenges. Somi took the challenge of putting together a well conceived and carried-out record of African soul and the result is a blessing for those who appreciate such a intelligent and mellifluous mixture of sounds spanning oceans.

    If The Rains Come First comes to us via ObliqueSound Records, the label co-founded by Locatelli and an outfit that thus far seems to have a good eye for finding and recording those worldly musicians who make quality world music.

    By Pico
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    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative Fusion World , Soul , Nu-Jazz , Afrobeat
    Sortie : 2009

    Tracklist :

    1 Blue 4:27
    2 Prayer to the Saint of the Brokenhearted 3:21
    3 Wallflower Blues 4:53
    4 Be Careful, Be Kind 5:12
    5 Enganjyani 5:19
    6 Rising 3:22
    7 Changing Inspiration 3:14
    8 Kuzunguka 4:46
    9 If the Rains Come First 5:09
    10 Jewel of His Soul 4:31
    11 Maybe Then 6:08

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  • http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/ZoomPE/7/5/9/0876623005957.jpg

    Note :

    http://www.cibelle.net

    Origine du Groupe : Brasil , U.K

    Style : Alternative , Fusion , World

    Sortie : 2010

    Tracklist :
    1 - Welcome
    2 - Underneath the Mango Tree
    3 - Man From Mars
    4 - Melting the Ice
    5 - Lightworks
    6 - Sad Piano
    7 - Frankenstein
    8 - Escute Bem
    9 - Mr and Mrs Grey
    10 - The Gun and the Knife
    11 - Sapato Azul
    12 - Braid My Hair
    13 - It's Not Easy Being Green
    14 - Bye Bye

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    La fin du monde a bien eu lieu. La lune a disparu. La planète a implosé. Vous êtes l'un des rares chanceux qui ont réussi à s'échapper vers une autre galaxie. Mais vous ne résistez pas à la tentation de remonter dans votre vaisseau spatial pour revenir faire un tour du côté de votre bonne vieille Terre. Et voici ce qu'il en reste: une jungle sur un rocher flottant au bord d'une mer indéfinie, où les pluies acides ont provoqué des mutations chez les singes et les oiseaux, dont le plumage luit comme du néon. Le seul bâtiment vaguement intact —quoique bien dégradé— est le Las Venus Resort Palace Hotel, un ancien club de vacances où se retrouvent tous les survivants. Ils y font la fête 24h sur 24h (c'est tout ce qu’il reste à faire) et dansent sur la musique de l'orchestre de l'hôtel, ‘Sonja Khallecalon y Los Stroboscopious Luminous.’ Ecouter la voix de la merveilleuse Sonja, la regarder danser, langoureuse et sauvage, c'est comme boire un cocktail puissant qui apporte le plaisir et l'oubli. Bienvenue dans la zone de plaisir ultime (c'est le cas de le dire).
    Mais n'oubliez pas: ne donnez pas à manger aux singes s.v.p.

    Le ‘Las Vênus Resort Palace Hotel’ où se produit Sonja Khalecallon est donc le seul endroit resté intact après l’apocalypse. Accompagnée par son groupe Los Stroboscopious Luminous, Sonja vous invite à plonger dans son monde sur fond de musique exotica mutante (inspirée par ce style pseudo-exotique et kitsch qui a fait fureur au début des années 60 aux USA), une sorte de bande-son pour un cabaret tropical punk postnucléaire comprenant neuf chansons originales et trois reprises remarquables: “Mango Tree” (la chanson d’Ursula Andress dans le film “James Bond contre Dr No”), “Lightworks” (de l’excentrique Raymond Scott, à la fois pionnier de l’exotica et précurseur de la musique électronique dans les années 50) et “It’s Not Easy Being Green” (la chanson de Kermit la Grenouille dans le Muppet Show).

    En y regardant de plus près, Sonja Khalecallon s'avère être un personnage imaginaire conçu par Cibelle, la talentueuse chanteuse et musicienne brésilienne de Londres connue pour sa démarche musicale en constante ébullition. Pour chacun de ses disques, elle imagine une nouvelle histoire et crée un nouvel univers. Après son premier album éponyme, après l'impressionnant "The Shine Of Dried Electric Leaves" (également parus chez Crammed Discs), ‘Las Vênus Resort Palace Hotel’ nous emmène à nouveau vers des rivages sonores inédits.

    Cibelle a enregistré "Las Venus Resort Palace Hotel" dans le studio installé dans le sous-sol de sa maison londonienne, dans une cabane au fond d'une forêt envahie par des ours, sur une île dans l'ouest du Canada, à Berlin, à Bruxelles et dans sa ville natale de São Paulo. Parmi les musiciens invités, on retrouve Mocky, Josh Weller, Kristian Craig Robinson (Capitol K), Sam Genders (Tunng), Damian Taylor, Fernando Catatau et Pupilo (Nação Zumbi). L'album a été réalisé conjointement par Cibelle et Damian Taylor (le directeur musical de Björk). Le mixage a été effectué à Los Angeles par Thom Monahan (Au Revoir Simone, Devendra Banhart, Brightblack Morning Light).

    Voici comment Cibelle décrit ce qui l'a inspiré pour "Las Venus Resort Palace Hotel":

    Lorsque je dis que je suis Brésilienne, les gens répondent 'oh, comme c'est exotique'. Comme si j'étais une indigène amazonienne, une espèce de Tarzan féminin accrochée à une liane et vêtue d'un imprimé léopard. A l'inverse, quand j'étais enfant à São Paulo, je pensais que toutes les femmes arabes étaient habillées comme les odalisques dans les films… Nous entretenons des fantasmes au sujet des autres, même de nos jours, alors que les transports aériens ont réduit les distances. Lorsque je préparais cet album, j'ai eu l'idée d'explorer l'univers de ‘l'exotica’. Je me suis dit: je vais assumer mon 'exotisme', l'exagérer, inclure tout ce qui est considéré comme ringard et vulgaire, parce que j'en ai assez du 'cool'. 'Cool' c'est froid, et j'aime le chaud! Cela fait déjà six ans que, parallèlement à mes concerts, je fais des DJ sets ‘d'exotica’, c'est la musique que j'écoute. Yma Sumac dansant au sommet des montagnes péruviennes déguisée en princesse Inca. Gal Costa couchée sur une table, en robe lamé rouge, chantant une version cha-cha-cha de "Chitti Chitty Bang Bang" avec un perroquet juché sur sa poitrine. Le garage rock cambodgien, le rock'n'roll italien des années 60, des albums "bande son originale" avec des extraits de dialogues… je trouve tout cela très beau. Par ailleurs, je vis à Dalston, un quartier de Londres très contrasté, où les boutiques de robes de mariées turques côtoient les magasins discount et les marchés qui vous transportent simultanément à Taiwan et aux Caraïbes. On me demande souvent: d'où viennent tes bagues incroyables ? Je réponds: mais de Dalston, bien entendu… Tous ces éléments ont fini par faire sens lorsque j'ai commencé à écrire les chansons de "Las Venus": je suis dans ce monde-là, ce monde kaléidoscopique qui est en devenir, je suis à la fois en Europe et dans la jungle, j'entends les cris des animaux, je perçois l'odeur de la sueur et de la poussière… je me suis donc transformée en cette ‘show girl’ décadente, qui chante dans le dernier cabaret de la planète. J'adore cette idée, surtout venant du Brésil, où les chanteuses sont censées être des divas impeccables, qui entrent sur scène non pas en marchant, mais en glissant sur une couche de brume artificielle. Cette idée de la perfection est hilarante.

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