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    Alors que son véritable premier album studio depuis 2002 - intitulé Seven - doit sortir sous peu, DJ Cam n'est pas resté absent des bacs avec notamment son "quartet". Le concept du DJ Cam Quartet ? réinterpréter en version jazz des classiques du rap US ou les titres samplés sur ces classiques. Le DJ français programme les rythmiques et des musiciens font le reste. Lancé sur le 2e CD lors de la compilation Saint-Germain-des-Prés vol.9 réalisé par notre homme (puis sorti en 2008 en LP sous le titre Rebirth of Cool), le projet a évolué pour donner Stay début 2009 puis Diggin' à la rentrée. Autant le premier des deux sonnait un peu easy listening et manquait sérieusement de la patte de Cam, autant le second a une touche plus rap avec quelques scratchs pour appuyer l'hommage. L'exercice est donc déjà plus intéressant. Outre des batteries appuyées, les mélodies semblent davantage travaillées afin de créer de véritables versions originales qui présentent un intérêt en elle même et pas seulement pour la référence. Sur Boss Guitar, la boîte à rythme cogne dans les basses pendant que le guitariste laisse libre court à son imagination. Le thème à la guitare et un genre de refrain trompette-scratch structurent intelligemment le morceau. Autre manière de rendre le clin d'oeil original, la présence sur trois titres de la chanteuse Inlove qui, malgré ue voix manquant de caractère, assure sa partie avec habileté et discrétion. Sur Little Sunflower, elle accompagne la mélodie sans trop en faire et c'est bien ainsi. Par rapport à Stay, la production de Diggin' est clairement plus aboutie et l'intérêt s'en ressent. La construction des plages est plus riche et variée et chaque instrument prend sa place, laissant tantôt le piano, tantôt la guitare, tantôt la trompette être en avant. La réussite de ce nouvel LP vient aussi des détours soul que peut prendre le groupe, notamment sur Quincy et son groove particulier avec la présence de claviers apaisants. Pour ceux qui en voudraient plus, vous pouvez tenter de dénicher la version japonaise du disque qui contient trois extraits de plus. Si DJ Cam n'arrive toujours pas à se détacher de ses références américaines, il varie les manières de leurs rendre hommage. Cet album en est un exemples plutôt réussi. C'est toutefois en creusant sa propre voix, pourquoi pas avec ce "quartet", qu'il arrivera à atteindre un palier supérieur auquel il s'est heurté jusqu'ici.
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  • Twenty-something jazz saxophonist J. Spencer creates an engaging mix of solid,contemporary, straight-ahead jazz with a hip hop sensibility delivered with a youthful spark.On his second MoJazz album, Blue Moon,Spencer continues to develop his sassy mix of jazz and hip hop idioms.On the mellow title cut (not to be confused with the standard of the same title), Spencer recites in a staid tone,statements that may or may not have a deeper meaning:"my mother,my father...once in a blue moon/unconditional love...once in a blue moon". "I Want U," is silky and romantic with a seductive vocals by Will Davis and James Pugh. The smooth "Bells," opens with a rap by Father Dom that includes a marriage purposal and fresh backwards vocals. The first single was the radio-friendly cut "U Should Be Mine," with lead vocals by Stokley of the group Mint Condition.The music video of the song occassionally airs on BET's Midnight Love.Often in a bid for much-needed airplay,contemporary jazz artists cover pop tunes. Most of the covers amount to the aural equivalent of bland wallpaper; devoid of any real personality and invention.Such is not the case with Spencer's cover of Sade's "Cherish The Day," with its soft,funky groove and snappy licks by John "Jubu" Smith.Spencer blows solid lines on his cover of The Stylistics' "Hurry Up This Way Again," and softly,elegant "Reggae Vibe,." "Close To You," (an original tune not the Dionne Warwick/Burt Bacharach/Hal David standard) is great for enjoying with that special someone.As he did with his first MoJazz album,Chimera,Spencer closes his album with an inspirational track. "Lord I Need You,," has vocals by gospel great Walter Hawkins.J. Spencer proves again that contemporary jazz need not be uninvolving. ~ Ed Hogan, All Music Guide
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    Mouse on the Keys is a Japanese nu-jazz band who practice heavy use of the piano. This is some brilliant stuff. I really don't think it's possible not to like. Very smooth and jazzy. Get it.
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    Une nouvelle petite trouvaille a fait son apparition sur le site de Okayplayer, la plateforme multimédia de ?uestlove, en partenariat avec IllRoots, cette mixtape gratuite que voici réalisée par Apple Juice Kid dédiée à un ténor de la musique jazz, Miles Davis. A la manière de Madlib avec l’anthologique Shades of Blue mais avec un groupe de jazzmen confirmés à la place de la MPC, le Kid revisite à sa façon quelques des grands classiques de Miles Davis entre jazz et hip-hop, les scratches de DJ Merlin faisait foi. Poussé par son professeur de batterie, Apple Juice Kid s’est entouré de plusieurs musiciens confirmés (listés dans un fichier .txt avec les différents titres au format mp3) pour confectionner ce Miles Remixed. Neuf morceaux phares de notre jazzman mythique ont été en quelque sorte décomposés pour être recomposés autrement, modernisés sans perdre une seule miette de l’âme originelle. C’est très bien foutu. Clou de girofle sur le pain d’épice, le sublime et très sensuel “Come To Me“, chanté par le couple Yahzarah et Raheem DeVaughn.
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