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    Les Bawajafar’n Free est un groupe de pur Reggae Roots, qui s’est mis en place au début du nouveau millénaire, voyons comment ce groupe d’origine lyonnaise s’est mis en place au cours des années. Avec une notoriété et un style qui s’est imposé sur scène, dans les bacs, et aussi sur le net, le Roots Reggae à encore de talentueux représentants. Le groupe Bawajafar’n Free est le résultat de la fusion entre 2 groupes les « Bawajafar » et « The free art composition » tout deux provenant de la Croix-Rousse à Lyon. C’est en 1999 que les 6 musiciens s’accordent pour faire un reggae bien roots digne héritiers de la période 70’s. A travers la vocalise de Bob (lead voice du groupe)le chant varie entre l’Anglais, l’Espagnol et le Français, une diversité linguistique qui ne laissera pas de marbre le public lors de leurs différentes prestations. L’instru n’est pas en reste avec Seb à la basse, Mister « Dirty » Gritt, clavier, cuivre, Gwen à la bass / guitar, Mykah à la guitare et Vince à la battterie. Parallèlement les différents titres sorties sur des compiles rencontrent un certain succès et c’est en 2001 sur le label Nocturne qu’il sortent leur 1er album « Terre en Pente » entièrement mixé/ enginneeré par Mad Professor dans son studio de Londres. En juin 2002, ils remportent les sélection Garance (Finale France-Afrique) à l'Élysée Montmartre et enchaînent les concerts notamment une tournée en France et en Suisse avec Michael Rose, en 2003 ils partent pour une tournée en Nouvelle-Calédonie. En espérant que leur deuxième album voit le jour très bientôt.
    Biographie par : Hiriedat
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    Israel vibration "Stamina" :
    Stamina est sortit en juin 2007 sur le label Médiacom distribué par Nocturne. Israel Vibration est accompagné par les roots radics ainsi que par sly Dunbar à la batterie MR Sly Dunbar, Stikey Thompson aux percussions et Erol Carter à la basse. Cela faisait 5 ans que l’on n’avait pas entendu les voies de Wiss et Skelly sur un nouvel album et ces derniers n’ont pas bougé d’un iota.

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  • When Arthur Conley asked the immortal question 'do you like good music, that sweet soul music', maybe he didn't exactly have the island of Jamaica in mind; nevertheless, the answer from that quarter was a loud and clear 'yes'. The cultural relationship between the USA and Jamaica had been in place long before, from jazz through r & b, and on into the age of soul. A whole generation of singers, players and mcs had grown up in thrall to the sounds of 1960s black America; indeed, in the 1950s Jamaican dancehall music itself had evolved by adapting shuffle-based r&b and boogie, with deejays like Count Machuki freely borrowing slang & lyrics from Harlem journalist Dan Burley's 'Jive' magazine, using that language to introduce and pep up their selections. The link continued through the early 1960s, with singers and vocal groups - Ken Boothe, Slim Smith & the Techniques, the Melodians, Roy Shirley - all engaging in impromptu cutting contests in ghetto locations like Back O Wall, in which the material they sang was drawn from the catalogues of such as the Drifters, Clyde McPhatter, and the ever-present Impressions. When 'soul' replaced 'r & b' in the affections of black American listeners, so rock steady and later, reggae, developed as Jamaican music kept pace with innovations on the US mainland. Through the 1960s, as US soul began increasingly to reflect the social concerns and political aspirations of the black working class, the same phenomenon began to register in Jamaican music. By the end of the 1960s, Jamaica could boast the presence of several singers who equalled in emotional intensity their US cousins, among them such as Ken Boothe, Alton Ellis, John Holt and Delroy Wilson, as well as groups like the Techniques with Slim Smith, Pat Kelly and others. Similarly, instrumentalists like the Meters, Booker T & the MGs and James Brown's band also had their influence on the development of reggae. This compilation celebrates that cultural exchange during the period 1973-1980, emphasising the fact that roots music doesn't have to be overtly Rasta inspired for the message to get across; indeed several of the songs here proved to be as suitable for Jamaican conditions as they were in the USA.
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  • Get this widget | Track details | eSnips Social DNA
    Déjà 10 ans de carrière pour les Black Seeds. Le groupe est devenu une figure incontournable de la scène néo-zéolandaise, cumulant les récompenses, les disques d’or et les platines. Leur titre « The Answer », de la compil « Best Seven Vol.2 » du label allemand Sonar Kollektiv, a tourné en boucle sur les ondes de Radio Nova l’été dernier. C’est après une année de création intensive que sort en France de leur troisième album « Into The Dojo » en août 2007, accompagné du retour en tournée des huit membres du groupe. La scène de la Bellevilloise se souvient encore de leur passage en septembre 2007. Dans la même lignée que Fat Freddy’s Drop, leur musique est un mélange de reggae, dub, funk et soul qui fait danser les foules. Pour la première fois, l’écriture des morceaux a été réalisée par tout le groupe, et Daniel Weetman rejoint Barnaby Weir au chant.
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    REVIEW CONNECT

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    Après la première rencontre très réussie entre le chanteur américain Amp Fiddler et les monuments jamaïcains Sly & Robbie, deux nouvelles collaborations viennent enrichir la collection Inspiration Information du label Strut. Né en 1999 à Londres, Strut Records réédite des trésors oubliés des années 1970, du compas au disco italien en passant par la soul des Caraïbes, des vieux mixes de Kid Creole ou ceux du mythique Grandmaster Flash. Inspiration Information repose sur un concept simple : réunir en studio deux univers artistiques, l’un installé, incontournable, et l’autre plus jeune, encore peu connu. Puis observer ce qu’il se passe…

    La première des deux nouvelles galettes à paraître confronte l’exceptionnelle voix du Jamaïcain Horace Andy à l’électronique fantaisiste de l’Anglais Ashley Beedle. Dj acide house, remixeur acharné, élevé aux sound systems londoniens des années 1980, il fait ses classes avec les groupes X-Press 2 ou Black Science Orchestra. Leur rencontre donne naissance à des dubs aux sons improbables, des rythmiques électroniques soutenues sur lesquelles Horace Andy pose son flow légendaire. Un heureux accident qui pourra peut-être diviser sur la reprise d’Angie des Stones, mais procure une bonne bouffée d’air frais.

     


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