•  

     

    Note : +

     

    Sortie : 2009

    Style : Trip Hop

     

    Tracklist :

    1. Coming Clean (3:47)
    2. I'll Be There (4:54)
    3. Road To Where? (3:46)
    4. Dead Boards (5:40)
    5. The Morning After (4:12)
    6. The Pinch (4:32)
    7. Piano Killer (5:28)
    8. Down Mountain (4:06)
    9. Ghost Writing (4:36)
    10. Dear George (2:19)
    11. Since You (6:00)

     

     

     

    The 39 Steps aka the collaboration between DJ Kato and vocalist Laura Fowles have produced a very heady, atmospheric sampler here. There's obvious comparison with the trip hoppy sound of Morcheeba and Massive Attack but I'd say that 'Coming Clean' is more at the claustrophobic end of the scale occupied by the lies of the Sneaker Pimps. In fact, I'd even go as far to say that I found this CD a little bit oppressive – it's definitely a winter-type release but I felt the walls slowly coming in on me. Then there was something in the track 'Ghost Writing' – Fowles long drawn out vocal seemingly suffocating the potential for the melody in the track to ever get going at anything more than a steady heartbeat. But whatever you feel, you will definitely feel something after listening to this record, and that is the greatest compliment of all.

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    2 commentaires
  • http://publikart.net/wp-content/uploads/2009/04/ezekiel.jpgNote :

    http://www.ez3kiel.com
    http://www.myspace.com/ez3kielmyspace

    Sortie : 2008
    Style : Trip Hop , Electro , Alternative , Fusion , Rock

    Tracklist :

    1. Adamantium

    2. Volfoni's Revenge

    3. Spit On The Ashes (feat. Narrow Terence)

    4. Coal Flake

    5. The Wedding

    6. Break Or Die

    7. Alignment (feat. Blurum)

    8. Lull

    9. Firedamp

    10. The Montagues and the Capulets (feat. DAAU)

    11. Wagma

     

    DOWNLOAD1.gif

     

     

    Une noire fureur s'est emparée d'EZ3kiel. Les 3 tourangeaux (passés depuis à 4, avec l'arrivée d'un multi-instrumentiste), nous avaient laissé en plein songe avec les berceuses de Naphtaline, et plein d'incertitudes sur leurs perspectives musicales mais ce n'était qu'un écran de fumée car Battlefield signe le retour d'un groupe définitivement inclassable, passant de musique down tempo à un rock indus brûlant et torturé. L'esprit de Versus (leur disque live) n'est pas loin, reconnaissable dans la rage et l'intensité des morceaux qui peuvent s'emparer de vous sans prévenir. Les contractions sont peut être moins flagrantes mais les développements sont beaucoup plus travaillés (" Break or Die "), les morceaux évoluant sans cesse, tournoyant et digressant, ici dans une liesse sauvage, là dans un calme onirique. Toujours proche de la rupture. Juste entre puissance et fragilité.

    Au niveau des guests on retrouve les DAAU, le Mc Blurum 13 et le groupe Narrow Terrence le temps du morceau " Spit on the ashes " aux effluves rock tout en retenue qui ira jusqu'à laisser côtoyer riffs de guitares et mélodies cristallines. Un contraste d'autant plus saisissant quand vous passerez du grindcore " Firedamp " à " The Montagues and Capulet ". EZEkiel se ballade sur la corde raide et nous file le vertige - au final, Battlefield révèle une pièce supplémentaire de la personnalité de ce groupe, décidément très à part, les EZ3kiel maîtrisent leur sujet et nous emmènent encore plus loin. Une réussite.

    per Keffren

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  • http://mescritiques.be/IMG/arton518.jpg

    THE CINEMATIC ORCHESTRA -
    Breathe feat. FONTELLA BASS (Live

    envoyé par bbpradi0.
    http://www.cinematicorchestra.com/
    http://www.myspace.com/thecinematicorchestras

    L’histoire d’amour entre The Cinematic Orchestra et le Septième Art se poursuit, avec la sortie d’un nouvel album, d’un nouveau témoignage d’une affection sans borne. Entrevue seulement lors de leurs deux premiers opus, c’est surtout avec “Man With a Movie Camera” que ces Anglais dignement menés par Jason Swinscoe s’acoquinent plus sérieusement avec le cinéma, en composant la bande originale d’un film muet russe datant de 1929. Définitivement dans son élément, l’orchestre s’en tire à merveille, et avec une facilité déconcertante, comme s’il avait déjà vécu plusieurs fois ce genre de projet

    Seulement, comme aucun film ne se ressemble, leurs bandes originales diffèrent également. Ainsi, The Cinematic Orchestra aurait pu la jouer facile en retravaillant sur des illustrations sonores finement choisies en fonction de son registre. Mais le combo change cette fois la donne en acceptant une proposition d’accompagnement sonore d’un long-métrage imaginaire. Pas d’images sur lesquelles se caler, ou correspondant à l’univers chaleureux, doux et feutré de sa musique. A partir de là, toutes les portes de l’imagination se sont ouvertes, “Ma Fleur” a fini par sonner comme aucun des précédents disques, s’est ensuite retrouvé entre les mains d’un scénariste qui a dû s’en inspirer, et qui en a tiré le script d’une vie. Comme une histoire d’arroseur arrosé..

    Entre temps, Winscoe se sera offert les services de divers chanteurs dont les voix sont venues enrichir des ambiances qu’il a souhaité souligner. Parmi eux, Patrick Watson, en provenance de Montréal, s’est pleinement satisfait de couvrir les premières années de la vie; Lou Rhodes, chanteuse poignante et jeune maman, se montra idéale pour représenter l’âge mûr; et la fidèle Fontella Bass, avant que sa santé ne se détériore, fut parfaite pour endosser le timbre de l’actrice âgée. Et avec des thèmes aussi lourds que l’amour, l’absence et la perte, la musique composée par Winscoe et arrangée avec l’aide du bassiste Phil France, toujours baignée de jazz et d’un fort capital émotion, ne pouvait pas mieux coller au contexte final

    “Ma Fleur” en surprendra donc plus d’un, notamment ceux qui s’attendaient une nouvelle fois à une sublime leçon de groove, comme ils en prirent une à l’écoute de “Everyday“. Non, là, l’histoire est différente, et c’est avec un The Cinematic Orchestra beaucoup plus pop qu’on se lance dans cette nouvelle aventure. “To Build a Home”, premier titre emmené par un simple piano, nous lâche dans la mélancolie de Patrick Watson, dont certaines intonations rappellent avec surprise un certain Chris Martin (même remarque sur “Into You” et “That Home”). Ce n’est donc qu’ensuite, sur “Familiar Ground”, plus encore sur “Child Song” et les frissonnants “Breathe” et “Time And Space”, qu’on retrouve quelques réminiscences du passé, bien qu’on ait connu cette jolie troupe plus joyeuse. Mais le retour au minimalisme est récurrent quand ce n’est qu’une guitare qui poursuit “Music Box”, comme des cordes le font sur “Prelude”, ou seuls des vents et une basse fondent toute la musicalité du titre éponyme. Seul raccord avec le passé, ce jazzy et riche “As The Stars Fall” qui laisse de nouveau bourdonner la contrebasse comme il réchauffe les peaux des fûts

    Winscoe a cette fois fait dans le minimalisme, préférant enchaîner quelques tristes pétales, réduites à leur minimum d’orchestration, seulement ponctuées de quelques titres plus enrobés. N’allez pourtant pas croire que “Ma Fleur” promet une écoute aussi barbante que celle d’une B.O. sans véritable valeur quand elle n’est plus illustrée. Non, ce troisième véritable enregistrement studio de The Cinematic Orchestra se déguste comme un véritable album, puise au plus profond de l’émotion, nous fait découvrir une nouvelle facette de son géniteur qui, après écoute, s’avère finalement logique. “Ma Fleur” est tout simplement un somptueux moment pour qui ne tournerait pas les talents face à un mariage de pop, soul et jazz. À engloutir de préférence quand les premiers rayons de soleil frappent à la fenêtre..

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    Note :

    Sortie : 2007

    Tracklist :

    1. To Build A Home feat Patrick Watson

    2. Familiar Ground feat Fontella Bass

    3. Child Song

    4. Music Box feat Patrick Watson/Lou Rhodes

    5. Prelude

    6. As The Stars Fall Into You

    7. Into You

    8. Ma Fleur

    9. Breathe feat Fontella Bass

    10. That Home feat Patrick Watson

    11. Time And Space feat Lou Rhodes

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  • http://albums.foto.tut.by/userpics/y/e/1000106858/normal_1261078610_2r-1951204-1254581243788414.jpeg logo_listen.png

    Chameleon of today

    Dark and bright

    One day after


    http://www.myspace.com/antrabata

    "Antrabata enroule son auditeur dans une ouate feutrée, pour un voyage intérieur dans les paysages de l’intime, avec ses lumières contrastées et souvent vacillantes. La qualité de production et de composition surprend, rappelant de grands groupes londoniens de downtempo comme Portishead ou Morcheeba. A l’instar des ces groupes, de superbes envolées de violons, associées à des tablas ou la flûte traversière vous emmènent dans des rêves orientaux. Antrabata est avant tout une voix, celle de Femke Lavrijssen, une voix qui transperce avec une simple guitare, une voix rassurante et porteuse d’espoir. Nous continuons l’aventure Antrabata avec un grand plaisir. Ce nouvel album nous a séduit par l’incroyable qualité des mélodies et des instrus de Régis Aubert. Antrabata est au niveau des grands de l’électro trip-hop !”
    Arno
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    Note :
    Tracklist :
    01 Echoes 05:49
    02 Toward The Dark 03:35
    03 Chameleon Of Today 04:03
    04 Dark And Bright 02:51
    05 Copy And Paste 04:59
    06 We Rise 03:12
    07 Fight Your Dragon 05:05
    08 One Day After 03:52
    09 Knowing A Smile 04:40
    10 What If 04:09
    11 Homesick 02:30
    DOWNLOAD2.png   ou  DOWNLOAD2.png

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  • http://imgjam.com/albums/s53/53344/covers/1.0.jpg


    http://www.blackera.com/
    http://www.myspace.com/theblackera

    Sinon, mais à part ces dernières nouvelles peu réjouissante de la planète forum, je voulais vous parlez d'un groupe que j'ai découvert, il y a déjà quelques mois sur Jamendo. Le groupe BLACK ERA.
    Si Massive Attack et Triccky vous évoque la crème de la TripHop, ajoutez désormais le nom de Black Era à vos références. Les albums du groupe sont tout simplement exceptionnels, car il devient difficile de trouver du pure son triphop. Il faut bien l'avouer, le triphop est devenu un genre très confidentiel et pour ne rien arranger on met souvent la mention triphop à toutes les sauces, avec plus ou moins de réussite.
    Mais Black Era sont des puristes du genre. Leur filiation avec les initiateurs du genre, Massive Attack, sonne comme une évidence. Mais n'allez surtout pas croire que ce groupe italien manque de personnalité bien au contraire. Ce qui fascine aussi c'est que l'évolution artistique du groupe ressemble à si méprendre à celle de M.A., leur dernier album étant plus que jamais orienté dark et electro ("Mute EP").
    Black Era fait parti de ses groupes dont les albums s'écoutent d'une seul traite, sans que vraiment l'auditeur ne s'en rend compte, captivé par cette véritable maestria musicale. Mais le meilleur moyen de s'en convaincre et encore de les écouter, non ? ;)
    Par ChefGeorges
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    Note :
    Tracklist :
    1| pretends to be an intro but i guess its main track 1.04
    2| been mute enought feat Samba Djallo 4.08
    3| doors words (hard dub mix) 3.44
    4| the binary immortal feat Leomou 3.45
    5| just left hand left 3.56
    6| tumor caste (d.ubiqual opinion) 3.38
    7| you want osama give us anderson sampled Marco Paolini feat. Kaska Paluch 4.23
     
    Connect Review :
    http://bbpiratesradio.over-blog.com/article-31576803.html
    http://bbpiratesradio.over-blog.com/article-15922816.html

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