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Par DJDemonAngel le 8 Juin 2010 à 12:00
Note :
http://www.vervemusicgroup.com/wayneshorter
http://www.myspace.com/unofficialwayneshortertribute
Gamin, Wayne Shorter et son frère dévoraient les bd et les films de série B avec extra-terrestres, monstres, loup-garou, vampires et créatures de Frankenstein. Speak No Evil clôt l'année 1964, où Wayne a participé à l'enregistrement de 20 disques dont 3 avec les Jazz Messenger, 9 avec Miles Davis, 3 avec Gil Evans, 1 avec Lee Morgan, 1 avec Grachan Moncur III et Night Dreamer puis Juju en tant que leader. L'album s'inscrit dans la lignée bop, un bop avec un soupçon d'étrangeté - mais on en est pas encore au Weather Report - et Wayne Shorter précise : I was thinking of Misty landscapes with wild flowers and strange, dimly-seen shapes-the kind of places where folklore and legend are born. And then I was thinking a thing like witchburnings, too*. La session d'enregistrement du 24 décembre 1964 menée par Rudy Van Gelder parle de magie, de sorcière, de diable, de danse de cadavres et de fleurs sauvages ; 6 compositions de Wayne Shorter avec Freddie Hubbard à la trompette, Herbie Hancock au piano, Ron Carter à la basse et Elvin Jones à la batterie. Dance Cadaverous est une composition un peu décalée, piano sophistiqué qui se promène du côté du classique. Quelque chose d'étrange - comme dans les compositions de Monk - et de planant se glisse dans la mélodie vers le milieu du morceau, la rythmique est plutôt cool. Shorter dit à propos du morceau : I was thinking of some of these doctor pictures in wich you see a classroom and they're getting ready to work on a cadaver*. On se penchera aussi avec bonheur sur le jeu d'Herbie Hancock pour Infant Eyes, la balade, où le saxophone tenor de Wayne balance du velours. A l'instar de Witch Hunt qui ouvre l'album, le disque sonne de manière nonchalante, mais faut pas s'y tromper, c'est du lourd que nous avons là. Des mélodies un peu bizaroïdes qui une fois rentrées dans la caboche risque fort de continuer à trotter.
*Notes extraites du livret de Don Heckman.Origine du Groupe : North America
Style : Jazz
Sortie : 1964
Tracklist :
1. "Witch Hunt" 8:07
2. "Fee-Fi-Fo-Fum" 5:50
3. "Dance Cadaverous" 6:45
4. "Speak No Evil" 8:23
5. "Infant Eyes" 6:51
6. "Wild Flower" 6.00
7. "Dance Cadaverous" (alternate take) 6:35
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Par DJDemonAngel le 4 Juin 2010 à 11:00
Note :
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Brown
http://www.godfatherofsoul.com
Une compilation de morceau jazz de James Brown, jamais sortis auparavant .
Origine du Groupe : North America
Style : Soul , Jazz
Sortie : 2007
Tracklist :
1. That's My Desire [Alternate Mix]
2. After You're Through [Alternate Extended Version]
3. Tengo Tango
4. Home at Last [Alternate Mix]
5. All About My Girl
6. There
7. All the Way
8. Why (Am I Treated So Bad)
9. What Do You Like [Stereo Single Edit]
10. Cottage for Sale [Alternate Mix]
11. Go on Now [Alternate Mix]
12. For Once in My Life [Alternate Mix]
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Par DJDemonAngel le 3 Juin 2010 à 13:00
Note :
http://en.wikipedia.org/wiki/Terumasa_Hino
Terumasa Hino
Long considered a jazz legend and Japan’s foremost trumpeter, Terumasa Hino has played with almost all the jazz heavyweights throughout the past half century, from Gil Evans and Elvin Jones to Herbie Hancock and Chick Corea. Born in Tokyo in 1942, Hino made his professional debut at the tender age of thirteen, drawing his main inspiration from Freddie Hubbard and Miles Davis.
For the first few years of his career, Hino was something of an opportunist, even jumping open Japan’s early ‘60s eleki bandwagon with the cash-in LP TRUMPET IN BLUEJEANS. However, his fiery temperament and ‘large brilliant tone’, as The Grove Dictionary of Jazz termed it saw Hino’s late ‘60s work increase both in output and quality, and his 1969 Columbia LP HI-NOLOGY as The Terumasa Hino Quintet was extremely successful commercially.
****
Fast, extremely energetic fusion jazz album (with the emphasis on jazz). Hino leaves no doubt that he is indebted to Miles Davis; one of the tracks is titled "Like Miles" (and sounds very much like Miles). And yet, Hino is no Miles clone. In fact, on this 1969 recording Hino ventures into realms that Miles hadn't really visited yet. After Filles de Kilimanjaro, Miles' records were assembled in the studio from snippets, and his live recordings were mostly extended jams of large ensembles. Hi-Nology is much more straightforward and concrete. Whereas Miles became interested in texture, Hino, despite the fusion idiom, also keeps a footing in hard bop. Therefore, songs are never abandoned for patterns, and when the solos deconstruct a theme, they will always eventually piece it together again. If Freddie Hubbard hadn't gone all gooky in the late 1960s, you could image him playing like this.
A very interesting album, much recommended.
And the cover is way beyond cool.
PS. This is the ORIGINAL 1985 CD release. The bonus tracks on the 2005 reissue are best ignored. They lack the electricity, wild energy and funky rhythm of the other tracks and instead present somewhat clichéd melody lines. They also completely subvert the mood of the album.
By postman99
permalinkOrigine du Groupe : Japan
Style : Jazz World , Jazz Fusion
Sortie : 1969
Tracklist :
1. Like Miles 9'54"
2. Electric Zoo 12'30"
3. Hi-Nology 14'29"
4. Dupe 7'02"
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Par DJDemonAngel le 26 Mai 2010 à 12:30
Note : ++
http://www.myspace.com/stefanobollani
Origine du Groupe : Italia
Style : Piano , Jazz
Sortie : 2009
Tracklist :
1 - Dom de iludir
2 - Orvieto
3 - Edith
4 - Brigas nunca mais
5 - Il cervello del pavone
6 - Un sasso nello stagno
7 - Improvisation 13 en la mineur
8 - Asuda
9 - Joker in the villageOn a parfois tracé une analogie entre le jeu du pianiste Stefano Bollani et celui du comédien Roberto Benigni : même pro-pension au comique du funambule qui en fait des tonnes sur son fil. Tout change avec le trio que Bollani forme avec deux musiciens danois, Jesper Bodilsen et Morten Lund. C'est un trio qui a sept ans de complicité derrière lui, les ego restés au vestiaire et la musique seule en tête. On est dans la tradition du trio de Bill Evans, la contrebasse qui dialogue sans cesse avec le piano, la batterie qui commente à mi-voix. Subtilité harmonique, demi-teintes, minimalisme mélodique, quête constante de la beauté, sobriété émue. Le toucher de Bollani, on le sait, est magique : on le dirait aérien s'il n'était en même temps tellurique. Le choix des thèmes aussi répond à ce seul souci de la beauté qui réconforte, berce, gratifie. La beauté lumineuse de la nuit.
Ce disque est une grande réussite de l'esthétique moderne pour le trio. Il s'ouvre par un morceau de Caetano Veloso qui annonce les couleurs sépia, bleu tendre, doucement orangées ou noir et blanc contrastés de compositions tantôt rêveuses, tantôt joueuses. Sur un thème d'Antonio Carlos Jobim et de Vinicius de Moraes, Brigas nuncas mais et sur l'Improvisation 13 en la mineur de Francis Poulenc, le trio révèle une culture qui dépasse le jazz. ECM, pour son quarantième anniversaire, a trouvé en Stefano Bollani le pianiste qui se montre le mieux à la hauteur de ses prédécesseurs, Keith Jarrett et Bobo Stenson.
Par Michel Contat
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Par DJDemonAngel le 21 Mai 2010 à 11:00
Note :
Origine du Groupe : North America
Style : Jazz
Sortie : 1970
Tracklist :
01. Archway Theme
02. The Golden Striker
03. It Never Entered My Mind
04. Oliphant Gesang
05. Indonesia
06. Sounds At The Archway
07. Step Da Co Eel Waltz
08. Ed’s Blues
From Wikipedia :
Eddie Harris (October 20, 1934 – November 5, 1996) was an American jazz musician, best known for playing tenor saxophone and for introducing the electrically amplified saxophone. He was also fluent on the electric piano and organ. His best-known compositions are "Freedom Jazz Dance", recorded and popularized by Miles Davis in the 1960s [1] and "Listen Here". He also invented the saxobone.
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