• Ever since he burst on the reggae scene back in the early eighties with Trouble Me A Trouble Yuh and World A Music and the classic Showcase album Ini Kamoze has forged his own trail through reggae music as a complete original. Never one to flood the market with releases, his singles are always eagerly anticipated and he rarely if ever misses the mark. His profile was given a boost a couple of years ago when Damien Marley sampled his voice and used the riddim to World A Music for his international smash Welcome To Jamrock. Kamoze himself issued the excellent My Girl, included here alongside next singles R.A.W. featuring Sizzla and the binghi chant Rasta Nation Now, and now he’s delivered this excellent album. On a first listen, apart from the aforementioned singles, tracks such as Isgonbehot, Jailhouse, Control, on a new cut to the old Gatherer’s Lee Perry classic Words Of My Mouth riddim, Battlefront Warrior, a worthwhile cover of his old Xterminator side Hardware and Out Of Jamaica, all sound like classic Kamoze. Recorded at Harmony House and mixed at Big Yard by Shane Brown, 51 50 Rule is a treat for fans and should be investigated by anyone who can appreciate an original talent whose way with words remains unique.
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  • Originaire de Montpellier, le groupe sous sa forme actuelle, est né de la séparation des membres de l'ancienne formation Foutamilia. Reformé depuis près de un an et demi, sous l'appellation FOUTA, le groupe a pris ses affaires en main, et a sorti en juin 2000 son album, L'eau et le feu. Avec à sa tête le chanteur, tchatcheur RhumJ, FOUTA est un groupe Reggae habitué à la scène, qui balance un son énergique apte à remuer les salles, tout en conservant une base musicale Roots. Les textes, chantés en Français sont militants et revendicatifs mais gardent néanmoins un esprit optimiste et positif. Nous avons rencontré RhumJ et certains membres du posse, à Montpellier, une rencontre très naturelle, que nous vous rapportons ici...
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  • + C'est en 1996 que naquit le Fil Rouge. A l'origine l'idée était de faire un sound system permettant notamment l'écoute de nouveautés jamaicaines. Quelques mois plus tard, le band était formé.
    Comme tout départ la route fut souvent régionale et fournie en aventures.

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    Chronique écrite par Benoit Georges le mercredi 18 avril 2007

    Pressure Sounds ajoute une pierre à la grande histoire du dub avec cette réédition d’un album de Keith Hudson de 1982. Moins révolutionnaire et précurseur que "Pick a dub" sorti 1974, mais toujours épaulé par un Soul Syndicate forcément magistral, "Nuh skin up", se compose principalement de versions dub issues de l’album "From one extreme to another". Producteur indépendant et dentiste du ghetto à ses heures, Keith Hudson se fait remarquer en 1968 avec le hit Old fashioned way de Ken Boothe. Il fait également partie des premiers producteurs à immortaliser la voix des deejays U-Roy ou Dennis Alcapone sur ses versions. En 1972, il produit S 90 Skank de Big Youth, allant jusqu’à transporter une véritable moto dans le studio pour les besoins de l’intro. La personnalité artistique de Keith Hudson est cependant difficilement réductible à ces quelques succès de producteur : bidouilleur et chanteur peu orthodoxe, il se caractérise, un peu comme Lee Perry, par ces textes profonds sous forme d’incantation et de chants discordants. Cette démarche, pour le moins conceptuelle et déroutante, le guidera jusqu’à sa mort: incompris de la majorité du public jamaïcain, son œuvre sera par contre une inspiration majeure pour la scène dub anglaise. Du point de vue du son proprement dit, ce "Nuh skin up" reste assez classique au regard de ce qui se faisait à l’époque. Les riddims de Soul Syndicate, utilisés sur l’album "From one extreme to another" sorti en 1979, sont néanmoins de grande qualité. Les arrangements dubs qui les mettent en valeur sont par contre caractéristiques du travail de Keith Hudson : bien chargés en basses, très aérés et mystiques, ils s’étendent sur certains titres pour atteindre presque 7 minutes. La voix envoûtante de Keith Hudson accompagne les différentes ambiances et donne la tonalité sur chaque intro. On passe des tranquilles Ire Ire, Keeping us together, Desiree (dont les accords d’intro ressemblent à s’y méprendre au Jammin de Bob Marley) ou Bad things (décliné en deux versions et utilisé pour le titre Sharing the night together de Delroy Wilson) aux morceaux plus sombres comme Troubles, No commitment ou Words, noyé sous les orgues et les effets modernes. Complétant parfaitement le triptyque débuté par la réédition des albums "Pick a dub" et "Brand", "Nuh skin up" achève de mettre à la disposition du plus grand nombre cette musique expérimentale et avant-gardiste, côté obscur de keith Hudson, surnommé à juste titre « the dark prince of reggae ».
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    Quatre ans déjà qu’on attend le retour sur disque du collectif de Wellington. Il faut dire qu’après le succès du précédent « Based on a true story » en 2005, la bande avait enflammé les scènes du monde entier, donnant d’ailleurs lieu à la sortie d’un « Live at the Matterhorn ». Ici, DJ Fitchie à la production nous a concocté une musique entre soul synthétique, funk, reggae et dub planant avec un Joe Dukie au chant s’adaptant à tous les styles. On plonge dans cette musique au groove lancinant où la longueur des morceaux permet au combo néo-zélandais d’installer ses atmosphères. « Big BW » est un morceau hypnotique parfait pour la méditation. « Pull The Catch » est un pur moment de reggae, loin d’un reggae roots jamaïcain mais qui ravira les amateurs. D’autres morceaux évoluent au cours des minutes comme le séduisant « The Camel » avec la chanteuse britannique Alice Russell, plutôt jazzy-soul jusqu’à l’apparition surprise de cuivres « éthiopiens » pour le plus grand bonheur de nos oreilles. « The Nod » débute avec un sample d’harmonica pour un cross-over de blues et de soul avant l’intervention des cuivres plus funky pour finalement nous amener au cœur de la Nouvelle-Orleans. Passée la "fraicheur" apparente de cet album, il faut avouer que les néo-zélandais s'en sortent plutôt pas mal !
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