• http://www.rapelite.com/multimedia/coversons/FEFE%20JEUNE%20A%20LA%20RETRAITE.jpg

    http://www.fefe-lesite.com

    http://www.myspace.com/fefessc

    Origine du Groupe : France
    Style : Rap Fusion , Alternative
    Sortie : 2009

    NEWS !!! Desktopify this player HERE

    Encore un qui va poser des problèmes aux disquaires ! Où ranger Féfé, ex-Saïan Supa Crew ? Trop groovy pour rester au rayon chanson, trop mélodique pour être raccord dans les bacs hip-hop. Le trentenaire livre un premier album, Jeune à la retraite, gorgé de bonnes ondes. A ranger, sans hésitation, sur l’étagère des belles surprises.

    Sac à dos vissé sur les vertèbres, look de tortue ninja, Féfé (ou Féniksi) a tutoyé le succès avec son groupe, le Saïan Supa Crew. Mais, après la séparation du collectif rap éclectique en 2007, ce trentenaire originaire de Clichy-la-Garenne se trouvait un peu trop à l'étroit dans le strictement hip-hop. Il avait envie de soul, de reggae et de chanson. Envie de retrouver l'ambiance de ses dimanches en famille au son de Fela Kuti, Bob Marley ou Sam Cook. Envie de faire plus que "jouauter", à l'oreille, avec les instruments qui lui passent dans les mains.

    Et l'artiste a travaillé. Dans la lignée de G padpo sur le premier album du Saïan, Jeune à la retraite propose une alliance détonante entre guitare sèche, batterie bien en avant, cuivres chaleureux et voix mi-rapée mi-chantée. Fils caché de Tété et Outkast, Féfé n'a pas fait les choses à moitié. Il est allé solliciter Dan The Automator, producteur mythique et co-créateur de Gorillaz. Leur collaboration va laisser des traces tenaces sur les pistes de danse : Dans ma rue et son gimmick reggae ou C'est comme ça, véritable éruption de bonnes vibrations.

    Entouré de musiciens solides, le trentenaire caresse aussi bien la funk (Mes héros) que le reggae (Ride Home en duo avec Patrice). On comprend pourquoi il aura mis dix ans pour accoucher de ce premier disque. Quelque soit l'habillage, limite Yelle sur VPC ou complètement acoustique avec Être père, Féfé reste juste, à la fois sensible et espiègle. La preuve, grâce à ce Jeune à la retraite, que ça a du bon de vieillir.

    par Ludovic  Basque
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    Fefe - Bio
    envoyé par Fefe


    Tracklist :
    1. Jeune à la retraite (3:29)
    2. Clichés (3:22)
    3. Dans ma rue (3:54)
    4. Mes héros (3:18)
    5. C'est comme ça (3:43)
    6. Miss Wesh Wesh Yo (3:29)
    7. Cherche (4:04)
    8. Pause (3:19)
    9. VPC (3:54)
    10. Ride Home (3:10)
    11. Être père (3:09)

     

    mp3

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  • http://blog.rocktrotteur.com/wp-content/uploads/2010/05/oxmo-puccino-1453.jpg

    http://www.oxmo.net

    http://www.myspace.com/oxmopuccino

    Origine du Groupe : France , Mali
    Style : Rap Fusion , Hip Hop
    Sortie : 2010

    Hip Hop / Paris / le 05 Mai 2010. "Mais où est Billie? On ne sait pas. A la Cigale sûrement pas."

    Mais où est Oxmo? Ah ça je sais, lui pour le coup il y était !

    Devant une salle complète et comblée, rassemblant les fans d'avant et d'après « Lipopette Bar », le black Jacques Brel nous propose un show de presque deux heures, accompagné de ses musiciens dont il ne semble plus décrocher. L'atmosphère est à l'image du flow et des paroles : prenante, planante, intelligente, jamais vulgaire, sombre mais bon enfant ; l'homme est passionné, aime se donner, apprécie et encourage le retour du public, partage réellement sa musique avec lui.

    Du hip-hop certes, mais bien plus que ça en fait : du jazz, du funk, du rock, de la chanson, de la poésie... Sur scène, ce n'est pas que Oxmo Puccino, mais bien un groupe dans son intégralité qui se produit. Du clavier à la batterie, tous jouent leurs rôles respectifs à la perfection, s'amusent en contre-temps, se mettent en avant le moment venu et savent se retirer avec classe pour laisser leur place aux autres.

    De fait le public - qu'il s'agisse des aficionados de la première heure ou de ceux post Lipopette – répond présent, touché par cette simplicité et ce naturel qui permet de passer d'une "chanson française" comme « Quitte moi » à un rap du XIX de la bonne époque comme « Black Mafioso ».

