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Par DJDemonAngel le 15 Novembre 2010 à 11:00
http://www.myspace.com/oneyedjack
Origine du Groupe : France
Style : Rapcore , Fusion Hard Rock Electronique
Sortie : 1998From Wikipedia :
Après avoir enregistré un premier EP autoproduit, Brain Terrorism, Oneyed Jack rejoint la structure de management Sriracha Sauce en 1994. Après quelques changements internes au sein du groupe, Oneyed Jack trouve sa marque de fabrique qui leur permet de se produire lors des premières parties de Lofofora, de Sepultura ou aux Transmusicales de Rennes. En 1995, Oneyed Jack signe chez Yelen musiques (Sony Music) après avoir gagné le concours du Printemps de Bourges et avoir été sélectionné sur la compilation du Fair.
La parution de Cynique en 1996 les fait connaître au grand public. Considéré comme un Ovni dans la scène hardcore française, Oneyed Jack bouscule les conventions en mélangeant les styles. Les paroles expriment une virulence sans concession envers la société. La chanson intitulée Le pouvoir sera attaquée en justice par l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne pour « injures à un groupe de personnes à raison de son appartenance à une nation » .
Arise (1998) et Prepare to reactivate (2001) sont les deux derniers albums d’Oneyed Jack qui explorent tout deux des pistes musicales différentes. En 1999, le groupe enregistre un remix du titre Good god qui figurera sur un maxi de Korn .
Tracklist :
1. Real
2. I Can't Work For $hit
3. Le Choléra
4. As Ever Being Shameless
5. I Swear
6. Mk 2 mix
7. Chemical Clouds
8. Ma Seule Joie
9. Escape
10. Funk Hhope
11. Aliéné
12. You Shouldn't
13. Do You Fell Me
14. Will I Arise</div>'); document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"></scr'+'ipt>'); // ]]> </script>
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Par DJDemonAngel le 28 Juillet 2010 à 16:00
Note :
http://www.myspace.com/wolfmother
Origine du Groupe : Australia
Style : Heavy Metal , Alternative Rock
Sortie : 2006From Wikipedia :
Wolfmother is the debut studio album by Australian hard rock band Wolfmother, originally released on 31 October 2005 in Australia. The album was later released internationally at various dates in 2006, with the addition of "Love Train" and a rearranged track listing. Wolfmother peaked at number three on the Australian ARIA Albums Chart[1] and was certified five times platinum by the Australian Recording Industry Association.[2] Six singles were released from Wolfmother's debut album: "Mind's Eye"/"Woman", "White Unicorn", "Dimension", "Woman", "Love Train" and "Joker & the Thief", the latter of which charted the highest at number eight on the ARIA Singles Chart.[1] The album cover, which is taken from The Sea Witch by Frank Frazetta, shows a nymph standing against a blue/orange sky, on a rock, though because it displays nudity the album is sold in Wal-Mart stores with an alternate cover featuring simply the band's white logo against a black background. It is the only album to feature co-founding members Chris Ross and Myles Heskett, who left the band in August 2008.
Tracklist :
1. "Dimension" – 4:21
2. "White Unicorn" – 5:04
3. "Woman" – 2:56
4. "Where Eagles Have Been" – 5:33
5. "Apple Tree" – 3:30
6. "Joker & the Thief" – 4:40
7. "Colossal" – 5:04
8. "Mind's Eye" – 4:54
9. "Pyramid" – 4:28
10. "Witchcraft" – 3:25
11. "Tales" – 3:39
12. "Love Train" – 3:03
13. "Vagabond" – 3:50
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Par DJDemonAngel le 14 Juillet 2010 à 13:05
Note :
http://www.myspace.com/oneyedjack
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oneyed_Jack
From Wikipedia :
Après avoir enregistré un premier EP autoproduit, Brain Terrorism, Oneyed Jack rejoint la structure de management Sriracha Sauce en 1994. Après quelques changements internes au sein du groupe, Oneyed Jack trouve sa marque de fabrique qui leur permet de se produire lors des premières parties de Lofofora, de Sepultura ou aux Transmusicales de Rennes. En 1995, Oneyed Jack signe chez Yelen musiques (Sony Music) après avoir gagné le concours du Printemps de Bourges et avoir été sélectionné sur la compilation du Fair.
La parution de Cynique en 1996 les fait connaître au grand public. Considéré comme un Ovni dans la scène hardcore française, Oneyed Jack bouscule les conventions en mélangeant les styles. Les paroles expriment une virulence sans concession envers la société. La chanson intitulée Le pouvoir sera attaquée en justice par l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne pour « injures à un groupe de personnes à raison de son appartenance à une nation » .
Arise (1998) et Prepare to reactivate (2001) sont les deux derniers albums d’Oneyed Jack qui explorent tout deux des pistes musicales différentes. En 1999, le groupe enregistre un remix du titre Good god qui figurera sur un maxi de Korn .
Origine du Groupe : France
Style : Hard Rock , Rapcore Fusion
Sortie : 1996
Tracklist :
1. Le Pouvoir
2. Bad Brain
3. Otages
4. Himalaya
5. Push Your Face Down
6. Da Borgir
7. Cynik
8. Zero
9. La Peine
10. Tribes
11. 128
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Par DJDemonAngel le 2 Avril 2010 à 12:30
Note :
http://www.myspace.com/lofofora
Sortie : 1995
Style : Hard Rock , Fusion , Trash , Metal
Tracklist :
01. Holiday In France
02. No Facho (dub spirit)
03. Elvis (martyr et tortionnaire)
04. Les Meutes
05. L'Oeuf
06. Subliminable
07. Justice Pour Tous
08. Le Desordre
09. Nouveau Monde
10. Baise Ta Vie
11. Really TV
12. Irie Style
NO COMMENT !!!!
Circuler , circuler !!!!!!!!
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Par DJDemonAngel le 15 Mars 2010 à 10:30Note :
http://www.lofofora.com
http://www.myspace.com/lofofora
Sortie : 1996
Style : Hard Rock , Fusion , Alternative
Tracklist :
01. jazz trash assassin
02. la chute
03. amnes' history
04. envie de tuer
05. mental urbain
06. bon a rien
07. macho blues
08. intox populi
09. arrache
10. le pendu
11. vice et rale
12. vive le feu
13. shiva skunk special ekova
Toutes les paroles
"Nous ne serons jamais des stars, plutôt sucer un chien. Nous n'avons aucun respect pour le rapport qui relie l'idole au fan, le maître à l'esclave, le dictateur au peuple, ma main sur ta gueule."
[ancienne présentation de Lofofora sur le site de Sriracha]
Voilà qui est clair, précis, intelligent et sans concessions : un peu à l'image du groupe, en somme. Car Lofofora est un de ces (trop) rares groupes à ignorer les termes "consensus", "opportunisme" et "compromis"... Et "Peuh !", second album sorti en 1996, vient magistralement confirmer cette ligne de conduite.
On ouvre le ballet sur un "Jazz Trash Assassin" ravageur, fait de gros riffs, grosse voix et section rythmique irréprochable ; l'agressivité sonore devient très vite verbale, à l'image des premiers mots que Reuno nous envoie littéralement à la face : "Nous voilà assis sur un baril de poudre / Comme des statues de cires, prêtes à se dissoudre / Incapable de scier les barreaux de ta cage / Dis-moi pour qui te prends-tu pauvre singe ?"
Le ton est donné. Et bien que la pression ne se relâche pas avec les morceaux suivants, on adhère de plus en plus au fur et à mesure. "Tu ne bouges pas, le monde tourne autour de toi / Tu ne rêves pas, le monde crève autour de toi / Tu ne sens pas, le monde s'enfonce sous tes pas". Les formules qui frappent se succèdent, provoquant chez l'auditeur une rage croissante... et les thèmes abordés ne laissent aucun doute sur les opinions du groupe.
Deleuze, un philosophe comme on en fait peu, disait de Nietzsche et Spinoza : "Ce sont des philosophes dont la puissance critique et destructrice est inégalable, mais cette puissance jaillit toujours d'une affirmation, d'une joie, (...) d'une exigence de la vie contre ceux qui la mutilent et la mortifient." Une phrase qui, après avoir remplacé "philosophes" par "artistes", s'applique parfaitement à Lofofora. Leur haine n'est en effet jamais gratuite, et s'applique à dénoncer la mesquinerie humaine sous toutes ses formes : racisme, course au profit, "egotrip", culte des médias... A noter également, quelques morceaux à haut potentiel provocateur, tel "Macho Blues", où Reuno se met dans la peau d'un père incestueux... Mais le refrain ne laisse aucun doute : "Regarde dans les yeux celui qui te souille / Fais un voeu, et coupe-lui les couilles !"
Le feu d'artifice s'achève sur une reprise des Béruriers Noirs, "Vive Le Feu", surboostée par une double grosse caisse sans pitié et une guitare speedée au possible.
Douze morceaux sans répit, donc. Mais le spectacle n'est pas fini... ou plutôt, ne fait que commencer, car le treizième titre (chiffre révélateur ?) consiste en une extraordinaire collaboration avec le groupe Ekova : seize minutes d'une montée aux accents orientaux, oûd, percus et voix, celle de Dierdre, chanteuse d'Ekova en l'occurence ; en fond, la basse tient une ligne hypnotique, répétitive. Ce n'est qu'à la douzième minute que tout explose, et...
Mais je m'arrête là. A vous maintenant d'apprécier la juste valeur d'un groupe... pour le moins précieux.
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