• http://www.moimateo.com/wp-content/uploads/2011/02/james-blake-album-cover.jpg

    http://jamesblakemusic.com

    http://www.myspace.com/jamesblakeproduction

    Origine du Groupe : U.K
    Style : Electro , Dubstep , Downtempo , Experimental
    Sortie : 2011

    par Williams Fonseca-Baeta  pour http://www.feuavolonte.com

    Dans un flou artistique à l’image de sa musique, James Blake se présente sur la couverture de son premier album éponyme, le visage mué par l’expérience. Après trois excellents minialbums sortis en 2010, le jeune londonien livre une prestation sincère alliant les multiples facettes du dubstep au minimalisme d’un rock à la the XX.

    Encore indéfini, le dubstep est un style musical représentatif de son époque. Fluctuant à mesure que les technologies se renouvèlent, le courant brise les étiquettes qu’on lui octroie en se camouflant dans toutes les faunes musicales actuelles. Les discothèques en sont férues et les producteurs tentant le genre sont de plus en plus nombreux. Motivés par l’essor du style, des artistes comme les discs jockeys Benga, Skream et Rusko ont transformé Londres, en l’espace de quelques années, en une grande pépinière de musiciens spécialisés dans le dub.

    Âgé uniquement de 22 ans, James Blake a découvert le genre dans les discothèques de la City. Étudiant alors en musique, le jeune Anglais alterne sa vie entre les pistes de danse et les pistes sonores digitales de son ordinateur. Il sort en 2010 CMYK, un minialbum dubstep à saveur plus soul, lui attirant la sympathie de quelques compagnies de disques et de critiques comme Pitchfork. Sur son troisième opus Klavierwerke,  James Blake ajoute sa voix ainsi que quelques harmonisations instrumentales à sa plume musicale.

    C’est dans ce même opus que le londonien s’aventure sur une reprise de Limit To Your Love de la chanteuse canadienne Feist, l’interprète du succès 1234. La reprise fond les divers styles de l’artiste sous une même enseigne. Au son d’un piano, Blake chante tendrement la chanson avec une influence soul, rappelant les airs de Tracy Chapman et la voix de Justin Vernon. Il ajoute au morceau un clin d’œil dub se traduisant par un silence interrompu par une basse très grave amplifiant l’aspect dramatique de la pièce. La reprise s’est avérée importante pour la suite du cheminement de l’artiste, puisque sur son premier disque James Blake reprend la recette de Limit To Your Love et crée un album unique mélangeant soul et dub dans un flou artistique peu commun.

    Unluck débute l’album avec une lente procession électronique. Les sons utilisés vont de claviers enivrants pour les oreilles sensibles à des rythmes de percussions saccadés influencés de dub. James Blake y chante de manière mélancolique, chose qu’il fera tout au long de l’opus. Il poursuit son blues sur la fascinante Wilhems Scream. Le titre de ce morceau vient du nom de l’extrait sonore d’un cri de mort ayant été utilisé à maintes reprises dans des scènes de films. Pour colorer l’image, James Blake utilise dans le morceau le son d’une goutte s’échouant dans le vide. « I don’t know about my love anymore, all that I know is that I’m fallin’, fallin’ fallin’, might as well fall in», chante-t-il au son de chaque goutte.

    La pièce To Care (Like You) est le moment le plus expérimental de l’album. James Blake combine à nouveau ses talents de dub, mais cette fois dans une ambiance lugubre pouvant laisser quelques frissons au passage. Il modifie sa voix vers une tonalité aigüe et profite durant quelques silences pour harmoniser sa voix sans l’aide d’instruments ou d’extraits digitaux. L’expérience édifiante démontre tout le talent du jeune anglais. N’essoufflant jamais sa technique, il démarque autant sa voix que son génie musical.

    Sur la compilation de dubstep Blow Your Head de Diplo, ex-époux et producteur de la chanteuse sri-lankaise M.I.A., James Blake est présenté comme une énigme. « Sa musique est unique, toutes les fois que je mets un de ses disques, je me surprends à découvrir le trajet musical qu’il emploie », affirme Diplo. Il est vrai que le londonien ne finit jamais de surprendre par ses harmonisations floues, mais fluides. Un peu à l’image de celui qui les conçoit.


    Tracklist :
    01. Unluck (3:03)
    02. Wilhelms Scream (4:36)
    03. I Never Learnt To Share (4:52)
    04. Lindesfarne I (2:42)
    05. Lindesfarne II (2:59)
    06. Limit To Your Love (4:40)
    07. Give Me My Month (1:53)
    08. To Care (Like You) (3:54)
    09. Why Don’t You Call Me (1:36)
    10. I Mind (3:34)
    11. Measurements (4:20)

    mp3


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  • http://pinboardblog.com/wp-content/uploads/2010/08/andreya1.jpg

    http://www.andreyatriana.com

    http://www.myspace.com/andreyatriana

    http://www.finkworld.co.uk

    http://www.myspace.com/finkmusic

    http://www.bonobomusic.com

    http://www.myspace.com/sibonobo

    Origine du Groupe : U.K
    Style : Downtempo , Folk , Nu Soul , Electro , Acoustic
    Sortie : 2010
    Durée : 48min

     

    Par http://www.grandcrew.com

    Andreya Triana, Fink et Bonobo se sont réunis pour un concert exceptionnel dans le cadre des 20 ans de leur label: Ninja Tune.

