• http://images.uulyrics.com/cover/d/daughter-darling/album-sweet-shadows.jpg

    Note :

    http://www.daughterdarling.com

    http://www.myspace.com/daughterdarling

    Origine du Groupe : North America

    Style : Trip Hop

    Sortie : 2003

    Tracklist :

    1. Broken bridge
    2. Shattered
    3. Let me speak
    4. Absconding
    5. Mermaid
    6. Sad & Lonely
    7. Things untold
    8. Voodoo Games
    9. You won't see me
    10. Sweet shadows
    11. Dust in mind
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    Au programme ici, un trip-hop des plus classiques, mélodieux à souhait et mené habilement par une voix féminine. La voix c'est celle de Natalie Walker rappellant celle de Dido, mais ici mise en valeur sur des morceaux tout de même plus recherchés. Piano, cordes, guitares, scratches, batterie et autres instruments servent de fond sonore à la demoiselle qui s'y met en avant non sans talent, avec une mention spéciale pour le morceau " Sad & Lonely ". Un groupe américain à la croisée d'Hooverphonic, Lamb et Sneaker Pimps.

    Par Thibaut

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    Colorblind by Daughter Darling


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  • http://img12.nnm.ru/d/8/b/f/6/8b76519d258c809d5e060f829a0.jpg

    Note :

    http://www.21hz.org

    http://www.myspace.com/21hertz

    Origine du Groupe : Sweden

    Style : Trip Hop

    Sortie : 2005

    Tracklist::

    1. Outside
    2. Sparrow
    3. Wave of time
    4. Ever
    5. My time
    6. Silence
    7. Still I do
    8. Tired
    9. Ocean

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    Envoûtement et mélancolie sont de rigueur dans ce premier album d'un quatuor moitié français moitié suédois. La voix féminine, c'est celle de Karin Steneby qui n'a pas grand chose à envier à Beth Gibbons et aura tôt fait de vous faire vibrer. Une seule écoute de l'album suffira pour s'en convaincre. Le morceau "Ever" justifie à lui seul la nécessité de se procurer ce disque. Une balade digne de figurer sur le premier album de Zero 7 par sa mélodie envoûtante et son chant ensorcelant. Et dire que certains s'exclament que le trip-hop est mort...
    Bénéficiant d'une qualité sonore remarquable on s'étonne de découvrir que ce disque est auto-produit. Il ne devrait pas le rester très longtemps. Vous l'aurez compris, Ocean of time est un album qui s'inscrit directement dans la lignée du trip-hop de Bristol et qui ne manquera pas de satisfaire tous les impatients du prochain Portishead.

    par Thibaut

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  • http://www.groovescooter.com/catalogue/images/ingaurchin.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/ingaingaliljestrom

    Origine du Groupe : France

    Style : Trip Hop , Electro , Alternative , Experimental

    Sortie : 1998

    Tracklist :

      1. "Holding Still" – 3:34
       2. "Yellohead" – 3:47
       3. "The Drowning Song" – 3:03
       4. "Cut" – 3:18
       5. "Coma" – 2:53
       6. "Tightness" – 6:07
       7. "Oxygen Boy" – 3:20
       8. "Marmalade" – 1:24
       9. "Coma Remix" – 3:18
      10. "The Wait" – 1:28
      11. "Deeper Things" - 4:20
      12. "10 Smiles" - 3:25
      13. "Touch Tongue" - 9:53
              * (includes hidden track)

    00000000000000DOWNLOAD

    'Urchin' was Inga Liljestrom's very first LP, recorded back in 1998. Featuring the gorgeous tracks 'Coma' and 'Marmalade' - which early fans will remember doing the rounds as remixes by a young Friendly and Ali Omar (Atone) respectively - it also features 'Holding Still', 'Yellohead', 'Oxygen Boy', 'Cut', 'Deeper Things', '10 Smiles', 'Touch Tongue' and an early version of 'The Drowning Song' which Inga has been performing live again lately, accompanied by a toy piano. 12 tracks that will pull you in "hook line and sinker", plus a remix of 'Coma' by Bob Scott (Wicked Beat Sound System).

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  • http://www.screenatorium.com/wp-content/uploads/2010/03/takeoff_mini1.jpg

    Note :

    http://www.screenatorium.com

    http://www.myspace.com/screenatorium

    Sortie : 2009

    Style : Trip Hop , Electro , Alternative

    (cc)

    Tracklist :

    01.Takeoff For Naïve (4:17)
    02.Vertigo Pistols (ft. Miscellaneous) (3:52)
    03.Diagnosis (3:16)
    04.Origins (ft. Lquiet) (3:18)
    05.Monochrome (ft. Phole) (5:24)
    06.Ease The Fall (ft. Wasaru) (4:43)
    07.Hurricanes Have Women Names (ft Lquiet) (3:49)
    08.Nonday (ft Degiheugi & Lquiet) (4:06)
    09.Les Echappées De L'Eternité (3:49)
    10.Oh Mellow (3:46)
    11.Lips On Slow Motion (4:24)
    12.Invisible (ft. All India Radio (3:52)
    13.(Bonus Track) - Anyone Else But You (the moldy peaches cover) (3:52)