    Secouer la tête sur les beats, ingurgiter les paroles, réfléchir, bouger, oublier : la nostalgie prend et colle un sourire béat aux lèvres pour s'envoler de nouveau sur des slaps de basse funkies. Tout est là, riche, hétéroclite, complet et unique, à l'image de l'homme et de son groupe.

    le fidèle Marien
    permalink

    Tracklist :
    01 - L'un de nous deux
    02 - Tirer des traits
    03 - Où est Billie
    04 - 365 jours
    05 - Soleil du Nord
    06 - Les unes, les autres
    07 - Black Popaye
    08 - J'te connaissais pas
    09 - Alias Jon Smoke
    10 - Quitte moi
    11 - Medely Opéra Puccino :
    12 - J'ai mal au mic
    13 - Mama Lova
    14 - Interlude : Bad Boy for Life (sample P.Diddy)
    15 - Naître adulte
    16 - L'arme de paix
    17 - Le cactus de Sibérie
    18 - Sur la route d'Amsterdam
    19 - Interlude
    20 - Master Ciel
    21 - On danse pas
    22 - L'enfant seul

    hd dvd rw

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  • http://www.soulculture.co.uk/wp-content/uploads/2010/06/Ghostpoet-Sounds-Of-Strangers-EP.jpg

    http://www.myspace.com/ghostpoet

    Origine du Groupe : U.K
    Style : Rap Fusion
    Sortie : 2010

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    Obaro Ejimiwe est notre Ghostpoet. MC britannique originaire du Niger,  il propose un hip hop expérimental imaginatif. Maniant La rime espiègle et le flow chaleureux,  le jeune homme nous accroche rapidement avec ses petits morceaux sympathiques.   Petite surprise des plus réjouissantes : la collaboration avec l’excentrique Micachu  en piste 2. On y retrouve le son bien particulier de la demoiselle qui marie joyeusement ses arrangements lo-fi et son chant au flow  du rappeur britannique.

    par Toujours un coup d'Avance!
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    Tracklist:
    1. Gone
    2. Morning feat. Micachu
    3. Longing For The Night
    4. Love Confusion

    mp3

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  • http://cover7.cduniverse.com/CDUCoverArt/Music/Large/superd_6860347.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/combatwombatforpresident

    Origine du Groupe : Australia
    Style : Electro Dub Hip Hop , Ragga
    Sortie : 2005

    From Wikipedia :

    The band's name came about because they used to drive around in a camouflage painted van that looked like a giant wombat.

    ...one day whilst we were touring around the desert with our solar powered sound system (Labrats) my mate Rufus said why don't you call your band Combat Wombat... so we did.
    —Monkey Marc[1]

    Monkey Marc met Izzy in Darwin in 1998[2] where they started up a solar powered party political sound system.

    She had this whole solar-powered sound system that she had hooked-up to this old quad-bike, a four-wheeled pedal bicycle. It was basically pedal and solar-powered. I arrived with my decks and my mixer, a sampler and an 808 drum machine, and that was kind of the start of Lab Rats and Combat Wombat
    —Monkey Marc[3]

    Elf joined the band in 2000 after they all met whilst living together in a squat in the heart of Sydney.

    The squat lasted two-and-a-half years. It was the venue of many benefit parties for the forests, land rights and Lake Cowal. It had alternative movie nights, dumpster picnics and many thriving underground and grass-roots gatherings
    —MC Izzy[2]
    We had this warehouse out the back that became known as the Pigeon Poo Palace, and that's where we started jamming with Elf Tranzporter. We were doing heaps of free parties and Reclaim The Streets parties at the time. So he'd just rock up and start doing some rhymes, and we just started up this friendship
    —Monky Marc[3]

    DJ Wasabi joined the band in 2002.[1] Their first real performance as Combat Wombat was on a Channel Seven music program[3]

    Of course, it was heavily censored. The song was about four-and-a-half minutes long, but by the time Channel Seven got hold of it and cut up the footage of us performing live, they chopped it down to about a minute-and-a-half. They'd taken everything out of it, you know, there were lines about Nike exploitation of workers, Shell drilling hell and none of that was in there. But they left in the stuff about cops selling smack and stuff). It seemed fairly obvious who the program sponsors were.
    —Monkey Marc[3]

    This led to the release of the band's debut album, Labrats Solar Powered Sound System, and their subsequent signing to Elefant Traks. The band released its second album, Unsound $ystem, in March, 2005.[4] Within a week of its release, Unsound $ystem was receiving airplay on Triple J, with the single, "Qwest" reaching #2 on the Net 50.[5] Unsound $ystem features a number of guests artists such as The Herd's Ozi Batla and TZU's Seed MC, but the most confronting cameos are from MCG and SMS: two Afghan refugees who had escaped from Woomera detention centre.

    We knew these guys from Woomera and bumped into them and invited them in to record. I played them a song, an emotive arrangement of gypsy strings, and they just tried to write whatever they could. They had never rapped and wanted to know what this song was about. I said, 'Displaced people.' They wrote this rhyme in Persian that was pretty much like, 'Why has God forgotten us? Why are we the forgotten people?' They were beautiful guys and we recorded it in an hour and took them out for pizza. Unfortunately they were locked up and sent to Baxter.
    —Monkey Marc[5]

     

     

    Tracklist :
    01 - Displaced peoples [ft. chris mutiny]
    02 - Alternative energy [ft. ozi batla]
    03 - Lost paradise
    04 - Qwest [ft. seed mc]
    05 - Star wars [ft. ozi batla]
    06 - Redneck shock jock
    07 - Police brutality [ft. ozi batla]
    08 - Days like these
    09 - A loggerrhythm
    10 - Radio woomera pt. 1
    11 - Radio woomera pt. 2
    12 - Milk cow mantra
    13 - Corruption dub
    14 - Human shields
    15 - Clockwork [ft. raceless]
    16 - End of the world dub

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  • http://www.parisdjs.com/images/big_dada/Infesticons-Bedford_Park_b.jpg

    Note :

    http://www.mikeladd.net

    http://www.myspace.com/likemadd
    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative , Rap Fusion , Spoken Word , Punk , Breakcore
    Sortie : 2010

    Ultime volet d’une épique trilogie, Bedford Park met fin à une aventure humaine et artistique unique en son genre. The Infesticons reprennent les armes pour la dernière fois et nous les avons suivi dans les décombres d’une ville en proie à la torpeur. Mais laissons donc aux Mcs ce qui leur appartient, à vous la rédaction …

    A l’origine du mythe, il y a Mike Ladd, mc prolifique et producteur de son état, fer de lance d’un mouvement que l’on appelle le « Spoken Word » qui consiste en une sorte de poésie orale proche du slam. C’est après quelques albums bien accueillis qu’il entreprend de créer sur le label Big Dada, une trilogie musicale mettant en scène une guerre sans merci que livrent les gentils Infesticons à l’encontre des vils Majesticons. Ces derniers projettent de conquérir un New York alternatif situé dans une dimension parallèle. c’est donc à nos héros qu’il reviendra la dure tache de botter l’arrière train de ces envahisseurs mal intentionnés dans un joyeux bordel sonore mélangeant sans vergogne punk, funk ou encore Hip-Hop.

    Bedford Park situe l’action tout juste après la bataille, et Blokin’ Door Anthem ouvre ce dernier acte sur une ville fumante d’où résonnent un vieux morceau punk, une voix s’élève, éraillée par les épreuves, encore sous le choc des combats.

    On reprend vite du terrain, on arpente les débris où l’on retrouve quelque personnage fantasque comme ce Dirty Ol’ Man Athem qui semble plutôt remonté … une majorette défile les genoux écorchés lançant très haut son bâton sale sur ce Plan Anthem à l’instru festive et forcément décalée …

    Puis subitement un parc se présente à nous, intact encore préservé du tulmulte par un immeuble qui jadis lui faisait de l’ombre … Forever Anthem sera le seul titre réellemnt optimiste de ce témoignage héroique … court moment de répis car il faut déjà repartir !

    Les scènes et les protagonistes se suivent, le Hip-Hop se fait de plus en plus expérimental et les frontières entre les mouvement musicaux vollent en éclat. Le combat final fut difficile mais la victoire est bonne.

    Les gentils ont encore sauvé le monde, non sans faire de dégats mais l’histoire se souvriendra surtout de cette poigné d’hommes libres qui ont bravés les styles pour défendre leur idéaux … Une excellente fusion tirant partie de chaque univers musical, du pain bénit pour les curieux !

    par Williams
    permalink


    Tracklist :
    1 - Blockin' Door Anthem
    2 - Gonna Anthem
    3 - Dirty Ol' Men Anthem
    4 - Plane Anthem
    5 - Forever Anthem
    6 - Kick Anthem
    7 - Hang It Up Anthem
    8 - Word Sin Anthem
    9 - Give Em Anthem
    10 - Bombs Anthem
    11 - Get Along Anthem
    12 - Sky's Anthem
    13 - Outro

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