    Pour célébrer ce grand moment, les 3 artistes ont livré une composition à 3 uniques où Andreya Triana nous fait (re)découvrir son album Lost Where I Belong accompagné de Bonobo qui l'a produit et Fink qui a co-écrit 2 titres avec elle.

    Le Centre George Pompidou a joué le rôle d'écrin pour ce magnifique concert où la fabuleuse voix d'Andreya Triana joue et virevolte avec la basse de Simon Green et le jeu toujours précis et délicat de Fink.

    En partenariat avec nos amis Iastar

    Tracklist :       
    01 - Draw The Stars
    02 - Stay The Same
    03 - Lost Where I Belong (free preview)
    04 - Make It Good (produced by Fink)
    06 - A Town Called Obsolete
    07 - Tea Leaf Dancers (produced by Flying Lotus)
    08 - The Keeper (produced by Bonobo)
    09 - Knightlite (produced by Bonobo)
    10 - Draw The Stars
    11. Credits


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  • http://www2.o-bb.net/~antennasia/web/wp-content/uploads/2010/07/antennasia_quscus_600.jpg

    http://www.antennasia.com

    http://www.myspace.com/antennasia

    Origine du Groupe : Japan
    Style : Downtempo , Electro , Trip Hop , Ambient , Lounge
    Sortie : 2010

    by Wesley  from http://genrewhiplash.blogspot.com

    I'm forcing myself to post something. I think I need to take a break from getting nowhere on my short story. My brain is also telling me to post something not asian, since it seems like I've been writing only about Japanese artists lately, but whatever. This is easier to write about for me since I've already listened to it a billion times, I haven't posted any trip hop yet, and they're one of my favorites in the genre. Anyway, this is the newest antennasia album after four years without a proper release. It has a slightly different feel to it compared to their earlier albums, almost leaning more toward ambient music at times, while also toning down their earlier introspective and haunting beats. While their earlier style was a huge part of what made me love them, this new direction isn't necessarily a bad thing, this is still a great album. At the same time though, I still wish I could hear a little bit more of that minimalistic bass heavy production from their previous albums.

    Like I said earlier, this album has a much lighter and more mellow sound than, say 2006's 23 Bluebird Street, Velo-city, but it's still distinctively antennasia. San's vocals are as beautiful as ever, floating on top of nerve's melodies. Much like the production, her vocals also much lighter, used more like another instrument in the tracks (not sure if I can say that if I don't think instruments were really used, oh well). Often, such as in Goats in a Blue Sky, she sings in almost a lazy slurred style, with many vocal melodies layered smoothly over each other, like a continuous stream of consciousness. Listening to her is almost like floating in a dream, with the many melodies washing over you like waves.

     


    Tracklist :   
       1. You Draw, I Swim feat. Hybrid
       2. Metronome Wiper
       3. Female River ("On Your Radio" Version)
       4. noanoa
       5. Last Birds (CTANKEP)
       6. Goats in a Blue Sky
       7. Gynoid
       8. The Cat in the Mirror
       9. Passion Show
      10. Stareater

     

    mp3


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  • http://ecx.images-amazon.com/images/I/5197EJGEYXL._SL500_AA300_.jpg

    http://briskey.be

    http://www.myspace.com/briskeymusic

    Origine du Groupe : Belgium
    Style : Nu-Jazz , Lounge , Downtempo
    Sortie : 2006

    From http://www.undomondo.com

    Who doesn’t love some uptempo nujazz with a female vocalist? Suitable for the sunny days trend started a post ago, here’s Briskey, brain child of Gert Keunen, a journalist, record company manager and concert promoter from Holland.

    The band is a six-piece including a flugelhorn on some songs and you’ll realize how much the music is rooted in the 30s 40s big band era, in the first few seconds of “White would be Tacky“, the brasswork is very groovy here. The second song has an incredible rimshot beat and wailing brass, and I think that’s the main reason I chose this song over others. There are many more good songs on this album, and the album has a high fun factor, a decent pop-nujazz album. Check out if you like bands like Herbaliser, De-Phazz, St. Germain or labelmates Buscemi.

    Tracklist :   
    1 Kosmo And Yahoodi (Charivari remix) (6:30)
    2 Terra Notta (4:07)
    3 Accroche Toi Ninochka (4:59)
    4 You've Got Some (Under The Sofa) (6:35)
    5 La Stupenza (5:16)
    6 Blind-Sided Caboodle (4:34)
    7 White Would Be Tacky (3:43)
    8 Mocking Ducks (6:06)
    9 Sweltering Sirocco (3:47)
    10 Two Orphans In A Storm (4:59)
    11 Kosmo And Yahoodi (5:48)
    12 Humphrey's Donut (6:10)

    mp3


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  • http://www.ideology.de/archives/id063_frontcover_mittel.jpg

    http://www.myspace.com/tracingarcs

    http://www.ideology.de

    Origine du Groupe : U.K
    Style : Downtempo Nu-Jazz , Trip Hop , Lounge , Electro
    Sortie : 2010

    [Attribution-Noncommercial-No Derivative Works 3.0]

     

     

     

     

     

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    By http://netlabelsrevue.blogspot.com

    Voici le genre de production de qualité à laquelle on est habitué de la part du netlabel iD.EOLOGY mais dont ne se lasse pas. Il s’agit cette fois d’un album de downtempo, soul, jazz vocal, absolument irrésistible et que les amateurs ne se priveront pas d'aller découvrir. Le genre de petite chose qu’affectionnerait sans doute Gilles Peterson, tant la musique de Tracing Arcs rappelle ce qu’on peut entendre sur les compilations du fameux DJ anglais.
    Ultra facile à écouter, rempli de sonorités chaleureuses et porté par la voix sensuelle et puissante de Fran Kapelle, ce disque fait partie, incontestablement des plus belles réussites du netlabel allemand depuis sa création.

    By http://www.ideology.de

    English: According to popular belief, beauty is in the eye of the beholder. To some it is all about a slick, symmetrical surface, an immaculate appearance. Others find beauty in moments of truthfulness when they recognize themselves in their counterparts.

    On their iD.EOLOGY debut Tracing Arcs combine both aspects into a thrilling aesthetic overall experience. As soon as the first notes hit your ears, a film noir starts rolling in your head. Classy triphop beats, elaborate jazz-chords and deep upright basses skillfully sketch out a closed-off world in subtle shades of black. With the dark attraction of a femme fatale, the nuanced and seductive voice of Fran Kapelle enters the scene, inevitably putting the listener under her spell. With every word of the sometimes cryptic, sometimes promising lyrics he keeps falling for her further and without notice, he's become a detective in his own case, delving deeper and deeper into a secret that lies hidden within.

    Whatever the findings may be, one thing is as sure as fate: when self-awareness happens through an album as euphonic and exciting as this, then just about any beholder of your choice will have the same words for it: beautiful, so beautiful.

    Deutsch: Einer verbreiteten Ansicht zufolge liegt Schönheit im Auge des Betrachters. Für Manche besteht sie vor allem in einer glatten, symmetrischen Oberfläche, einem makellosen Äußeren. Andere finden Schönheit eher in Momenten der Wahrhaftigkeit, in denen sie sich selbst im Gegenüber erkennen.

    Auf ihrem iD.EOLOGY Debut verbinden Tracing Arcs beide Aspekte zu einem eindringlichen ästhetischen Gesamterlebnis. Sobald die ersten Noten erklingen, beginnt im Kopfkino ein Film Noir. Edle Triphop-Beats, raffinierte Jazzharmonien und tiefe Standbässe zeichnen gekonnt eine abgeschlossene Welt in subtilen Schwarzschattierungen. Die nuancierte, verführerische Stimme von Fran Kapelle durchwirkt die Szenerie mit der dunklen Anziehungskraft einer Femme Fatale und zieht den Hörer unweigerlich in ihren Bann. Mit jedem Wort der mal kryptischen, mal verheißungsvollen Texte verfällt er ihr mehr und mehr und wird - ohne es überhaupt zu bemerken - zu einem Detektiv in eigener Sache, ganz versunken in der Suche nach einem Geheimnis, das in ihm selbst verborgen liegt.

    Was auch immer man schließlich vorfindet, eines ist gewiss: wenn Selbsterkenntnis durch ein so wohlklingendes und aufregendes Album wie dieses entsteht, dann wird so ziemlich jeder Betrachter dafür dieselben Worte haben: beautiful, so beautiful.

     


    All Tracks composed, recorded, mixed & produced by Tracing Arcs

    Tracing Arcs are:
    Fran Kapelle - Vocals/lyrics
    Paul H. Addie - Keyboards/Programming
    Violet M. Williams - Backing Vocals (Tracks 1,2,4,6)
    Terry Pack - Acoustic Bass (Tracks 3,7)

    Artwork by Sir Pinski

     

    id063_frontcover_klein.jpg id063_backcover_klein.jpg id063_cdlabel_klein.gif
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    Cover-Artwork by Sir Pinski


    Tracklist :
    01. Deep Breath           
    02. Consequence of Love    
    03. Pebbles & Weed    
    04. So Beautiful    
    05. Sheep & Tides (for Big Al)    
    06. Wildworld    
    07. Recovery 

    mp3

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