    00000000000000DOWNLOAD

    Mesdames et messieurs, amis, camarades, le dernier Screenatorium est sorti. Après un EP made in No Color épatant, Djeh et son projet libre reviennent vous en mettre plein les oreilles. Et attention, la barre est placée très très haut. Après le LP vraiment impressionant que fut Audimat et la très réussie collaboration Soundtrack Of My Day, Takeoff For Naïve vient placer Screenatorium comme une étoile montante du Trip Hop libre français... et pourquoi pas internationnal ? La formation a su développer une atmopshère que l'on retrouve pleinement dans ce nouvel EP : une nostalgie bien à elle dans laquelle on s'abime sans même y penser. Cette musique est juste fascinante. Et là où d'autres deviennent lassant après plusieurs écoute, Takeoff For Naïve se bonifie avec le temps ! On y retrouve plus de featuring que lors du dernier album. Des MC de grand talent (Lquiet, Miscellaneous) des compositeurs et formations de renom (DegiHeugi, Wasaru, Phole, All India Radio). Bref, Screenatorium a mis le paquet. Et c'est réussi. Nul doute que Djeh et sa formation viendront se placer en outsider du trip hop au cours des prochaines années. Cet album est sublime. Ecoutez-le et téléchargez le, parce qu'en plus, il est gratuit.

    par Frozen)dream

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  • http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/ZoomPE/4/2/2/3526186610224.jpg

    Note : +

     

    http://www.myspace.com/cleliavega

     

    Sortie : 2010

    Style : Alternative , Trip Hop , Folk

     

    Tracklist :

    1. Stories people have (are not to tell)

    2. Monster

    3. Silent revolution

    4. Summer days

    5. Children in the trees

    6. In her hands

    7. On my own

    8. Woman

    9. Old lady wishes

    10. Teeth

    11. Are not

    DOWNLOAD1.gif

     

    Il est toujours difficile chez nous, enfants de l’électrique à tout va, de s’étendre sur un album tel que ce “Silent Revolution”, de lui offrir les mots appropriés. Pas forcément le vocabulaire, ni même les bonnes références… Pourtant, on ne pouvait passer sous silence ce premier disque de Clelia Vega qui, dès la première écoute et par un pouvoir émotionnel incommensurable, rase toutes les chapelles auxquelles on pensait à jamais appartenir.

    Bercée très jeune par la musique d’un père guitariste au sein des Nuclear Device, groupe punk emblématique des années Béruriers Noirs, la demoiselle a plus volontiers pris le chemin inverse en s’abandonnant à la musicalité du piano, en composant très vite pour son propre compte, jusqu’à noircir des kilomètres de papier qui deviendront plus tard ses premières chansons. Mais pas d’amalgame: n’allez pas crier avoir trouvé la nouvelle Norah Jones parce que Clelia chante ses douceurs au piano.

    En effet, c’est plutôt du côté du folk, de Regina Spektor, Cat Power, Portishead ou Joanna Newsome - pour n’en citer que quelques-uns - qu’il faut aller chercher la raison de la diversité musicale de ce bluffant “Silent Revolution”. Car Clelia Vega n’est pas une songwritter lisse et inoffensive: la fragilité et la douceur qui émanent de chacune de ses chansons vous serrent à la gorge comme pour mieux vous faire définitivement comprendre que sous ces bouts de doigts agiles se cachent des griffes prêtes à faire couler le sang.

    Rarement toutes réunies au sein d’un même album, la mélancolie, la rage intérieure, des mélodies à tomber, et l’émotion continue ne seront pourtant pas seules à contribuer à cette belle réussite. Cyesm, producteur electro déjà auteur de plusieurs albums solo, et Rity (guitariste de Powell et de Drive In Static Motion) sont venus mettre leur grain de sel, parfaire de riches arrangements pour moderniser ce que le couple piano / violoncelle d’origine aurait pu très vite condamner au domaine du classique.

    Une bonne idée car, si la mancelle parvient sans mal à se passer d’eux parfois (les sublimes “Stories People Have Are Not To Tell” et “On My Own”), tous deux lui offrent une toute autre dimension (”Old Lady Wishes”), peut être même les armes pour ne pas vieillir trop vite (”Woman”), et s’en aller piétiner d’autres territoires de chasse gardée (Emilie Simon sur “Summer Days”) qu’elle pourrait bien finir par s’approprier. Aucun doute, si jeune et si talentueuse, Clelia Vega peut désormais entrevoir avec ce “Silent Revolution” un horizon bien dégagé, peut être même un futur qui ne se conjuguera pas sans elle.

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