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    This is the debut album from multi talented musician and producer Quantic. Having just turned 21 years old at the time of completion, this album was a positive indication of things to follow. Like the Bonobo album "Animal Magic"‚ this entire album was recorded in the writers bedroom - showing that DIY culture is strong and healthy in the UK and that good creative music can successfully be made and released to an appreciative audience without unnecessary hype. 'The 5th Exotic' combines a variety of influences from jazz to soul to funk to hip hop. All the tracks have a strong musical element and a variety of tempos but each individual song has a connection which makes the album work as a whole. Like any good album this is one that grows on you with each listen. Richard Dorfmeister (Kruder & Dorfmeister) described The 5th Exotic as one of the best beats albums I have heard in a long time. It is difficult to pick out favourite tracks as everyone who hears the album expresses a different opinion. The title track combines the sounds of easy listening with hip hop beats. Infinite Regression features spoken words with haunting strings. Life In The Rain is a massive club anthem that has been working on dancefloors across the world. Through These Eyes is an out and out club rocker with its double bass and piano hook combined with tough breakbeats. Time Is The Enemy is simply a beautiful piece of music which received wholehearted support from a variety of noteable chill out DJs. Overall The 5th Exotic is an accomplished debut album with a sound and style that is truly original.
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    El sello Absolut Ambient -auténtico oasis en el panorama de la música avant española, comandado por los hermanos Sotomayor- presenta ahora una nueva aventura sonora protagonizada por el inédito dúo formado por la cantante y compositora barcelonesa -pero madrileña de adopción- Rebecca Newey y el propio Nacho Sotomayor. Bajo el sugerente nombre de Newey -que también da título al disco- encontramos un espacio ensoñador, pleno y atemporal, en el que el trip-ambient y el lounge-pop deambula entre referencias que van desde Thievery Corporation y William Orbit; hasta Sheevari o 4 Hero; pasando por el siempre fascinante sonido Bristol y…
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  • [Attribution-Noncommercial-No Derivative Works 3.0 Germany]


    La Hongrie est riche non seulement savoureux de tomates et de poivrons, avec une régularité enviable, ce qui nous donne des raisons de penser que c'est une forge les compétences de la musique électronique moderne. Avant d'enregistrer, une fois de plus la preuve que la ville de Budapest a une atmosphère particulière, ce qui en fait l'un des centres indépendants de l'électronique. Affirmer cela, le producteur et DJ hongrois Niteffect a enregistré un autre album, d'une chaîne instrumentale mrachnovatymi-remplies de mélodies et les rythmes de trip-hop, la création d'une atmosphère tendue. Bonus est la deuxième partie, qui comprend les voies de nevoshedshego.
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    A hip Italian duo - one that mixes torchy vocals with mellow downtempo beats - but all at a level that's got a bit more depth and soul than most of their contemporaries! The lovely Marinella Mastrosimone handles vocals here - and she's got a breathy, raspy style that echoes jazz work of the 30s and 40s, but also manages to have a more contemporary, dark-sounding undercurrent. Instrumentation is from Matteo Curcio - who uses a fair bit of programming, but with acoustic elements at the core - in a way that further adds to the warmth of the session. There's a sound here that almost reminds us of the first sorts of experiments in this mode that came from England and Germany over a decade ago.
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    Bristol, plus que jamais capitale de la sensualité dérangée, avec Statik Sound System le bien nommé. Autant préciser d'emblée que ce nouveau groupe vient de Bristol, capitale des laborantins mélancoliques. Ainsi, ce son perdure et se renouvelle sans jamais donner un signe d'essoufflement. Statik Sound System se l'accapare pour mieux le hisser dans les cimes les plus extatiques de la grâce. Ce collectif de zébulons de studio ­ quatre expérimentateurs instrumentistes blafards et une chanteuse délicate ­ distillent un dub onirique et mystique qui envoûte et enveloppe l'auditeur dans une délicieuse torpeur. Un groove singulier, allié à un rythme syncopé, plonge dans les abysses opiacés de l'introspection. A travers ces dédales tantôt frénétiques tantôt apaisés, la voix énamourée d'Helen White cristallise la fragilité et la difficulté d'être, proche de celle de la femme fatale de Portishead. Ces créateurs d'ambiances incertaines libèrent un spleen éphémère qui caresse les bleus de l'âme. Véritable îlot de lascivité, Statik Sound System incarne magnifiquement son patronyme. Gueules d'atmosphère plus que songwriters, ces expérimentateurs écoulent autant la douceur satinée que la fièvre brûlante. L'esthétique lancinante du trip-hop révèle ici un romantisme charnel et entraînant, mis en scène avec la perfection des plus grands. Mais l'intranquillité reste malgré tout présente. Comme si toute cette entreprise consistait à lutter contre le chaos, une force d'inertie qui menacerait d'atrophier tout l'édifice. Ce voyage intérieur serait le meilleur moyen d'expurger l'angoisse du vide, de chasser le néant. Ce bras de fer inavoué entre les pulsions de vie et celles de destruction ­ démons intérieurs toujours séduisants ­ se conclurait par une victoire au goût amer des bons sentiments. D'où cette aspiration à la quiétude, au repos, incarnée par ces havres alanguis comme le définitif In our own dub/Jack laid bare qui clôt l'album. La parenté Tricky ou Mo'Wax se fait sentir sans que cela soit véritablement gênant, Statik ayant trouvé un style bien à lui, affranchi et épuré. Soulignons au passage que le label Cup Of Tea commence à sérieusement nous énerver à force de ne sortir que des bons disques.
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