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    Babylon Circus est un groupe de musique français de ska reggae rock formé en 1995 à Lyon. Il est aujourd'hui composé de 9 musiciens, et a donné plus de 1000 concerts dans 25 pays différents. Le groupe a travaillé, au printemps 2007, sur un vaste projet baptisé "Babylon Circus Experience", qui est en fait un ensemble de trois groupes distincts travaillant chacun une facette de Babylon Circus : le groupe Play Time (dub, jazz, jungle), le groupe WWW (chanson, world) et le groupe Dirty Babylon Breaker (reggae, punk, comprenant des membres de Dirty Fonzy et de Khod Breaker). Le groupe revient sur le devant de la scène en 2009 avec leur nouvel album Belle étoile qui est sorti le 9 Mars 2009, et est actuellement en tournée en France et en Europe.
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  • Fire Engines are a post-punk band from Edinburgh, Scotland. The band was a part of the same literary art-punk scene as the Scars and their most famous contemporaries, Josef K. They grew out of the Dirty Reds which had actor Tam Dean Burn as singer. Vocals and guitar were performed by David Henderson, guitar by Murray Slade, bass by Graham Main, and on drums, Russell Burn. Henderson went on to form Win in the mid 1980s and then The Nectarine No. 9 from the early 1990s until 2004. He is now working on a new band called The Sexual Objects who released a single on the Creeping Bent label in 2007 and two more singles through a German label in 2008. The Fire Engines were noted for Get Up And Use Me/Everything's Roses (Codex 1980), and singles and LPs in 1981. In 2004, the band released a limited edition collaboration single with Franz Ferdinand. The seven inch single contained a Franz Ferdinand cover of the Fire Engines song "Get Up and Use Me" with Fire Engines covering Franz Ferdinand's "Jacqueline". On Oct. 2, 2007, the Acute label issued Hungry Beat, a collection of the band's original studio recordings, was made available for the first time on CD in the US.


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    Contexte : 12 ans. Il aura fallu attendre 12 longues années pour qu’Union Jack livre son premier album. Après avoir fait leurs armes sur des compilations, un EP et un split avec The Gerbs, les voilà qui s’attaquent au long format. Autant dire qu’ils ont eu le temps de se faire les crocs, et que "Tales Of Urban Freedom" est une sacrée morsure aux couilles !

    Chronique :
     Pourtant le choc n’est pas aussi incisif, aussi sauvage et rageux que celui auquel on s’attendait. Longtemps (et toujours) estampillés comme les petits cousins français de Leftöver Crack, les trois Val-d’Oisiens ont pris le temps (c’est le cas de le dire) de développer ce qu’ils ont baptisé le bad ska. Finies les chansons avec 3 accords qui foncent dans le tas. Les contours sont mieux définis, les arrangements particulièrement soignés, avec le rajout de piano et de scratches sur l’album. D’ailleurs la pochette semble là pour annoncer la couleur, avec ces jolis pétales blancs et violets, alors que l’on aurait pu s’attendre à une illustration en noir et blanc montrant un flic en train d’enculer un cochon… ou du genre.. L’intro très classieuse vient tout de suite installer l’ambiance, avec des répliques du film "Into The Wild" de Sean Penn posées sur une bande sonore bénéficiant de scratches, et annonçant l’arrivée de la bête : "U...U... Union Jack". Et quand la bête est lâchée, elle déboule avec la verve d’un pitbull. Les voix hargneuses de Ben (basse-chant) et Tom (guitare-chant) se répondent sur "Some Hope", se font complémentaires et instaurent un dialogue qui va durer tout l’album. Les rythmes se succèdent, se cassent et se refont. Les parties mélodiques suivent les gimmicks ska et les lignes de basses plus funky que cette cruche de Miss Dominique, comme sur la terrible "Stinky Cities". Les morceaux sont imprévisibles, et peuvent du coup décontenancer l’auditeur à la première écoute. Seuls les couplets façon ska restent en terrain connu, et pourraient paraître redondants s’ils ne côtoyaient pas une multitude de riffs originaux et de refrains taillés pour le sing along. Cette ritournelle musicale correspond d’ailleurs au cahier des charges de ce genre de formation, de même que ce fameux "Fuck The Pigs" scandé sur "No Justice No Peace", un titre que les plus tatillons rapprocheront du fameux "No Gods No Managers". Mais Union Jack assume totalement ses influences, comme le prouve l’excellent "And The Angels Sink", que la bande à Stza n’aurait pas renié, et qui demeure le titre le plus proche de la formation new-yorkaise. Car pour le reste, l’ensemble ne manque aucunement d’originalité. "Life Is Peachy" risque bien de faire claquer des mains, avec ses claviers sur les refrains et ses lignes de chant qui lui confèrent une approche résolument plus optimiste que le reste de