• http://www.smooth-jazz.de/images/gallery2/Khumalo.jpg

    Notes : +

    Origine du Groupe : South Africa

    Style : Jazz World , Smooth Jazz

    Sortie : 2002

    Tracklist :

    01 - Ngwana Wa Mme
    02 - Hymn for Taiwa
    03 - He Said
    04 - Township Tempo
    05 - Celebrate Mzansi
    06 - African Mood
    07 - Song for Leonard
    08 - Vat My Huis Toe
    09 - Kgotso Africa
    10 - Mntungwa

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    From wikipedia :

    Moses Khumalo (born Soweto January 30, 1979 — died September 4, 2006) was a South African jazz saxophonist. He studied at Manu Technical College from 1994-1998 after graduating from community college. He started with the piano but switched to the saxophone in February, 1995.

    He first performed publicly at the Grahamstown National Arts Festival in 1995, and gained attention in the jazz world as a member of Moses Taiwa Molelekwa's band. In the following years he played with Hugh Masekela, Sibongile Khumalo, and Paul Hanmer. Khumalo had been dubbed "one of South Africa's most promising young saxophonists."[1]

    Moses Khumalo died of an apparent suicide by hanging on September 4, 2006.


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  • http://img.ozap.com/01185858-photo-pochette-always.jpg

    Note :

    http://www.azizamustafazadeh.de

    http://www.myspace.com/azizamustafazadeh

    Origine du Groupe : Azerbaïdjan

    Style : Jazz Fusion , Jazz World

    Sortie : 1993

    Tracklist :

    1. Always
    2. Heartbeat
    3. Crying Earth
    4. Ajd
    5. Yandi Ganim Daha
    6. I Dont Know
    7. Vagif
    8. Marriage Suite
    9. Kaukas Mountains
    10. Dangerous Piece

    00000000000000DOWNLOAD

    Always is the second album released by Azeri jazz artist Aziza Mustafa Zadeh. It was released in 1993. For it, she won the Echo Prize from Sony and the Phono Academy Award. Overall, 1.000.000 copies of this album was sold worldwide.

    from Wikipedia


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  • http://www.didiermalherbe.com/airhcd2.jpg

    Note :

     

    http://www.hadouktrio.com

    http://www.myspace.com/hadouktrio

     

    Sortie : 2010

    Style : Jazz World , Experimental

     

    Tracklist :

    1 - Lomsha

    2 - Aerozen

    3 - Babbalanja

    4 - Yillah

    5 - Dididi

    6 - Friday the 13th

    7 - Hang Around Me

    8 - Hang2hang

    9 - Nambaraï gate

    10 - Nambarai

    11 - Ayel

    12 - Tricotin

    13 - Soft landing

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    Après ces grandes réussites que sont « Utopies » et « Baldamore » (50 000 albums vendus) et des prix prestigieux (dont les Victoires de la Musique Jazz 2008), Hadouk Trio nous revient enfin avec un nouvel album studio très aérien et qui nous transporte encore plus loin. Tout en gardant ces racines africaines qui font le charme incroyable de leur musique métissée, le groupe s’aventure aussi ici sur de nouvelles pistes peu fréquentées tout en développant encore la palette multiple des claviers, percussions ou des instruments dits ethniques avec toujours cette élégance et ce sens de l’humour, unique. Hadouk est un monde par lui-même, fait de racines aériennes et de terres rêvées, un continent imprévu qui pointe entre l’Afrique et l’Orient, un rivage improbable qui s’avance entre jazz et world, une véritable rose des vents qui se dessine sur le portulan des musiques du monde. Bref, Hadouk c’est une cosmologie en soi, avec ses constellations et ses horizons libres, ses lignes de grande transhumance et ses astres de première magnitude. Après avoir célébré la chimère totémique (« Shamanimal ») et s’être hissé au sommet du perpétuel présent (« Now »), le trio se voit couronné d’une Victoire de la Musique pour son cinquième album, « Utopies », aux tournoiements météoriques. Sur les traces mêlées d’Hermann Melville et de Saint-Exupéry, Hadouk joue désormais la fille de l’air. En terrain connu, certes, mais toujours en mouvement vers quelque terra incognita, nos trois baroudeurs de sons ouvrent ici d’autres pistes auxquelles font maintenant échos de nouvelles lignes aériennes… Bienvenue à bord d’Air Hadouk ! Transport garanti sans kérosène, décollage « aérozen », pour un périple aux destinations en devenir. Plus élégant que le low coast, plus chic encore que le saut orbital du tourisme spatial, « Air Hadouk » offre un survol planétaire aux saveurs hédonistes, naturellement poussé par la brise et l’aquilon. En ligne de mire : cet horizon où confins et intime se rejoignent, et depuis lequel les rivages continentaux se redessinent à l’aune de nouvelles métamorphoses instrumentales. Ainsi le khen, orgue à bouche du Laos, se solarise de contours électriques ; le hang, au croisement chatoyant du steel drum et du gamelan, se dédouble et s’ouvre au chromatisme ; le doudouk se jazzifie du côté de chez Monk ; le hajouj, basse du désert à peau de dromadaire, devient piccolo pour prendre de la hauteur, alors que fait son apparition la flûte bahu, anche libre chinoise jouant de ses ondulations ourlées… Autant de territoires sonores qui s’inventent dans la distance prise avec le terroir d’origine. Visant l’azur, Hadouk épure ses lignes, s’allège et s’élève, plus aérien que l’atmosphère. Swing et loopings, mélodies en escadrilles, haute voltige rythmique et harmonies planantes, nos trois copilotes optent résolument pour le jeu des figures libres. Mais ils sauront aussi vous conduire, sans turbulences, vers un atterrissage en douceur. Bon vent !

