-
Par DJDemonAngel le 14 Septembre 2010 à 14:00
http://www.cinematicorchestra.com
http://www.myspace.com/thecinematicorchestras
Origine du Groupe : U.K
Style : Ambient , Electro-Acoustic , Trip Hop , Nu-Jazz , Downtempo
Sortie : 2003quand la bande orchestre...
C'est l'histoire d'un film qui n'avait pas de son et d'un groupe qui se cherchait une image. La rencontre entre The Cinematic Orchestra ( une musique accrochée à l'âme d'un autre art - le cinéma) et man with a movie camera de Dziga Vertov ( documentaire de 1929 au montage audacieux pour l'époque et à la prosodie innovante) se devait d'avoir lieu lors d'un happening au Portugal, forcément inédit et forcément original. Cette performance se devait de pousser le groupe sur le terrain d'un disque (everyday, sorti en 2002) et d'un autre aujourd'hui. Ainsi on découvre les esquisses de Everyday en deuxième lecture. Le DVD, man with a movie camera qui sort sur Ninjatune met davantage en avant la musique des chouchous du label que le cinéma assez "conceptuel" de Vertov. Jouant à fond sur la mythologie du cinéma muet Work it, Voyage , Odyssey et même si l'expérience n'est pas neuve mais on ne se lasse pas de Jason Swinscoe et de son indéniable génie à mettre en scène et en sons de grande émotions Dawn. Il y a presque dix ans, Aphex Twin, en sonorisant 'Nosferatu' de Murnau au Barbican Center a peut-être lancé le mouvement qui aujourd'hui voit toute une génération s'approprier non plus les ambiances cinématographiques de leurs pairs mais littéralement coloniser les pellicules en 35mm et autres (cf. les séances de cinémixing qui abondent, l'excellente collection cinémix' sortie chez Universal Jazz). A ce jeu-là The Cinematic Orchestra, de par la qualité de la production très organique ici, conforte sa place de chef de rang.
par Take8
permalink
Tracklist :
1. The Projectionist
2. Melody
3. Dawn
4. The Awakening of a Woman (Burnout)
5. Reel Life (Evolution II)
6. Postlude
7. Evolution (Porto Edit)
8. Work It! (Man with the Movie Camera)
9. Voyage
10. Odessa
11. Theme De Yoyo
12. The Magician
13. Theme Reprise
14. Yoyo Waltz
15. Drunken Tune.
16. The Animated Tripod
17. All Things</div>'); document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"></scr'+'ipt>'); // ]]> </script>
votre commentaire -
Par DJDemonAngel le 6 Septembre 2010 à 12:00
http://www.myspace.com/spanglecalllilliline
Origine du Groupe : Japan
Style : Alternative , Electo Pop , Electro Acoustic , Downtempo
Sortie : 2008</div>'); document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://addratings.com/aR_BootStrap.js"></scr'+'ipt>'); // ]]> </script>Tokyo’s Shimokitazawa district has continually been one of the hot spots for indie rock action, and over the past several years, numerous groups sporting a laid-back style have come to the forefront of the scene. Amongst these musicians (loosely grouped under downtempo), Spangle call Lilli line has arisen as one of the flagship bands.
In keeping with Spangle call’s standard rock instrumentation, their style reaches well beyond downtempo, a relaxed and heavily electronic genre. While the band is often described as post-rock, their sound is more of a compromise between the two. Songs are not bound by verse-chorus convention, but drift lazily, guided by a light melody. The guitars and varied percussion together with numerous (and frequently spacey) electronic additions weave a sound that, while complex, flows very evenly. Otsubo Kana’s wispy vocals contribute an organic piece to the melody as well, while adding to the relaxed atmosphere.
Spangle call Lilli line’s beginnings trace back to Otsubo and Fujieda, friends from art school, who began playing together in December of 1998. Sasahara and drummer Kabasawa, also friends from university, joined in 1999 and 2000, respectively. The band was christened “Spangle call” (the “Lilli Line” to come later), derived from a Japanese pronunciation of “spangle” (“supankooru,” chosen for its sound), while the “call” was a continuation from the “kooru” of “supankooru.” Their self-titled debut was issued in March of 2001 on P-Vine, a label known for electronic and jazz units including Date Course Pentagon Royal Garden and Otomo Yoshihide.
The band continued their trademark style through their third album, 2003’s or, in which they aimed to consummate their established sound. The trying studio work leading up to or proved to be the band’s breaking point, causing mental breakdowns in Otsubo and the February 2003 departure of their drummer, who had provided much of the creative direction for the album. With Kabasawa gone from the lineup, Spangle call was free to indulge in influences such as R&B, soul, and Motown that their drummer, who had an affinity for lo-fi and post-rock, did not favor.
These changes surfaced in Spangle call’s April 2005 album Trace, which was nearly two years in the making (excluding their live release 68SCLL). With Trace, the members recount that they were looking to remove the excess from their music and sound like a new band, as if the album was their debut. The new release was indeed different from its predecessors, with a poppier, R&B style and tracks that were, on the whole, shorter than the usual Spangle call fare.