l’album. Enfin optimiste, musicalement parlant... Car au niveau des textes, Union Jack est un groupe qui pointe toutes les choses qui peuvent déranger dans la société actuelle. Et il y a bien de quoi faire un album, et même un paquet d’autres, mais bon, comme il leur a fallu 12 ans pour faire 12 chansons, on va attendre un peu pour la suite... En tout cas prendre leur temps leur a permis de mettre une implication maximale tant dans la musique que dans les textes. La preuve avec LA tuerie du disque, "The 13 Ways", doigt d’honneur fait aux sectes officielles. Morceau choisi : "The christian nations were built on a fiction / A bible-based story of resurrection / Indoctrination of the population is the best way to control a civilization". Le fond est là, et la forme n’est pas en reste, avec une rythmique catchy à souhait, une nouvelle démonstration de complémentarité au niveau des voix, et un refrain qui évolue en 3 étapes dans un crescendo mélodique à faire gémir la plus frigide des nonnes. Et en cadeau bonus, un featuring de premier choix avec la présence de Tim Armstrong. Ah non, on dirait que c’est l’homme au chapeau, mais apparemment il ne s’agirait "que" de Jay-Z, qui a bien entendu gentiment accepté de venir chanter avec le combo du 95. Il est sympa quand même, Mr.Beyonce. C’est aussi là la force d’Union Jack : un bon brassage (normal quand son label s’appelle Beer Records) de toutes les musiques que la bande affectionne pour créer la sienne. On passe donc sans sourciller du hip-hop (la fin de "Anti-Specism") aux hommages aux Clash. Direct, comme la reprise d’un "Guns Of Brixton" revisité en mode multivitaminé en piste cachée, ou indirect, avec l’intro grandiloquente de "Wounds & Scars", nouvelle petite perle dont on ne cessera de se délecter au fil des écoutes. "Tales Of Urban Freedom" est un peu comme le dépucelage. On l’a attendu pendant 12 ans (oui je suis précoce), et le premier rapport est rempli de découvertes et de petites surprises. Mais on a envie de tout assimiler et maîtriser, de comprendre comment ça fonctionne pour en profiter pleinement. Alors on y retourne, encore et encore, quitte à y passer des heures et en ressortir tout transpirant. Et finalement, on s’y sent comme chez soi, et on y prend beaucoup, beaucoup de plaisir…
    Rédacteur : Seb-O-Matic
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    In a year of good tries and better luck next times, there is a man that will not stand for this blasphemy. Bomb the Music Industry's third LP (fourth release), Get Warmer, takes the best parts of "Album Minus Band" and "Goodbye Cool World" and combines it with new and interesting elements. The songs as a whole feel more structured and focused than previous ones, and the result of that is the most accessible BTMI! album to date. And thankfully this doesn't take away from the substance and replay value of the CD. Rosenstock's gloriously incomprehensible yelling hasn't changed and his lyrics are still heartbreakingly humorous and clever. I will say this right now, Jeff Rosenstock is the only man that can make you feel upset over a wet t-shirt (no, not that kind... perv). The album itself sounds phenomenal as the guys got into the studio for this, and they brought a drum kit with them. There are a plethora of high points on this album. Besides each song having something unique and memorable about them, there's a good number of songs that make you drop your jaw and/or melt your face. The middle-finger doo-wop of "I Don't Love You Anymore" will be repeating itself over and over again in your head, especially the drum solo which is one of the best I've heard this year (sorry Jimmy Chamberlin). The guitar riffs in "No Rest For the Whiny" are fantastic and the horns add so much to the song. So does Rosenstock's incredible "no breathe" technique used while spurting out hundreds of words in a small amount of time. The opening track, "Jobs Schmobs", builds to an intense punk song with bouncing horns and great lyrics. Might I add that whenever synths and horns make an appearance, they're usually very addictive and often times make the song. BTMI! show's off more of their ska side with "Depression Is No Fun" which sounds like The Slackers on crack... crack that causes feedback. And the title track can be summed up in one word: Epic. The twelve track album ends with a quick, sweet acoustical punk song, "The Last Party (Foul)", that sticks itself in your enigma for days. Besides "Pizza Claus is Comin' to Town" which begins to drag before the ending (which is great), Get Warmer is Bomb the Music Industry's (correct grammar?) masterpiece. Note: I don't really know what doo-wop is, I just thought it sounded cool with 'middle-finger' next to it. And I was too lazy to look it up on Wikipedia... they probably have the wrong meaning anyway... you know it's true.
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