• http://bluester.img.jugem.jp/20091211_1060732.jpg

    http://www.myspace.com/seedaofficial

    Origine du Groupe : Japan
    Style : Rap Fusion , Hip Hop
    Sortie : 2005

    Japon, une des compétences de classe mondiale. Japon / transcendance tech habilement passer sur un rythme unique, comme la langue anglaise. Mais c'est parce que j'ai eu raison de refuser la reconnaissance bien au-delà du bon sens et la compréhension de rap japonais malheureusement. MC est le nom de ce génie malheureux SEEDA ....
    Notre temps, cependant, est un tournant? camion-Orient était d'évaluer le génie de son talent précoce sur la I-album DeA "auto-expression" à participer à deux chansons. Quand les gens tout à coup il a été supérieure à la capacité de notre équipe de prouver l'apparence luxueuse en elle. En outre, il un autre génie, camion Kansai relever les normes dans le monde maintenant évaluer B.L aka BACH LOGIC (Logic arrière) les choses bougent.
    Alors maintenant, les travaux de l'enveloppe malheureux génie SEEDA deux producteurs actuellement le plus d'attention 与 Erubeku évaluation légitime (I ー Est DEA / West BL) a fourni toutes les pistes sont jumelés. 2005 est un chef-d'œuvre. Le temps est venu! Shiro surprise à la hauteur de cette!

    Traduction de http://www.wenod.com


    Tracklist :   
    1. Intro
    2. Where I'm From
    3. Rowch ft. L-VOKAL
    4. U Send Me
    5. I Just Smoke
    6. Owlz On Da Treez ft. Manny&Big 'Aki' Dogg of SCARS
    7. Call(Skit)
    8. Hustle In Da Bustle ft. Manny of SCARS
    9. Path ft. Manny of SCARS,BES of SWANKY SWIPE
    10. Back In Da Days ft. ESSENCIAL
    11. Noize Reduction
    12. Set Me Free ft. SAGGA of YING YANG
    13. 偽
    14. 時鳥
    15. Life ft. L-VOKAL
    16. Azure ft. lecca
    17. Think Back

     

    mp3

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  • http://3.bp.blogspot.com/_EpP2DIb0uVo/SmlGJzsA5HI/AAAAAAAAAw8/4yvnGlaXgkk/s320/12641_b.jpg

    http://www.myspace.com/facecandy

    Origine du Groupe : North America
    Style : Rap Fusion Jazz
    Sortie : 2006

    "I wish I could be me". Tranquillement, sans faire trop de bruit, Eyedea poursuit son chemin… Et l'air de rien, il est en train de se construire une jolie petite discographie. On l'aime bien, Eyedea. Même si après le désarçonnant et incroyablement personnel "First Born", beaucoup de ses adeptes de la première heure se sont détournés du parcours de celui qui fut le roi incontesté des battles à l'orée des années 2000, il trace sa route sans trop s'en soucier. Quitte à rester dans l'ombre. Entre un essai solo marquant "The Many Faces of Oliver Hart" et une réunion enthousiasmante avec DJ Abilities (le sous-estimé "E&A"), le petit protégé du label Rhymesayers semble avoir trouvé au fil des ans un équilibre entre son talent inné pour les punchlines et ses aspirations d'écrivain refoulé.

    Histoire de mieux prendre à contre-pied (son péché mignon) ceux qui croyaient l'avoir vraiment cerné à l'issue de son dernier essai commun avec Abilities, Eyedea a décidé de revenir à ses premières amours pour son nouveau projet : la scène, les montées d'adrénaline, le goût du risque et de l'imprévu, le vertige du freestyle… mais sans mettre de côté pour autant son goût de l'introspection. Pour marquer le coup, il s'est donc entouré au micro de la fine fleur des praticiens de la scène indé du Minnesota dans le domaine : son ami Carnage The Executor (souvent entendu à ses côtés ces dernières années), Mazta I (mis en lumière par I Self Divine et Ant il y a peu) et Kristoff Krane (aka Chris Keller). Et comme Eyedea aime décidément se lancer dans l'inconnu, il a aussi appelé deux jazzmen aventureux pour mettre en musique les élucubrations de son équipe de chocs. En lieu et place des beatmakers habituels, ce sont ainsi le bassiste Casey O'Brien et le percussionniste J.T. Bates qui installent le décor de ces rencontres improvisées à plus d'un titre… Pour corser le tout, les 13 titres de ce nouveau projet ont en effet été créés et enregistrés en live, sans filet. L'amour du risque.

