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    We Fell to Earth (nom inspiré du film The Man Who Fell to Earth avec David Bowie) est un groupe londonien qui a sorti il y quelques semaines leur premier album dont est extrait “The Double”, interprété ci-dessus en concert à l’Institut des Arts Contemporains (ICA) de Londres. Richard File (le chanteur) a pendant une dizaine d’années fait partie du groupe trip-hop Unkle.
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  • http://www.lastfm.fr/music/Attica+Blues



    Voilà un groupe qui revient de loin, remarqué par James Lavelle et aussitôt signé sur son label Mo'Wax, Attica Blues nous étonnait de fraîcheur avec son album 'Blue print' en 97. Depuis les infortunes de James Lavelle avec sa formation U.N.K.L.E. (avec DJ Shadow) ont précipité la fin de son label. Après une longue période de doutes, le groupe a retrouvé une structure d'édition, dans une division anglaise de Sony. Une sortie retardée par un marketing qui guette le moment opportun, et nous voilà en cet automne 2000 avec ce formidable 2ème album. On a pu tout de même patienter avec quelques remixes signés Attica Blues au gré des compilations électroniques. Si 'Blue print' sortait aux beaux jours du trip-hop, les choses ont bien changées 3 ans plus tard... Le mouvement s'est plutôt éclaté en plusieurs déclinaisons, de l'electro-jazz au hip-hop plus électronique. Attica Blues emprunte son nom à la old school, un titre d'Archie Shep. Mais le trio emprunte bien d'autres pistes, des inspiration africaines, reggae, soul, teintées hip hop, du coup ce 'test, don't test' ouvre une nouvelle direction, du post trip-hop en quelque sorte. Les compositions du groupe sont rythmées par des samples, cassées par des scratchs, mais savent conservées une ligne mélodiques. La voix de Roba El-Assawy s'inscrit dans la lignée des chanteuses de soul, puissante et fragile. Des interludes instrumentaux permettent au groupe d'expérimenter, du coup l'album est tout sauf monotone, et garde sa fraîcheur du début à la fin (pour reprendre des arguments publicitaires...). Voilà donc un album qui tient ses promesses et justifie du coup ces longues années. Dans le même style, Nicolette sait se faire désirer, et mais désormais nos oreilles exigeantes ne sont plus orphelines avec 'test, don't test' !
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    Anomie Belle - "February Sun"

      Anomie Belle - "Down"

    It has been a bit of a “off centre” Slowcoustic Weekend. This isn’t a bad thing, just taking some time to listen to some music that isn’t just an acoustic guitar and accompanying voice. With that in mind, I bring you the next installment of the growth of the site - Anomie Belle - not your standard indie songstress. an·o·mie [an-uh-me] n social unrest or normlessness; malaise, alienation and purposelessness. belle [bel] n a popular and charming woman; especially: a woman whose charm and beauty make her a favorite. Anomie Belle is really Toby Campbell, classical violinist cum trip-hop diva (didn’t expect that now did you?) and she is releasing her most recent “experiment” into electronic/acoustic/fusion album “Sleeping Patterns” due this November 2nd. While I do not extensively listen to the more electronic side of the spectrum (see below post on Firekites as well) - this is another project you can get into. There is a fair share of Campbell’s eerie beats covered by her purposefully slow delivery of lyrics. These lyrics in particular can be seen often as commentary on many social issues around us, but seem to be more observation instead of outright protest. I can also say with her delivery and soundscapes, the messages are ones that can actually be pondered while being soothed by the medium. As expected there is vocal sampling alongside the occasional “keyboard frequency tuning”, but kept in line with the sound and feel of the album. Among the 11 track album you find gems in songs like “Down” and “February Sun” which may be the tracks to incorporate a more acoustic influence (see below). You might just also hear some accents via Ms. Anna-Lynne Williams (Lotte Kestner, Trespassers William and all around Slowcoustic favourite) who contributes to the album. So get in line now to pick up a copy upon its release, in order to convince you to get a copy, listen below!
    ~Smansmith
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    Pour tout vous avouer, j’ai découvert Wasaru et l’album Undefinable Scenes il y a deux jours maintenant, et depuis, il n’a que peu quitté mon esprit. Le décrire rapidement est surement lui faire du tort, mais si devais le résumer je dirais… Wah. Que ce soit à la première écoute, à la dixième ou à la centième (je ne doit plus en être loin maintenant), l’album laisse béat. A la rencontre de Mobster et Degiheugi, soutenu par un Trip-hop teinté de New Age, d’Ambiant, Indefinable Scenes transmet une musique avec sa texture propre, son relief, son esprit. L’expérience est frappante. Pour les quelques 28 minutes que dure l’album, je vous conseille d’écouter, vous ne perdrez pas votre temps. Appréciez, laissez-vous porter…
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  • http://www.myspace.com/tracingarcs
    http://sites.google.com/site/tracingarcs/

     





    Dusted Wax Kingdom
    :: Review ::
    From the native land of the trip-hop music here comes a stunning album that really crawls under your skin and plays with the tenderest strings of the heart. Calm atmospheric landscapes, jazzy acoustic bass, lightly beats and beautiful woman's voice - a pure listening pleasure!
    More delicious vibes from Tracing Arcs you can find on Mixedmode Records.


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