Shortly after Trace, the release of For Installation, more in tune with the band’s classic style, ensued in June. The tracks are mostly comprised of studio outtakes, but according to Fujieda, “the feeling of the album will be clearly different” from that of Trace. Though nothing has been formally announced, the enterprising trio is gearing up for another release in the future.
by http://www.thesirenssound.com
permalink
Tracklist :
01. mai
02. unknown
03. nm
04. rio
05. cast a spell on her
06. a portrait
07. sea
08. shell for mew
09. early monsoon
10. when we were
11. screen
votre commentaire -
Par DJDemonAngel le 5 Juin 2010 à 11:00
Note : ++
http://www.nickcaveandwarrenellis.com
Compagnons de route, depuis de nombreuses années, au sein des Bad Seeds, Nick Cave et le barbu Warren Ellis signent ensemble des musiques de films intenses et passionnantes regroupées pour la première fois sur un double CD : "White Lunar".
Ceux qui ont vue le film "The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford" (2007) ne pourront pas oublier la somptueuse partition écrire par le duo qui venait parfaitement bien accompagner les images, non moins superbes, du réalisateur Andrew Dominik pour un western d’une intensité et d’une beauté remarquable.
En plus de la bande originale de "The Assassination of Jesse James…", figurent sur "White Lunar" des composition écrites pour le film" The proposition" (2005), mais également pour l'adaptation au cinéma de roman de Cormac McCarthy "The Road" ainsi que des documentaires ("The English Surgeon", "The Girls of Phnom Penh") qu’une poignée d’inédits. Au total près de 1h45 de musiques contemplatives, dépouillées et fantomatique, aux tonalités claire-obscures, et à vrai dire totalement captivantes… que l’on ai vu les images ou pas.
Par Pop , Revue , Express
permalink
Origine du Groupe : Australia
Style : Electro Acoustique , Ambient , Experimental
Sortie : 2009
Tracklist :
CD 1
1. Song For Jesse
2. Moving On
3. What Must Be Done
4. Song For Bob
5. Happy Land
6. The Proposition 1
7. The Road To Banyon
8. The Rider 2
9. Martha's Dream
10. Gun Thing
11. The Rider Song
12. The Road
13. The Mother
14. The Father
15. The Beach
16. The Journey
17. The Boy
CD 2
1. Srey Leak
2. Me Nea
3. Rom
4. Halo
5. Zanstra
6. Black Silk (Suture)
7. Brain Retractor
8. Dandy Brain Cannula
9. Rat’s Tooth Forceps
10. Kerrison’s Punch
11. Micro Sucker
12. Window
13. Daedalus
14. Magma
15. Cheata
16. Sorya Market
votre commentaire -
Par DJDemonAngel le 16 Mars 2010 à 12:55Note :
http://www.bonobomusic.com
http://www.myspace.com/sibonobo
Sortie : 2010
Style : Electro , Electro Acoustic
Tracklist:
01 - Prelude
02 - Kiara
03 - Kong
04 - Eyesdown Featuring Andreya Triana
05 - El Toro
06 - We Could Forever
07 - 1009
08 - All In Forms
09 - The Keeper Featuring Andreya Triana
10 - Stay The Same Featuring Andreya Triana
11 - Animals
12 - Black Sands
Mirror
permalink
votre commentaire -
Par DJDemonAngel le 26 Octobre 2009 à 11:00
C’est en février que l’on avait vu pour la première fois Tara King Th., en ouverture du concert d’OMR au Nouveau Casino. Les chansons étaient belles, mais la très, très grande timidité de sa chanteuse avait provoqué en nous quelques polis bâillements. Juste de quoi se dire que leur musique n’était peut-être pas faite pour la scène, pas suffisamment à ce moment-là en tout cas.
Les Tara King Th. avaient pourtant déjà un beau parcours derrière eux : un premier album éponyme en 2003, suivi de plusieurs maxis dont la qualité leur valu quelques belles comparaisons (Beth Gibbons, Elysian Fields, Goldfrapp) grâce à la subtilité de leurs compositions électroniques. Enfin, ils participèrent au dernier single de Dionysos, ‘La Métamorphose de Mister Chat’ avec le titre ‘It's Hard To Be A Cat’ qui figure sur ce disque.
Le groupe est aujourd’hui de retour avec un nouvel EP de toute beauté. Un disque qui prend son temps, sur lequel sobriété et mélancolie font bon ménage. Si on leur reprochait un certain manque d’ampleur sur scène, le charme cette version ‘studio’ va droit au cœur de l’auditeur. Comme le décrit si bien l'intitulé de la première chanson ‘Once Upon A Dream’, les ambiances calmes et éthérées de cet EP nous permettent de nous détacher de la réalité le temps de l’écoute…
Le disque comprend 2 reprises : ‘Brand New Key’ de la chanteuse des années 70 Mélanie et ‘Am I That Easy To Forget’ d’Esther Phillips, célèbre chanteuse de Rythm ‘n’ Blues des années 50. Mais c’est bien avec un titre de leur cru que les Tara King Th. nous enchantent : ‘It's Hard To Be A Cat’, une formidable petite comptine bourrée de charme grâce à ses textes à la fois drôles et piquants. Irrésistible.
Voilà donc ce qu’il nous avait manqué jusqu’ici : prendre le temps d’écouter Tara King Th., à tête reposée. Une œuvre qui laisse une belle place à la poésie, électronique dans sa conception, mais presque folk dans son esprit.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique