• http://www.lefigaro.fr/medias/2008/04/18/67fbba2c-0d24-11dd-b6a3-a0f6f456bb3a.jpg

    http://www.yaelweb.com

    http://www.myspace.com/yaelnaim

    Origine du Groupe : France
    Style : Folk , Pop
    Sortie : 2008
    Durée : 45min

    Par http://www.cityvox-tv.fr

    La chanteuse franco-israélienne, révélée par la comédie musicale «Les Dix Commandements», s'est produite devant le public du printemps de Bourges en 2008. La même année, elle remportait le «prix du meilleur album» dans la catégorie «Musique du monde» aux Victoires de la Musique.

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  • http://3.bp.blogspot.com/_GD7yZJ9jDiM/STllPw_YvkI/AAAAAAAAFrE/cFDXVcvEoNM/s400/Folder.jpg

    http://www.russianred.es

    http://www.myspace.com/russianready

    Origine du Groupe : Spain
    Style : Folk , Acoustic
    Sortie : 2008

    Par Thierry pour http://jazzbluesandco.over-blog.com

    Vous avez toujours rêvé de musique folk espagnole ...?

    Russian Red , avec son album I love your glasses l'a fait pour vous !

    La première écoute de ce disque m'a donné l'impression de passer 45 minutes dans un rêve éveillé. En fait, 45 minutes multipliées par deux puisque j'ai relancé le disque immédiatement, même pas gêné par la reprise du Girls just want to have fun (de Cyndi Lauper) à la guitare acoustique qui conclut l'album.

    Bien au contraire, dois-je avouer en rougissant.

    En un mois et demi, j'ai dû écouter  ce disque une cinquantaine de fois (Madame aime beaucoup également), délaissant par là-même des disques probablement plus intéressants et exigeants.

    I love your glasses se fera très probablement descendre en flèche par la presse musicale intellectuelle et bien pensante si cette dernière daigne un jour s'attarder sur son cas. Peu importe, il restera pour  moi l'un de ces  "disques secrets" que je n'aurai même pas honte d'aimer.

    Trève de bavardages ... et passons aux choses sérieuses.

    I love your glasses est donc le premier disque de Lourdes Hernandez accompagnée de son groupe Russian Red  et nous offre une collection de 12 joyaux, tous plus brillants les uns que les autres.

    Espagnole fière de ses origines, elle a néanmoins judicieusement choisi de chanter en anglais. Merci ;-)

    Je n'ai rien contre l'espagnol, bien au contraire, mais il me faut avouer que la musique folk interprétée dans la langue de Miguel Indurain (on a les références que l'on mérite) n'est pas ma tasse de thé.

    La voix de Lourdes, si elle évoque par moments, toutes proportions gardées, les bizarreries vocales que l'on peut retrouver chez ses petites camarades de jeu Marissa Nadler et Joanna Newsome, fait presque immédiatement écho à celle de Katie Melua.

    Mais, au contraire des albums quasi sans saveur de Katie Melua qui ne sont rien d'autres que des successions de singles destinés à la diffusion commerciale, I love your glasses propose une unité et une cohérence bien plus importantes.

    Rien d'essentiellement révolutionnaire certes, mais pourquoi bouder un plaisir quand il est simple et innocent comme celui proposé par ce disque ?

    Quelques grammes de bonheur dans un monde de brutes.

     



    Tracklist :
    01 - Cigarettes
    02 - No Past Land
    03 - They Don't Believe
    04 - Gone, Play On
    05 - Hold it inside
    06 - Nice thick feathers
    07 - Take Me Home
    08 - Kiss My Elbow
    09 - Walls Are Tired
    10 - Timing Is Crucial
    11 - Just like a wall
    12 - Girls just wanna have fun

    mp3


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  • http://inyourspeakers.com/files/imagecache/single_review/large/AlelaDiane_WildDivine.jpg

    http://aleladiane.com

    http://www.myspace.com/alelamusic

    Origine du Groupe : North America
    Style : Folk
    Sortie : 2011

    Par Impossible Soul pour http://impossiblesouls.blogspot.com

    Vous connaissez Alela ? Tant mieux, car Alela Diane & Wild Divine, son troisième effort, ne nous apprend rien sur la belle Californienne. "It's hard to help yourself when you don't know where to begin", explique-t-elle sur l'ouverture de l'album. En tout cas, Alela sait où elle va : exactement là où elle en était restée sur son précédent opus. Du surplace ?

    Presque. Pas loin.

    La voix perchée, saillante et vernie, est reconnaissable entre mille. L'interprète porte son
    organe de façon élégiaque et humble, très roots, donnant aux morceaux toute leur consistance. Peu d'entre elles peuvent se targuer de l'utiliser de manière si sobre et voluptueuse. Mais cela pêche quelque peu du côté des arrangements. L'omnipotente guitare sèche ne parvient pas à élever le talent de Diane, et a tendance à ternir les morceaux. Notons toutefois la présence d'une guitare électrique et d'un accordéon timide mais étincelant du plus bel effet sur Long Way Down. Alela soigne son introduction et sa conclusion, comme sur The Pirate's Gospel, mais rien n'y fait : on s'ennuie ferme. Alela Diane & Wild Divine peut se résumer ainsi : cohérent, plaisant, mais chiant à la longue. Ecouter Alela, c'est comme rendre visite à sa grand mère maternelle pas vue depuis longtemps : un plaisir éternel dont on espère qu'il cesse, rapidement. Allez là, on y va.


    Tracklist :
    01. To Begin
    02. Elijah
    03. Long Way Down
    04. Suzanne
    05. The Wind
    06. Of Many Colors
    07. Desire
    08. Heartless Highway
    09. White Horse
    10. Rising Greatness

    mp3


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  • http://a35.idata.over-blog.com/0/01/36/00/009/stanley-brinks-hoots-300x300.jpg

    http://www.myspace.com/therealstanleybrinks

    http://www.byrecords.com

    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative Folk , Blues , Indie
    Sortie : 2010

    par Paco  pour http://delaluneonentendtout.blogspot.com

    Stanley Brinks, aussi connu sous le nom d’André Herman Düne, fabrique des albums à la manière d’un artisan et au rythme d’une chaine industrielle. Déjà à l'époque du groupe Herman Düne qu'il constituait avec son frère David-Ivar, le bonhomme se camouflait derrière différents sobriquets tels Ben Dope, Ben Haschish, Klaus Bong, John Trawling, John Andreas, ou encore Lord Stanislas pour satisfaire sa boulimie créatrice. Depuis 2006 et la fin de sa collaboration avec le groupe pour incompatibilité avec le monde du business musical, André trace sa route en solo. Il enchaine les albums bricolés qu’on ne prend pas toujours le temps d’écouter, préférant attendre le prochain. Mais avec « Hoots » il serait dommage de tenir ce raisonnement au risque de passer à côté d'une petite merveille. Une musique inclassable entre folk et jazz à la simplicité désarmante. Le son du saxo et de la guitare s’imprègnent imperceptiblement dans tout notre être parfois même à la manière des perles de Mulatu Astatke que le bonhomme a certainement beaucoup écouté. Alors, n'attendez pas la sortie du prochain Stanley Brinks mais profitez d'ores et déjà du plaisir que nous offre celui-ci.

     


    Tracklist :       
    1. Good old me 03:55
    2. Give me a reason 04:32
    3. I didn't know 04:21
    4. Run your run 03:18
    5. What a fool 04:47
    6. Then came the man 03:07
    7. Kate 05:33
    8. Where have you been 03:28
    9. Three Years 06:23
    10. One goodbye 04:48
    mp3


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  • http://www.popavenue.com/pub/Musique/Melissa-Laveaux-Camphor_Copper.jpg

    http://www.melissalaveaux.com

    http://www.myspace.com/melissalaveaux

    Origine du Groupe : Canada , France
    Style : Alternative Folk , Soul Blues
    Sortie : 2008

    Par Julien Bordier  pour http://www.lexpress.fr

    Folk, blues et poétique, le style de Mélissa Laveaux allie une guitare acoustique percutante et précise à une voix joliment éraillée qui marie les langues : anglais, français et créole. Née à Montréal en 1985 de parents haïtiens, la miss a grandi à Ottawa, dans un univers anglophone. Menant de front études et concerts, cette guitariste autodidacte réussit en 2007 le grand chelem : diplôme en éthique et société à l'université d'Ottawa, Bourse musicien de la Fondation Lagardère et signature sur le métissé label No Format. Camphor & Copper, son premier disque « officiel », est bâti sur des titres enregistrés pour un album autoproduit paru en 2006. Parmi ces pépites, on tombe aussi sur une reprise d'une chanson d'Elliott Smith. Quant au camphre et au cuivre du titre, la réponse est dans le livret du disque : ces deux substances, bienfaitrices si on les utilise avec parcimonie, se révèlent dangereuses lorsqu'on en abuse. « Comme l'amour », conclut la jeune Canadienne.

     


    Tracklist :    
    1. Scissors
    2. My Boat
    3. Chère Trahison
    4. Ulysses
    5. Interlude Haïti
    6. Koudlo
    7. Dodo Titit
    8. Needle In The Hay
    9. Interlude Voyeur
    10. Games Of Unrest
    11. Akeelah'S Heel
    12. I Want To Be Evil

    mp3

    Tell a Friend

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