• http://img04.shop-pro.jp/PA01014/149/product/20191023.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/nomakofficial

    Origine : Du Groupe : Japan

    Style : Electro , Abstract Hip Hop , Downtempo

    Sortie : 2010

    Tracklist :

    1. Next Dimension
    2. Soarer
    3. Feel it All
    4. Open Out
    5. Never Lost Control
    6. Rise Up
    7. High Grade Standard
    8. The Universe
    9. Fluffy Cloud
    10. Heartful Memories
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    Trop à la recherche de beats qui dégueulent, j’avais laissé de côté ces derniers temps la musique façon méditation sous un cerisier en fleur dont les beatmakers japonais ont le secret. Enfin pas tant que cela finalement car je ne suis pas passée à côté du nouvel album de Nomak, sorti le 30 avril.

    “Dynamic Meditation” est un album instrumental allant du hip hop au jazz en passant par l’abstract, histoire de faire dans la musique contemplative. Et là, je me dis : “putain mais qu’est-ce qu’on fait chier !”. Finalement, il n’y a que le “about” de son site internet qui me fait kiffer. Juste de mots : “terre, naturel, piano, forêt, ciel, musique, cœur”… Pour résumer, musique trop lisse à l’image de la feng shui attitude. Mais de temps en temps, c’est mignon à écouter.

    par IkI

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  • http://tazz.cocolog-tnc.com/subsonic/images/0601_img01.jpg

    Note : ++

    http://www.disdefensedisc.com

    http://www.myspace.com/djbakujapan

    REVIEW CONNECT : 1 & 2

    Origine du Groupe : Japan

    Style : Abstract Hip Hop , Rap Fusion , DJ

    Sortie : 2008

    Tracklist :

    01 Intro
    02 Element for Perfect
    03 Ei, O-Oh
    04 Cannibal-Mix
    05 Skit 1 ∴ Stoned
    06 Eat (feat. Hevi)
    07 Can There Be Peace
    08 Devil Approach
    09 Vandalism
    10 Skit 2 ∴ 88 Experimental Beat Box
    11 Spin Street
    12 God, Others, Substance
    13 Outro-Ach
    14 Kannibalism (feat. MC Kan)
    15 畜殺 (The Slaughter) (feat. PRIMAL & RUMI)
    16 Vandalism (feat. TAV)

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    Lorsque l'on évoque, brièvement, l'existence d'un éventuel hip-hop made in Japan, il est certain qu'une majorité des sondés répondent "DJ Krush". De même qu'il est automatique que 90% d'entre eux soient destabilisés lorsque l'on s'aventure un peu plus loin avec un "Oui mais encore?". Si la barrière de la langue se présente comme une montagne insurmontable pour la plupart d'entre nous, elle n'est en rien responsable des oeillères que nous nous complaisons à conserver. Comme si la galaxie hip-hop se résumait à une seule planète occupant tout l'espace. Que ce soit dit: il existe, ailleurs, d'autres artistes qui méritent un tant soit peu d'intérêt. Au Japon, a fortiori. Bien entendu, il est un cliché diffusé un peu partout qui présente les Nippons comme d'habiles plagieurs de styles développés par le Californien, le New-Yorkais et les autres. Si la singerie se répand avec cocasserie sur les plateaux de télévision et autres shows populaires, il en va de même que n'importe où: dans la rue, en bas, certains s'activent. L'image du Vénérable Ancien s'étant impregnée sur la rétine de petits japonais fans de manipulations platinesques et d'un turntablism débridé, le sol fertilisé par les semences musicales krushiennes aura permis l'émergence de petites pousses prometteuses. Ainsi, l'apparition de multiples scènes japonaises allant du pur classicisme "gangsta" à la déferlante de sons tous plus "expérimentaux" les uns que les autres, avec cette particularité d'un rap souvent peu festif à base d'atmosphères pesantes et graves; forgé sur d'autres valeurs que celle d'une musique noire américaine qui ne lui correspondrait pas vraiment. Abordons ainsi le cas de DJ Baku. Originaire de Tokyo, il découvre le hip hop grâce au film "Juice" (ndlr: un film mettant en scène la vie de 4 lycéens dans un ghetto avec notamment un des rôles principaux joué par Tupac Shakur). Il commence à tâter du vinyl dés 1994. C'est du haut de ses 16 années qu'il arpente les tréfonds undergroundesques de la métropole se mêlant à la déferlante de battles et autres concours de deejaying. Néanmoins, peu doué pour cet exercice, il range bien vite ses aspirations de compétition pour faire la tourner des clubs. C'est ainsi qu'il rencontre Martin et SKE avec lesquels il va fonder le Dis-Defense Disc Crew. S'en suivra un parcours des plus classiques : la production d'une multitude de mixtapes vendues chez les disquaires de Tokyo puis l'émergence d'un label, Dis-Defense Disc. C'est avec lui que Baku va sortir 4 mixtapes puis deux 12" qui le verront collaborer notamment avec Kan; mc japonais de son état. Mais c'est le DVD "Kaikoo" sorti en juin 2005 qui va le sortir un peu du circuit des sorties condifentielles. En souhaitant mettre en avant une partie de la scène indépendante tokyoïte, Baku va réussir son coup en présentant des artistes peu connus du public. Fort de cette réussite, il se lance dans la création de son premier album solo échoué entre nos oreilles au début de l'été 2006: "Spinheddz". 16 rounds pour vous clouer au sol. Bien entendu, DJ Baku y fait montre d'une grande maîtrise de son instrument de travail; notamment au travers de scratchs endiablés; toute la panoplie du DJ est exposée durant la petite minute de 'Intro-LL'. Nous voilà avertis: ça va débarouler sévèrement dans tous les sens pour ne laisser que peu de répit à nos oreilles le temps d'un explicite skit 'Can There Be Peace?' (agrémenté de quelques notes de piano) auquel Baku répond "Non" à la volée, par un 'Devil Approach' détonant (rythmique endiablée, drums lourdes, distorsions dans tous les sens sur lesquelles viennent se greffer l'écho de différentes voix avant que le morceau ne s'emballe littéralement). Il en va de même sur la majorité des morceaux de l'album… Outre ses prestations aux platines, c'est aussi la qualité des productions de Baku que l'on apprécie; mêlant habilement ses scratchs aux divers sons qu'il exploite de manière jubilatoire sur 'Cannibal-Mix' ou sur 'Eat'; morceau sur lequel pose un certain Hevi dont la voix grave et caverneuse n'est pas sans rappeler celle d'un gros métaleux possédant plus de la bête que de l'humain le temps de 4min25 angoissantes. Ayant vu le jour en maxi au côté de 'Cannibal-Mix', 'Spin Street' est pour sa part un petit bijou de head-banging. Ce genre de morceau qui fait un malheur dans une salle de concert surchauffée; un beat rythmé agrémenté de samples de divers instruments; Baku jouant à coller et décoller les différents sons sur nos oreilles pour un résultat des plus appréciables. Et ce ne sont pas les prestations des trois seuls MC's invités pour les ultimes morceaux de l'album qui viendront ternir ce tableau. En particulier 'Kannibalism' : survolté de bout en bout, Kan, autrement connu pour son notable essai solo 'Mitchisilbe' sorti l'année passée, nous expose tout son talent. En véritable maître de cette cérémonie angoissante, le morceau est une course contre la montre. Accueilli par quelques essouflements, c'est sur une rythmique dure que Kan prend la parole pour ne plus la lâcher. Baku déchaîne les éléments musicaux ; son comparse d'un instant se fondant dans la terrible cacophonie de scratchs et autres distorsions sonores assénée à nos oreilles le temps d'un refrain. L'impression de se faire dévorer le cerveau en près de 4min30. On notera tout de même l'agréable présence de Tav accompagnant un 'Vandalism' entendu en cours de route; seul véritable accroc sur la tunique bariolée de Baku; à l'image de la pochette de l'album. "Spinheddz" est un condensé de richesses musicales. Les productions du créateur sont variées, fouillées et ne tournent pas en rond. Le savoir-faire, vinyles en main, du maître de maison impressionne. Baku nous fait voyager avec passion au sein de son propre univers musical bien souvent angoissant, évoluant toujours dans l'urgence… Aucun repos n'est accordé à l'auditeur aventureux. Il va falloir s'armer de courage. Néanmoins, les seize morceaux présents s'enchaînent avec fluidité au rythme de beats courant ventre à terre vers vos oreilles; que ce soit à travers cet exercice déjanté d'un '88 Experimental Beat Box', de la douce mélodie de 'Vandalism' ou du planant 'God, Others, Substance'. Et la tête qui tourne à n'en plus pouvoir.

    par Newton

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  • http://images.hhv.de/catalog/detail_big/00173/173013_4.jpg

    Note : +

    http://www.2econdclasscitizen.co.uk

    http://www.myspace.com/2econdclasscitizen

    Origine du Groupe : United Kingdom

    Style : Abstract Hip Hop , Dowbntempo , Alternative , Psychedelic

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    01. Step Inside [02:40]
    02. One By One feat. Ceschi [04:56]
    03. A New Day [05:00]
    04. Wait For Me [02:02]
    05. On Emptyness [08:34]
    06. Our Lady Of Solitude feat. Reindeer [03:05]
    07. The Day Youre Lost Or Found [04:28]
    08. Listen The Night feat. Reindeer [05:18]
    09. From Where I Belong [02:58]
    10. A World Without [09:02]

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    Faisant suite à "Wyred Folk" ; premier EP sorti en 2005 puis au récent "One By One EP, le premier album de 2econd Class Citizen sort enfin, l’occasion de vérifier si les espoirs entrevus dans les deux précédents essais se confirment sur ce long format intitulé "A World Without".
    Dans un style downtempo/hip hop légèrement psychédélique, assez bien fichu, avec notamment un flow très agréable (featurings de Ceschi, James PHoney, Reindeer) et une instrumentation foisonnante, "A World Without" rappelle par certains aspects, les productions abstract de la fin des années 90 de DJ Shadow, UNKLE ou Dan the Automator...
    Sans être forcément génial ni pour autant anecdotique, "A World Without" devrait combler les amateurs de hip hop mélodieux. et en guise de mise en bouche, un megamix de 10 minutes réalisé par Phonatic est disponible sur le site du label Equinox Records ou écoutable directement ici.

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  • http://bandcamp.com/files/36/67/3667990703-1.jpg

    Note :

    http://obsidianblue.com

    Origine du Groupe : North America

    Style : Abstract Hip Hop

    Sortie : 2003

    Tracklist :
    1 – Soul Introduction
    2 – Exhibition – coProd. By Kneegrow
    3 – Desert Sands
    4 – Condescension
    5 – Too Strong
    6 – Why?
    7 – Miles Ahead
    8 – Breath Of Life
    9 – Stratosphere
    10 – The Cycle
    11 – Twilight
    12 – Oscar & John
    13 – Crosswords – Perf By Eye+Eye
    14 – Whatever You Say Rmx – Perf By Little Brother
    15 – 4th Departure (Away From Here)

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    I can distinctly remember the music of my youth, well, back to about 5 years of age. Grover Washington Jr., Phil Collins, The Police, Hall and Oats, Bobby Womack, and Bill Withers flooded my parents’ car when I was smaller. It soon transitioned to The Caravans, James Cleveland, and The Mighty Clouds of Joy, but it all sounded great to me. Then one day, I hear A Tribe Called Quest’s “The Jazz.” Then everything changed….. (MORE)

    by Obsidian Blue


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  • Note :

    http://www.myspace.com/bensharpa

    Sortie : 2009

    Syle : Abstract Hp Hop , Rap Fusion

    Tracklist :

    1 - Epoch (ft. Tebs)
    2 - Calling' it quits (we're here)
    3 - Sick'n tired (ft. Archetypes)
    4 - Off The Rails
    5 - Statement (ft. Konfab)
    6 - Avant garde (front line)
    7 - B to the E
    8 - Hegemony
    9 - Ken Illworth (interlude)
    10 - Chech the evidence
    11 - Critical mass
    12 - Genocide awards
    13 - Why (ft. Wordsworth)
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    Ben Sharpa ne vous est sans doute pas inconnu si vous avez suivi l'ouverture amorcée par Jarring Effects vers l'Afrique du sud depuis 3 ans. Déjà présent sur le coffret Cape Town Beats sorti en 2007 puis au travers d'un EP vinyle - The sharpaganda theory lesson # 1- ben revient tout naturellement avec son premier album à venir le 09 novembre prochain. Sur ces 12 titres, Ben aligne avec sa verve east coast, bombes sonores sur bombes sonores, s'attaquant avec panache à toutes les sonorités actuelles. sur une ligne de basse guerrière, il confirme son assise dans un style atypique entre hip hop Us et grime anglais, avec des clins d'oeils non dissimulés à Virus Syndicate ou Roots Manuva, dynamitant même le ragga à grands coups de breaks destructurés.

    Tandis que Ben brouille les pistes, ses lyrics souvent teintés de revendications - « check the evidence », «Hegemony», «genocide Howards» - nous plongent en apnée dans les ghettos d'Afrique du sud. Comme à son habitude, notre MC a su également s'entourer de producteurs renommés tels que les sud-africains Sibot (Playdoe, Real Estate Agents), D-planet (Pionneer Unit) ainsi que le beatmaker anglais Milanese. Echange de bons procédés puisque ce dernier vient de sortir un ep - lockout- sur le célèbre label de Mike Paradinas -Planet µ- sur lequel ben Sharpa a posé son flow dévastateur ... avec ce premier album, Ben Sharpa représente une nouvelle génération de mc qui, à cheval sur trois continents, synthétise un hip hop cosmopolite et terriblement actuel.

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