• http://www.myspace.com/saraschiralli

    Tracklisting

    Nuit Zébrée : Radio Nova

    1. Paranoid 00:03:31
    2. Bang Bang 00:03:10
    3. Don't miss what you never had 00:03:18
    4. Incompete 00:03:00
    5. Roll the Dice 00:03:10
    6. Track 06 00:02:52
    7. Paranoid 00:03:40

    Grandcrew Review

    For her first date in Paris, Sara Schiralli could not hope for better: the first Nuit Zébrée of the season! Being the opening act, the pressure was ON! ...but evaporated instantly with the first song -as she wowed the crowd with delicacy and sensuality.
    Pour une première date à Paris, Sara Schiralli ne pouvait espérer mieux : La première Nuit Zébrée de la rentrée ! Forcement un peu de pression. Une pression qui s'est évaporée en un rien de temps:Dès que Sara s'est mise à chanter. Les gens se sont tus. Son timbre de voix unique et sa délicatesse ont envouté le Club de la Bellevilloise pour le plus grand plaisir des auditeurs de Nova déjà fans depuis quelques mois de cette perle anglaise.
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    http://www.myspace.com/letskillthesummer

    Quiet and delicate psych folk sitar oriented album by chicagoan one man band

    E’ un delicatissimo disco di cantautorato pischedelico, ricorda un po’ “Oar” di Skip Spence, “The Cycle is complete” di Bruce Palmer, l’album solista di Dino Valenti, la comune della bay area One ( su Grunt/Rca 1972), ma anche certe cose di Tim Hardin e le inflessioni vocali del primo Al Stewart ( come in “sun in your eyes” ).
    Si fanno chiamare The Singleman Affair ma la mente dietro il progetto è solo quella di Daniel Schneider, nome noto sulla scena psych folk di Chicago, città d’origine del nostro. L’album esordio non ha connotazioni particolari né alcun hype se non essere stato stampato dalla PopTones di Alan McGhee (Oasis).
    “ Let’s kill the summer” ha un tono dimesso ma onesto: presenta alcuni brani che interpretano bene l’idea di “combattere l’estate” come l’oziosa “ good to be with you again” giocata su un sussurro e un drone, la psichedelica” don’t come back” , “baby you’ve been on my mInd” che avvicina Schnieider a Fred Neil per il tono baritonale del nostro.
    Nella generale attesa spasmodica odierna per questo o quel disco, una bella sorpresa, inattesa. Da ascoltarsi spesso “Let’s kill the summer” è un album da riascoltare spesso, non annoia ed intriga.

    Ernesto de Pascale
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    Un pas de plus, une avancée certaine, Liz Durrett revient le 9 Septembre dernier avec son frais et fringuant disque Outside Our Gates. L'effet à la première écoute est frappant. Les 11 titres sont de toute beauté, avec des cordes plus abondantes, violons et violoncelles, des cuivres, trombones et trompettes, une rythmique offensive. Le chant est assuré, profond, presque possédé. Une belle réussite que je conseille. C'est une collaboration avec le producteur et arrangeur Eric Bachmann du groupe Archers of Loaf qui donne un résultat extra. On y découvre aussi la participation à l'enregistrement d'amis artistes comme Brian Causey, les Olivia Tremor Control et biensûr le grand Vic Chesnut.
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    Le rock indé et l’amour du folk le plus traditionnel, une disciple d’Isobel Campbell acoquinée à un prodige de l’électro, tous deux perdus dans la profonde campagne britannique et ses forêts légendaires, convoquant le roi Arthur dans leurs imaginaires et faisant danser des gigues paisibles et plutôt lentes sur des fonds de – discrètes mais essentielles – nappes et boucles synthétiques. Des rêveries passionnées ici concrétisées par Helena Costas aidée du (plus que) producteur Danger Mouse : association transatlantique, singulière et hétéroclite et débouchant sur une perle de disque, foisonnant d’idées, de détails et de subtilités, de finesse et de délicates attentions, calmes ou plus enlevées (“Under The Influence Of Jaffa Cakes” ou “Lucid” pop champêtre plus que remarquable). Une façon très réussie d’insuffler de la modernité (et quelque peu de vigueur) à un style parfois engoncé, de le travestir pop avec goût et de le rendre parfois presque méconnaissable mais toujours joliment paré (“The Bull Bites Back“).
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