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  • http://musikplease.com/wp-content/uploads/2009/12/skeletons-smile.pngNote :

    http://nostalgia77.com
    http://www.myspace.com/nostalgia77

    Sortie : 2010
    Style : Jazz , World , Funk , Soul , Instrumental

    Tracklist :
    02. Marathon Man
    03. Mr Mystery
    04. 50 Degrees
    05. Gravel
    06. Firesticks
    07. Over The Bridge
    08. Skeletons
    09. Guadelupe
    10. Mulatu
    11. Blood
    12. Adam And Eve featuring the voice of Alice Russell
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    http://www.parisdjs.com/images/tru-thoughts/Skeletons-Smile_B_b.jpg


    Benedic Lamdin est un type qui n’aime pas s’ennuyer. Pourtant bien occupé avec sa double casquette de musicien-producteur (Nostalgia 77) et patron de son propre label (Impossible Ark Records), le désoeuvrement prend chez lui des formes particulières aux conséquences inattendues.

    Avec Skeletons, on se dit que Lamdin a trouvé de quoi combler ses rares périodes d’inactivité en peuplant son salon. Plus qu’un groupe, Skeletons est avant tout un projet dans lequel les protagonistes ne se sont pas rencontrés au sens physique du terme. Chacun des musiciens a été enregistré séparément, en l’absence des autres, un casque sur les oreilles et le travail des précédents en toile de fond. Leur seul point commun fut d’habiter temporairement le salon de leur hôte, transformé en studio d’enregistrement improvisé. Après le home studio, le home band ; plus fort que le jeu Guitar hero. Et on imagine assez bien le deal : OK Alice, tu peux dormir chez moi, mais tu me fais un petit quelque chose sur "Adam and Eve"…. Benedic a ensuite assemblé les bandes enregistrées pendant trois ans et donné naissance au plus étonnant groupe de jazz qui soit. Cuivré et groovy, Skeletons – le groupe – fusionne les chorus de sax à la Stan Getz, les ambiances éthiopiennes décidément très en vogue et l’afro funk, à la fois proche du Quantic Soul Orchestra et du Heliocentrics.
    par Stéphane Andrieu
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  • http://i25.tinypic.com/10r8nqf.jpgNote :

    Sortie : 2006
    Style : Jazz World , Piano

    Tracklist :
    01 The Homeless Wanderer
    02 The Last Tears of a Deceased
    03 A Young Girl’s Complaint
    04 The Mad Man’s Laughter
    05 Presentiment
    06 Mother’s Love
    07 Ballad of the Spirits
    08 The Song of the Sea
    09 Homesickness
    10 Golgotha
    11 The Jordan River Song
    12 The Garden of Gethesemanie
    13 The Song of Abayi
    14 The Story of the Wind
    15 Evening Breeze
    16 Tenkou! Why Feel Sorry?
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    Découvrez la playlist Ethiopiques, Vol. 21

    Une pianiste éthiopienne qui a enregistré des disques dans les années 60, ça vous dit quelque chose ? Si oui, bravo ! Moi, je ne connaissais pas, mais je me réjouis de combler cette ignorance. En 1963, Tsegue Maryam Guebrou avait 40 ans. Elle était issue de la haute société d’Addis-Abeba... La suite de l’histoire est à reconstituer via internet, si vous le souhaitez. Mais vous pouvez aussi laisser votre imagination inventer les choses. Ecoutez le morceau ci-joint, une composition personnelle, “The homeless wonderer”, une petite merveille qui ne ressemble à rien d’autre pour moi. Et dieu sait que je suis fan de piano solo ! Elle a le genre de phrasé qui vous enveloppe les jours où il fait trop gris et trop froid pour faire autre chose que de se draper dans une couverture avec un thé à portée de main. Bien aussi quand le soleil tape si dur que l’on se sent anesthésié. Bref. À écouter sous toutes les latitudes.
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    The 21st volume in the grand Ethiopiques series (that reflects how deeply the country's popular music traditions are steeped in American and European colonial sources) is dedicated to the solo piano works of the outstanding composer and performer Emahoy Tsegué-Maryam Guèbrou, a daughter of Ethiopian high society who chucked it all to become a nun in the nation's Orthodox Church. Tsegué-Maryam Guèbrou was educated in Europe. She played violin (under the tutelage of Polish émigré Alexander Kontorowicz). She took up her piano studies while in the convent and teaching at an orphanage. Her first recordings -- two LPs -- were issued in 1963, when she was 40. The first nine cuts here come from these two albums. Guèbrou showcased her classical training on much of the first offering. But the opening cut also displays her incredible ability to play an extremely melodic blues piano as read through the great jazz masters of the instrument. One can hear a bit of Albert Ammons, a bit of Count Basie and Oscar Peterson, and even a trace of Art Tatum in "The Homeless Wanderer." She sticks to her wonderfully haunting classical compositions until "Presentiment" (track five), where she returns to the deep blues, which are nonetheless played light and airy in the middle and upper registers of the piano. Jazz injects itself deeply into her playing on the second recording, beginning with "Mother's Love." There is a spaciousness in her playing that is remarkable, and it is very much like song. "Ballad of the Spirits" may be an obvious example, but it is far from the only one. Her sense of phrasing is rhythmically complex; she shape-shifts, straying from standard time signatures into something more mercurial without losing form. On this tune one can hear Beethoven and Teddy Wilson. "The Song of the Sea" is the longest composition here. Clocking in at just under nine and a half minutes, it is complex yet utterly engaging. Here, scalar forms and ostinati assert themselves in the theme, which returns over and over again throughout. But the improvisation on the original changes is remarkable; it feels as if the piece is in three movements, and a different kind of improvisation is featured in each. The harmonic invention and the melodic interplay between her hands are seductive. There are three other tracks here from an album Guèbrou recorded in 1970 while in Jerusalem on pilgrimage. These, "Golgatha," "The Jordan River Song," and "The Garden of Gethesemanie," are among the strongest works here. Even as they engage classical themes, especially on "Golgatha," the early jazz of Fats Waller and Jelly Roll Morton is whispered into the body of these compositions. The final four cuts here come from an album issued in 1996 while she was living in the convent. These four pieces are evidence of the complete realization of her craft. Guèbrou's meld of blues, classical, and gospel music filtered through a jazz pianist's sense of time and voicings is unlike anything anyone has ever heard. It's ethereal yet rooted in the Ethiopian Orthodox sung tradition; it's gauzy and fluid, yet worldly in its command of the musical languages she has chosen to display. It's precise and ordered, yet unfettered and free to drift. It feels like songs of praise, prayer, charming conversation, and partying all rolled into a single exquisite voice that contains many. Fans of Abdullah Ibrahim's township-informed solo work will find this set intoxicating and irresistible, yet she sounds nothing like him, or anyone else. The Ethiopiques series has unearthed other soloists, but this volume stands out for its lyricism, its mysterious emotional depth, and its utter musical mastery.
    Thom Jurek, All Music Guide
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