•  



    The story isn't a new one: Young soul sista decides to leave the US behind for the artistic freedom to be found in the UK and links up with other creative types to create beautiful music together. It's happened to N'Dea Davenport who joined the Brand New Heavies, Maysa Leak who fell in step with Incognito and numerous others to varying degrees of success. Now it's time to add another name to the list: Joy Jones. After finishing her studies, Jones followed her musical dreams to London where she met Daz-I-Kue of Bugz in the Attic and he encouraged her to hone her craft. Joy did just that and it's reflected in her music, which is a melting pot of all the sounds she grew up on--gospel, soca, classical, African choral music, soul and jazz--with her own electronic twist. Her voice possesses an innocent sweetness that blends perfectly with Daz-I-Kue's co-production on her debut album, Godchild, coming July 7th on Future Soul Records. You can hear his stamp all over the music, but as far as the sound is concerned, count it all Joy. Have a taste below of the single, "Supernova," and enjoy a bonus cut not found on her album of her funky take on Nina Simone's "Be My Husband" beneath that (which you can also download here). If you can sit still long enough after the second song, you'll find more goodies after the bounce.
    permalink


    Music
    Note :

    votre commentaire
  •   




    L'artiste R&B Jill Scott grandit à Philadelphie aux Etats-Unis. Elle commence sa carrière en lisant ses propres poèmes et se fait remarquer par Amir, le batteur de The Roots. Ce dernier l'invite en studio et Jill Scott co-signe le titre You Got Me. Ensuite, elle travaille avec Eric Benet, Will Smith et Common et part en tournée au Canada avec la comédie musicale Rent. En 2000, elle enregistre son premier album Who Is Jill Scott? Words And Sounds Vol. 1. 2002: la chanteuse signe un album live: Experience: Jill Scott 826+. Adulé par la presse internationale, en pleine ascension, Jill sort en 2004, un 2ème volet soul R&B/jazzy qui porte le joli nom de Beautifully Human: Words and Souns Vol.2. Trois ans plus tard arrivent la compilation Collaborations et Real Thing,
    permalink

    DISCOGRAPHIE

    Note :




    votre commentaire
  • http://www.raphaelsaadiq.com/
    http://www.myspace.com/raphaelsaadiq


    Raphael Saadiq @ Nuits Zébrées
    par Grandcrewpointcom


    Raphaël Saadiq, pour ceux d’entre vous qui ne connaitrait pas, c’est ça. Soit en clair, une carrière en tant que producteur tout simplement impressionnante. On retiendra quelques noms tels que D’Angelo, Angie Stone, John Legend ou encore Joss Stone. En tant qu’auteur/compositeur/interprète, on notera ses participations au sein des groupes Tony!Toni!Toné! (fondateur du mouvement New Jack Swing) et Lucy Pearl, essentiellement connu en Europe pour son tube Don’t Mess With My Man.

    Après ses deux premiers albums : ‘Instant Vintage’ (2oo2) qui lui vaudra 5 nominations au Grammy Awards, puis ‘Ray Ray’ (2oo4) musicalement tourné d’abord vers un style Nu Soul puis R’n'B contemporain, ce troisième opus de Raphaël Saadiq, The Way I See It’, signé sur le label Columbia Records, représente un vrai retour aux sources, aux valeurs sûres de la Soul Music. L’album transpire de cet ambiance vintage, on y ressent les fortes influences des Delfonics, des Temptations, des Four Tops, ou encore de Sam Cooke… L’instrumentation est fait en live pour perfectionner l’atmosphère rétro, aucun sample n’a été utilisé, les techniques d’enregistrement sont également faites “à l’ancienne”. Dans la plus pure tradition de ce style musical, rien n’est laissé au hasard, la pochette est travaillé  sur un esprit live, avec son costume cravate so fresh so clean et son micro old school. Et à l’écoute, ça donne quoi ? Tracklisting et critique :

    o1. Sure Hope You Mean It
    o2. 100 Yard Dash
    o3. Keep Marchin’

    o4. Big Easy (featuring The Infamous Young Spodie & the Rebirth Brass Band)
    o5. Just One Kiss (featuring Joss Stone)
    o6. Love That Girl
    o7. Calling (featuring Rocio Mendoza)

    o8. Staying In Love

    o9. Oh Girl
    10. Let’s Take a Walk
    11. Never Give You Up (featuring Stevie Wonder & CJ Hilton)
    12. Sometimes

    13. Oh Girl (Remix) (featuring Jay-Z)

    L’album est essentiellement composé de belles ballades langoureuses dédiées aux femmes (le très bon “Love That Girl“, “Oh Girl“, “Staying In Love“) où Raphaël Saadiq y joue le rôle d’un crooner irrésistible. A noter également le 2nd single “100 Yard Dash“, avec la présence de son fameux backing band dont Jack Ashford, l’un des Funk Brothers (signature du son Motown), et un clip-vidéo avec une référence esthétique aux 60’s. Des thèmes plus sérieux sont évoqués avec l’hommage rendu aux victimes de l’ouragan Katrina en Nouvelle-Orléans sur “Big Easy” ou l’amour maternerl déclaré à travers le titre “Sometimes“. En guise de super guest star, Jay-Z est présent sur le remix (assez décevant à mon goût, car décalé de l’esprit de l’album) de “Oh Girl“, dont la version solo est une réussite. On a gardé le meilleur pour la fin :”Never Give You Up” avec le luxe de la présence de monsieur Stevie Wonder à l’harmonica et la révélation CJ Hilton, jeune poulain du label à la voix ma-gis-trale, qui pourrait bien faire penser à un certain Marvin Gaye…

    En conclusion, je dirais que je grandis en me disant que les artistes de la Soul Music appartiennent au passé, que c’était la musique d’antan avec ces valeurs sûres qu’on ne retrouvent plus aujourd’hui. Et puis j’ai écouté l’album de Raphaël Saadiq… Une soul authentique, une nostalgie assumée, du groove bien charnel et suggestif comme on l’aime, et une performance vocale évocatrice des plus grands. La Soul Music n’est pas morte.

     

    Permalink

     

    Discographie :

     

     

    2008 : The Way I See It  

    votre commentaire
  • http://www.sophiedelila.com/



    DOWNLOAD : Sophie Delila - Hooked

    Rares sont les artistes contemporains capables d’exprimer toute la richesse et la profondeur de la soul. Un genre que Sophie Delila, auteur, compositeur, interprète et productrice, s’est approprié avec grâce et modernité dans son album, Hooked. Quand elle était petite, Sophie Delila n’avait ni cheval à bascule, ni maison de poupées dans sa salle de jeux. Mais plutôt des guitares, des huit-pistes, et des orgues vintage. C’est là, dans le home-studio familial, qu’elle s’éveille à la musique. Sur la platine : les disques de Stevie Wonder, Michael Jackson, George Benson et Aretha Franklin ; autour du piano, Marvin Gaye et Ray Charles, venus écouter en personne les dernière compositions de son père, pianiste et songwriter. Inutile de se demander, dès lors, pourquoi Sophie Delila a fait de la soul sa langue maternelle (...)



    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique