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    Découvrez la playlist LA RUDA Dans La Vapeur Et Le Bruit
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    En un peu moins de dix ans de carrière et de tournées dans tout l'Hexagone, La Ruda Salska devenu plus simplement La Ruda s'est taillée une solide réputation dans le milieu du ska français, plaçant le groupe parmi les tous meilleurs du genre.
    Quelques titres revenant en boucle comme L'instinct du meilleur, 24 images secondes, L'art de la joie, Pensées malsaines, Le bruit du bang ou encore Le prix du silence accrochèrent un public féru d'ambiance festive et de gros sons dans un joyeux mélange de guitares électriques, cuivres et percussions démentiellement délirantes et... une vraie voix qui déclame des textes à nature variées. Et tout ceci sur un live reposant sur deux disques intitulés Dans la vapeur et le bruit.

    Sorte de "gros best of" serait faire injure à la qualité de cette compilation des meilleurs titres de La Ruda car la derrière prestation live du groupe se cache une véritable frise historique du groupe retraçant leurs thèmes et leurs influences, la présence scénique en plus. Sentir le public angevin accueillir, réagit puis quitter les artistes après un concert « énormissime » entre rythmes déchaînés sur lequel les cuivres répondent à l'électricité (L'instinct du meilleur, Le bruit du bang, Affaire de famille...). Le côté rock dominant du lancement de l'album ne doit pas masquer que La Ruda est avant tout un groupe de ska qui se retrouve dans la manière d'exclamer les paroles de titres possédant certaines allusions revendicatives mais surtout une certaine joie de vivre notable. Le virage rock pris par le groupe se
    laisse apprécier durant la grande partie du premier disque, les titres s'enchaînant comme une lettre passant à la poste... La partie à dominante ska est légèrement « refoulé » (Profession détective, Unis, Trianon, Numéro 23) mais présente et toute aussi jouissive. Le deuxième disque propose l'inédit Louis et une vidéo de quelques minutes consultable annonçant l'arrivée du live de dix ans d'archives imagées et qui s'annonce pour le moins... suintant.

    Les conditions techniques de l'enregistrement sont intéressantes et permettent d'obtenir un son en tout point presque aussi parfait qu'en studio, le public en plus. La communication avec le public n'est pas aussi exubérante que chez Marcel et son Orchestre mais le live de La Ruda n'a pas besoin de ceci pour faire figure de formidable album. A noter que le DVD live ne devrait pas tarder à sortir pour faire toujours plus de bruit et de vapeur...

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    Tracklist :

    Disque 1
    01. L'instinct du meilleur
    02. Le bruit du bang
    03. Affaire de famille
    04. Que le bon l'emporte
    05. Profession détective
    06. Pensées malsaines
    07. 24 images/seconde
    08. Tant d'argent dans le monde
    09. Orange
    10. L'eau qui dort
    11. Chanson pour Sam
    12. Unis
    13. Le prix du silence
    14. Naouël
    15. Dira-t-on encore ?
    16. Le pieux et la potence
    17. Trianon
    18. Numéro 23

     

    Disque 2
    01. L'odyssée du réel
    02. Stadio
    03. Carnet d'une égérie
    04. Paris en bouteille
    05. L'art de la joie
    06. Histoires improbables
    07. Louis
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    ou 

    part1
    part2
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    Los Skalariak, una banda de ska con muy buenos ritmos un muy buen grupo, hay les dejo el link, y ps para los que andan por estos rumbos, los invito a que rolen la pagina entre sus conocidos, y aunque ultimamente no hemos subido archivos, pero ps aqui esta este disco, vale hermanos, buena vibra!
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  • http://www.spirit-of-rock.com/les%20goupes/B/Babylon%20Circus/Musika/Musika.jpg

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    Babylon Circus est un groupe de musique français de ska reggae rock formé en 1995 à Lyon. Il est aujourd'hui composé de 9 musiciens, et a donné plus de 1000 concerts dans 25 pays différents. Le groupe a travaillé, au printemps 2007, sur un vaste projet baptisé "Babylon Circus Experience", qui est en fait un ensemble de trois groupes distincts travaillant chacun une facette de Babylon Circus : le groupe Play Time (dub, jazz, jungle), le groupe WWW (chanson, world) et le groupe Dirty Babylon Breaker (reggae, punk, comprenant des membres de Dirty Fonzy et de Khod Breaker). Le groupe revient sur le devant de la scène en 2009 avec leur nouvel album Belle étoile qui est sorti le 9 Mars 2009, et est actuellement en tournée en France et en Europe.
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    DISCOGRAPHIE

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  • Fire Engines are a post-punk band from Edinburgh, Scotland. The band was a part of the same literary art-punk scene as the Scars and their most famous contemporaries, Josef K. They grew out of the Dirty Reds which had actor Tam Dean Burn as singer. Vocals and guitar were performed by David Henderson, guitar by Murray Slade, bass by Graham Main, and on drums, Russell Burn. Henderson went on to form Win in the mid 1980s and then The Nectarine No. 9 from the early 1990s until 2004. He is now working on a new band called The Sexual Objects who released a single on the Creeping Bent label in 2007 and two more singles through a German label in 2008. The Fire Engines were noted for Get Up And Use Me/Everything's Roses (Codex 1980), and singles and LPs in 1981. In 2004, the band released a limited edition collaboration single with Franz Ferdinand. The seven inch single contained a Franz Ferdinand cover of the Fire Engines song "Get Up and Use Me" with Fire Engines covering Franz Ferdinand's "Jacqueline". On Oct. 2, 2007, the Acute label issued Hungry Beat, a collection of the band's original studio recordings, was made available for the first time on CD in the US.


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  •  
    Contexte : 12 ans. Il aura fallu attendre 12 longues années pour qu’Union Jack livre son premier album. Après avoir fait leurs armes sur des compilations, un EP et un split avec The Gerbs, les voilà qui s’attaquent au long format. Autant dire qu’ils ont eu le temps de se faire les crocs, et que "Tales Of Urban Freedom" est une sacrée morsure aux couilles !

    Chronique :
     Pourtant le choc n’est pas aussi incisif, aussi sauvage et rageux que celui auquel on s’attendait. Longtemps (et toujours) estampillés comme les petits cousins français de Leftöver Crack, les trois Val-d’Oisiens ont pris le temps (c’est le cas de le dire) de développer ce qu’ils ont baptisé le bad ska. Finies les chansons avec 3 accords qui foncent dans le tas. Les contours sont mieux définis, les arrangements particulièrement soignés, avec le rajout de piano et de scratches sur l’album. D’ailleurs la pochette semble là pour annoncer la couleur, avec ces jolis pétales blancs et violets, alors que l’on aurait pu s’attendre à une illustration en noir et blanc montrant un flic en train d’enculer un cochon… ou du genre.. L’intro très classieuse vient tout de suite installer l’ambiance, avec des répliques du film "Into The Wild" de Sean Penn posées sur une bande sonore bénéficiant de scratches, et annonçant l’arrivée de la bête : "U...U... Union Jack". Et quand la bête est lâchée, elle déboule avec la verve d’un pitbull. Les voix hargneuses de Ben (basse-chant) et Tom (guitare-chant) se répondent sur "Some Hope", se font complémentaires et instaurent un dialogue qui va durer tout l’album. Les rythmes se succèdent, se cassent et se refont. Les parties mélodiques suivent les gimmicks ska et les lignes de basses plus funky que cette cruche de Miss Dominique, comme sur la terrible "Stinky Cities". Les morceaux sont imprévisibles, et peuvent du coup décontenancer l’auditeur à la première écoute. Seuls les couplets façon ska restent en terrain connu, et pourraient paraître redondants s’ils ne côtoyaient pas une multitude de riffs originaux et de refrains taillés pour le sing along. Cette ritournelle musicale correspond d’ailleurs au cahier des charges de ce genre de formation, de même que ce fameux "Fuck The Pigs" scandé sur "No Justice No Peace", un titre que les plus tatillons rapprocheront du fameux "No Gods No Managers". Mais Union Jack assume totalement ses influences, comme le prouve l’excellent "And The Angels Sink", que la bande à Stza n’aurait pas renié, et qui demeure le titre le plus proche de la formation new-yorkaise. Car pour le reste, l’ensemble ne manque aucunement d’originalité. "Life Is Peachy" risque bien de faire claquer des mains, avec ses claviers sur les refrains et ses lignes de chant qui lui confèrent une approche résolument plus optimiste que le reste de l’album. Enfin optimiste, musicalement parlant... Car au niveau des textes, Union Jack est un groupe qui pointe toutes les choses qui peuvent déranger dans la société actuelle. Et il y a bien de quoi faire un album, et même un paquet d’autres, mais bon, comme il leur a fallu 12 ans pour faire 12 chansons, on va attendre un peu pour la suite... En tout cas prendre leur temps leur a permis de mettre une implication maximale tant dans la musique que dans les textes. La preuve avec LA tuerie du disque, "The 13 Ways", doigt d’honneur fait aux sectes officielles. Morceau choisi : "The christian nations were built on a fiction / A bible-based story of resurrection / Indoctrination of the population is the best way to control a civilization". Le fond est là, et la forme n’est pas en reste, avec une rythmique catchy à souhait, une nouvelle démonstration de complémentarité au niveau des voix, et un refrain qui évolue en 3 étapes dans un crescendo mélodique à faire gémir la plus frigide des nonnes. Et en cadeau bonus, un featuring de premier choix avec la présence de Tim Armstrong. Ah non, on dirait que c’est l’homme au chapeau, mais apparemment il ne s’agirait "que" de Jay-Z, qui a bien entendu gentiment accepté de venir chanter avec le combo du 95. Il est sympa quand même, Mr.Beyonce. C’est aussi là la force d’Union Jack : un bon brassage (normal quand son label s’appelle Beer Records) de toutes les musiques que la bande affectionne pour créer la sienne. On passe donc sans sourciller du hip-hop (la fin de "Anti-Specism") aux hommages aux Clash. Direct, comme la reprise d’un "Guns Of Brixton" revisité en mode multivitaminé en piste cachée, ou indirect, avec l’intro grandiloquente de "Wounds & Scars", nouvelle petite perle dont on ne cessera de se délecter au fil des écoutes. "Tales Of Urban Freedom" est un peu comme le dépucelage. On l’a attendu pendant 12 ans (oui je suis précoce), et le premier rapport est rempli de découvertes et de petites surprises. Mais on a envie de tout assimiler et maîtriser, de comprendre comment ça fonctionne pour en profiter pleinement. Alors on y retourne, encore et encore, quitte à y passer des heures et en ressortir tout transpirant. Et finalement, on s’y sent comme chez soi, et on y prend beaucoup, beaucoup de plaisir…
    Rédacteur : Seb-O-Matic
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