    Pourtant, dès le départ, lorsque Eyedea prend possession des premières mesures agitées de "This Is Where We Were", l'oreille se tend et l'adrénaline monte. Il n'est jamais évident de capturer sur disque l'effervescence et l'énergie brute d'une performance scénique et les rares à s'y être aventurés s'y sont souvent cassé les dents. Pourtant, Face Candy y parvient dès l'ouverture de ce magistral 'Witness Intimidation'. "Freestyle meets free jazz". Plongé au beau milieu du public, on prend de plein fouet l'activité incessante de batteries et de cymbales mises à rude épreuve, l'agilité et la rondeur des basses, la répétition frénétique des notes par endroits et le changement permanent partout ailleurs. On entend les cris, les applaudissements, la réaction du public suspendu à chaque phrase. On encaisse ce déluge de mots rebondissant avec appétit sur le beat, cette déferlante de flows hétéroclite, ces passages spoken-word inattendus. En une prise, en 8 minutes épiques, cette osmose rare entre une poignée de emcees et deux instrumentistes est gravée sur disque dans toute sa force, avec ses imperfections, ses transitions abruptes, ses moments de grâce. Soyons francs: jamais par la suite, "This Is Where We Were" ne retrouve l'intensité et l'urgence de cette ouverture magistrale. Mais il s'en approche à de nombreuses reprises. Et c'est déjà beaucoup.

    Il faut dire que le terrain de jeu multisports et sans réelle limite proposé par la section rythmique de Face Candy donne une belle occasion aux quatre vocalistes de faire étalage de leur talent d'improvisateurs. Entre le beatboxing expert de Carnage (intelligemment mis à profit en fin d'album) et les passages scatées occasionnels de certains de ses collègues, tout le monde se fait plaisir. Si le phrasé criard employé par Kristoff Krane sur certains titres pourra irriter nombre d'auditeurs, la révélation de Mazta I devrait par contre mettre tout le monde d'accord. Débarrassé des productions boom-bap trop balisées qu'il affectionne habituellement, cet habitué du Scribble Jam prend ici une nouvelle dimension en exposant son sens du groove et en s'imposant comme un lieutenant de choix pour l'incroyable machine à rimer qu'est toujours Eyedea (Cf. 'Scream Therapy' pour l'entendre mettre le feu à la salle en deux-temps trois-mouvements).

    Parfois fuyants, parfois omniprésents, mais constamment sur la brèche, Casey O'Brien et J.T. Bates font varier le tempo à leur guise et parviennent à apporter une diversité étonnante à ce projet compte tenu du duo basse/batterie ultra-minimaliste auquel le groupe à décidé de se tenir. Bien entendu, en cours de route, certaines compositions sont plus ternes que d'autres (au hasard, 'Adult Toys' ou 'Infant') et une certaine monotonie s'installe forcément vers la fin du disque. Sans trop prendre de risques, on peut penser que l'ajout d'un instrument à l'autre bout du spectre (cuivre ou guitare par exemple) aurait sûrement donné plus de profondeur sur la longueur… Mais dans l'ensemble, en variant les rythmes et les atmosphères, en alternant tension et relaxation, en faisant monter la sauce quand le besoin s'en fait sentir, les deux compères animent déjà très intelligemment cette petite entreprise. Lorsqu'ils se livrent à un bref tête-à-tête au beau milieu de 'The Art of Faking Orgasm', on en vient même à se dire qu'ils auraient pu se ménager plus souvent de tels moments d'intimité. Mais ce sera pour une autre fois, car ici, c'est bien du côté des rimes que l'intime trouve son temple.

    "Take me for a walk through your mind". A chaque fois, le procédé est le même. Prenant comme base quelques rimes écrites (on le devine), les quatre emcees les emmènent peu à peu vers d'autres horizons intérieurs, sondant leur esprit et leur inconscient, se livrant à une vraie psychanalyse sur sillon. Disséquant leurs comportements amoureux, mettant à jour leurs défauts ou se lançant dans le récit d'histoires tordues et forcément tragiques, Eyedea, Mazta I et les autres ont clairement envie de prouver que le freestyle n'est pas qu'une question de punchlines. Il en résulte un kaléidoscope d'émotions étrange, parfois mystique. "I don't have enough time to reconstruct all the things that fuck me up". Si cette approche pourra en rebuter certains, la rage contenue qui habite chacun de leurs passages devrait en convaincre plus d'un.

    Et puis, sinon, on doute qu'Eyedea, habitué aux confessions à cœur ouvert, se préoccupe encore du qu'en dira-t-on. A vrai dire, il s'en fout sûrement complètement. "How does the inside of peoples' heads taste?" Aux dernières nouvelles, avec une partie de sa troupe, ils avaient adopté le patronyme de Carbon Carousel et s'orientaient vers des projets plus rock.... Une nouvelle façon pour Michael de confirmer qu'il déteste cordialement les histoires cousues de fil blanc. "Live for what we fought for and fight for what we live for!"

    En tout cas, à défaut de savoir ce que le futur leur réserve, une chose est sûre : avec "This Is Where We Were", Face Candy réussit la gageure, pour le moins rare, de nous proposer un album de rap live qui tient la route de bout en bout. Pour imparfait qu'il soit, ce premier essai propose même dans ses meilleurs moments une synthèse idéale entre la liberté du jazz et la force de conviction du freestyle. Tout est question de timing… et dans ce genre hybride et hautement risqué, on n'avait pas entendu mieux depuis le magique "The Way of the Cipher" de Steve Coleman & The Metrics. C'était en 1995, il y a plus de dix ans. Autant dire une éternité.

    par Cobalt pour http://www.hiphopcore.net

    Tracklist :
    01. Witness Intimidation
    02. Pill
    03. Life Jacket
    04. Infant
    05. Feeling Sprayed
    06. The Art of Faking Orgasm
    07. Buzz Kill
    08. Adult Toys
    09. Scream Therapy
    10. Braille
    11. Gun Powder
    12. Disappearing
    13. PILLOW BITE

    mp3

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    http://www.abdalmalik.fr

    http://www.myspace.com/abdalmalikspace

    Origine du Groupe : France
    Style : Rap , Slam , Alternative
    Sortie : 2010

    Littéralement stupéfait, c’est la première impression que j’ai ressenti lorsque j’ai écouté Château Rouge, ce quatrième album de Abd Al Malik réalisé par Chilly Gonzales. Alors Chilly Gonzales, ou Gonzales, c’est un incroyable auteur-compositeur-musicien électro canadien, collaborateur de Jane Birkin, Feist, le fou gentil Philippe Katerine ou encore Arielle Dombasle, et accessoirement détenteur du record du monde du plus long concert en tenant 27 heures et 3 minutes au piano.

    Comme beaucoup d’autres rappeurs dits littéraires et experts en lettres (Oxmo, Solaar…), Abd Al Malik avait rapproché le rap avec la chanson française, les chansons à texte par le biais du Slam, qu’il a vulgarisé avec Grand Corps Malade, en ajoutant une mise en scène sonore (cette discipline hip-hop est je le rappelle strictement acapella). Mais ça ne suffit plus pour évoluer, il faut regarder d’autres horizons comme l’a fait Disiz la Peste en devenant Peter Punk. Le MC strasbourgeois, lui, a préféré s’illustrer dans un registre électro-pop.

    Désappointement, choc,… nombreux sont les mots qui viennent en tête lorsqu’on passe du Slam de « Valentin », s’inscrivant dans la continuité de Gibraltar et Dante, au single « Ma Jolie ». Abd Al Malik chante (!) en poésie sur une mélodie électro-pop entêtante et un rythme entraînant. C’est pour la moins très surprenant ! Et la suite qui se découvre l’est tout autant avec « Miss America », « Mon Amour » en duo avec sa femme Wallen et « Le Meilleur des Mondes/ Brave New World »… Avant de revirer brutalement vers le Slam avec des chansons comme « Dynamo » et l’hybride slam/electro « Centre-ville ». Ses talents de conteur d’histoires truffées de figures de style captivent toujours autant notre attention et l’on s’imagine déjà celui-ci animer la scène raconter son histoire de vélo, ou les douze minutes de « Château Rouge » avec le piano qui crée l’effet cinémascope. Seul regret : Abd Al Malik déclame toujours ses textes sur les mêmes tons et temps que ses deux précédents albums, comme un garçon appliqué et bien éduqué. À la longue, ça peut finir par lasser.

    L’élévation stylistique d’Abd Al Malik ne s’arrête pas à cette première moitié électro-pop en majorité, il repousse davantage ses limites et les frontières dans la seconde. Et là, on ne peut qu’écouter sans trop savoir quoi penser. Il n’y a pas que le morceau ska notamment (« SyndiSKAliste ») mais c’est quelque chose d’entendre Abd Al Malik speaking in english in ze text wiz ze frenchy accent sur « We Are Still Kings » et « Ground Zéro » (avec Papa Wemba)… déjà que Château Rouge contient déjà des refrains en anglais. Pour ce qui est de purement rap dessus, se référer au couplet de Matteo Falkone sur « Neon ».

    Son ouverture musicale s’est considérablement élargie en s’unissant avec l’univers de Gonzales. Château Rouge est pour le moins un pari hyper risqué, des gens y adhéreront, d’autres salueront la prise de risque et apprécieront l’album à sa juste valeur avec ses qualités et ses défauts, et le reste critiqueront amèrement son auteur. Abd Al Malik est devenu un artiste « inettiquettable », plus… Universal.

    par Sagittarius pour http://sagittariushh.wordpress.com


    Tracklist :
    1 Valentin 3:43
    2 Ma Jolie 2:54
    3 Miss America 3:47
    4 Mon Amour Feat. Wallen 4:08
    5 Le Meilleur Des Mondes / Brave New World Feat. 3:33
    Primary 1
    6 Dynamo Ezra Koenig 5:42
    7 Centre Ville 3:30
    8 Goodbye Guantanamo 4:23
    9 Neon feat. Matteo Falkone 3:45
    10 We Are Still Kings 3:45
    11 Rock The Planet feat. Cocknbullkid 4:23
    12 Syndiskaliste 4:37
    13 Ground Zero (Ode To Love) Feat. Papa Wenda 4:53
    14 Chateau Rouge 12:06

     

    mp3

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  • http://www.disc-over.net/PROMO/SISTER_FA/Sister-Fa.jpg

    http://www.sisterfa.com

    http://www.myspace.com/sisterfa

    Origine du Groupe : Senegal , Germany
    Style : Rap Fusion
    Sortie : 2009

    Sister Fa, l'enfant de Dakar, la capitale vibrante du Sénégal, tire toute son expression artistique inimitable du dynamisme et de la créativité de la métropole Hip Hop d'Afrique de l'ouest. Elle a fait ses premiers pas musicaux dans la scène Hip Hop locale et enregistré sa première maquette en 2000. La vitalité de Sister Fa trouve ses racines en Casamance, au sud du Sénégal. Les riches traditions musicales et culturelles de la région natale de sa famille ont influencé de façon significative sa production artistique en la dotant de notes très personnelles. Après la mort soudaine de sa mère en 2000, Sister Fa a abandonné l'école pour se consacrer complètement à la musique, sans le consentement de son père. Ses efforts ont été récompensés en 2005 par sa nomination en tant qu'"Artiste Révélatrice" au festival de Hip Hop sénégalais. Depuis lors elle est devenue une pièce maîtresse de la scène Hip Hop sénégalaise. La rappeuse la plus connue du pays est un modèle pour beaucoup de jeunes femmes. En plus des sujets sociaux, politiques et personnels, elle utilise sa musique surtout pour frapper les consciences et exhorter au travail pour un abandon de la coutume de la mutilation génitale des femmes. Début 2008, elle a organisé la tournée "Education sans Mutilation" au Sénégal, portant le message de l'anti-excision au public pendant trois semaines. Les plans pour une poursuite de cette action en 2010 sont prêts et visent cette fois au coeur du problème: les petits villages de la campagne. Sister Fa travaille hardiment à l'amélioration de la situation de son pays natal, où elle est une star. Après avoir réussi dans son pays, Sister Fa a monté sa tente au coeur de Berlin, la riche ville culturelle. Forte de ses chansons, de son caractère avenant et d'une fille nouvelle-née, la voilà prête à conquérir le reste du monde.


    Sister Fa entered this world in the early 80s in Dakar, the vibrating capital of Senegal. Nourished on the energy and creativity of West Africa's Hip Hop metropolis, she injectes these into her own music with inimitable artistic expression. Rich musical and cultural traditions from her native country have significantly influenced her artistic output, lending it a uniquely personal note. Her lyrics examine social, political and personal subjects, but she uses her music above all for her fight against the tradition of female genital mutilation. Sister Fa is the best-known female rapper in Senegal and a role model for many young women. With a new homebase in Berlin, Sister Fa is ready to share her tales from the flipside of paradise with the rest of the world.

    par http://www.sudplanete.net


    Tracklist :
    1 Milyamba 4:17
    2 Selebou Yoon 3:41
    3 Amy Jotna 4:13
    4 Sarabah 4:18
    5 Hip Hop Rek 3:51
    6 Soldat 4:02
    7 Life Am 4:06
    8 Poum Poum Paya 4:07
    9 Hip Hop Yaw La Fal 3:24
    10 Sister Fa La 4:02
    11 Assoukatene 4:29
    12 Bou Souba Si Ngone 4:13

     

    mp3

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    http://www.myspace.com/bantucrew

    http://www.myspace.com/docta494

    http://www.myspace.com/sisterfa

    Origine du Groupe : Senegal , Nigeria , V.A Africa
    Style : Rap Fusion
    Sortie : 2008

    In Western Africa, hip-hop and Islam aren't at odds with one another. As the rap movement swept through Africa in the last few years, young rappers like Bantu, Docta, Sister Fa learned how to make Islam an aspect of their music, particularly in countries like Mali or Senegal that are heavily influenced by Muslim beliefs. Some combine devoutness with social criticism. Others criticise using religion to achieve political aims. The lessons are many and varied, here tought by Bantu, Docta, Sister Fa and many more.

    by http://www.piranhashop.de

    Krugers Magazine
    Piranha's excellent Many Lessons compilation, which documents the seamless merging of hip hop and Islam in West Africa, provides a reminder that combining music with a spiritual message doesn't have to be a recipe for disaster. The widespread popularity of hip hop in countries such as Senegal, Nigeria, Morocco, Guinea and Mali (artists from all five are featured here) isn't necessarily much of a surprise. After all, the potent combination of beats and rhymes is now prominent in just about every corner of the planet. What is less predictable is how successfully West African MCs have turned a genre normally associated with hollow materialism, big doe boasting and casual sexism into a vehicle of social commentary and, most crucially, offering plentiful thanks and praise for the almighty. On the other hand, religious topics have always ranked high in the subject matter of African musicians, including such internationally well-known figures as the late desert blues chief Ali Farka Toure and Youssun Dour, so perhaps it's to be expected the continent's MCs are equally unlikely to shy away from spiritual content.

    BBC Online
    Behind the counterfeit 50 Cent T-shirts and bootleg mixtapes piled high in market stalls in Western African cities like Dakar lies a thriving indigenous hip-hop culture, one that's inspired as much by the teachings of Mohammed as it is the rhymes of Jay-Z. For, if hip-hop is meant to tell the truth of everyday life, then it's natural that in countries such as Senegal and Mali where Islam is the dominant religion that rappers should reflect that in their rhymes. So in some ways, although the ideals of devout Islam seem to directly contradict the materialism espoused by those rappers flaunting their rides and riches across MTV, this Islamic hip-hop is much truer to the music's original spirit than almost anything we've heard on Def Jam recently.

    CD Roots
    In Western Africa, it seems hip-hop and Islam might not be so at odds with one another as one might suspect. In the last few years, as the rap movement swept through Africa, young rappers learned how to make Islam an integral part of their music, particularly in countries like Mali or Senegal that are heavily influenced by Muslim beliefs. Some artists combine devoutness with social criticism. Others criticize using religion to achieve political aims. The lessons are many and varied. 'Where in this world do Islam, American pop culture, youth culture and emancipation cross with the heritage of a culture conscious of its traditions? And what comes out of that? The answer is as simple as it is unlikely and is unfolding in these 14 stirring lessons,' says Tobias Maier Of Radio Multikulti of this 2008 release.

    Tracklist :   
    1. Bantu feat. Ayuba: Many Lessons
    2. African Akhlou Bi: Andando
    3. Keur Gui: Liye Raam
    4. Sister Fa: Selebou Yoon
    5. Les Escrocs: Salamalekoum
    6. Rifo + Lamine Kouyate: Deadfathers/Fayaale
    7. MidNight Shems: Jbal Atlas
    8. Silatigui: My Life in the Ghetto
    9. Backa: Ya Rassulilah
    10.Docta: Xonet
    11.General Snipe feat. Kiné Thiam: Bataxal
    12.Gokh-Bi System: In God We Trust
    13.Gaston feat. Niagass: Jeuf Jel Leu
    14.Dread Skeezo feat. Dread Maxim: Mighty Intelligence

    mp3

    Tell a Friend

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