• http://tympanikaudio.com/wp/wp-content/plugins/wp-shopping-cart/product_images/atnight.jpeg
    http://www.thisisginormous.com/
    http://www.myspace.com/ginormousmusic

    Ce n'est pas une mise au défi, c'est une lettre d'amour à la musique. Bryan Konietzko n'a que faire des conventions. Il se fout des genres et des étiquettes. Son seul souci est de composer une musique qui lui ressemble, une musique auto-thérapeutique dont les morceaux seraient comme autant de rendez-vous avec son psy. L'idéal serait de sortir un album par an. Dommage, At Night, Under Artificial Light arrive un peu trop tard. En revanche, pour ce qui concerne sa volonté de s'affranchir de toute scène, c'est plutôt réussi. Ginormous trace sa propre voie. Sa musique emprunte autant à l'abstract hip-hop qu'à l'IDM sans vouer allégeance à aucun des deux mouvements – à moins qu'elle ne contribue à élargir la portée de l'un ou de l'autre, peu importe. A l'instar de Kelpe ou de Flying Lotus, elle se situe dans cet entre-deux toujours déroutant pour quiconque tente de le définir.

    Chaque pièce d'At Night, Under Artificial Light est un univers à part entière. Le ciment qui les imbrique est purement formel et lié à notre façon de consommer la musique. Plutôt qu'un album, c'est une collection de titres qu'il faut voir. L'absence de "pensée d'ensemble" n'est pas dénuée d'avantages. Elle pousse Bryan Konietzko à se surpasser pour chaque morceau, à faire en sorte que chacun d'entre eux puisse devenir un tube en puissance. Les gimmicks rivalisent d'ingéniosité. Le choix des synthétiseurs est imprévisible mais toujours du meilleur goût. Dans At Night, Under Artificial Light, il y a forcément un passage qui titille notre sensibilité mélodique ; inutile d'en venir à l'épuration électronique pour en goûter les charmes. Ginormous propose pour ce deuxième album quelque chose de techniquement abouti et d'une efficacité redoutable.

    Chroniqué par Tehanor
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    Note :
    Sortie : 2008
     
    Label(s) : Hymen
    Style : IDM / Breakbeat

    Tracklist :

    01/ Punches To Carefully Coax
    02/ Melted Circadian
    03/ Coiled So Tightly
    04/ At Night, Under Artificial Light
    05/ Blink In Blue
    06/ A Corridor Leading To Modern Space
    07/ Night Scenes, Fireworks, The Heavens
    08/ From Deep Bore Holes
    09/ Fly Quietly
    10/ Moon Canyon Welcomes You
    11/ Awakening The Magpie In All Of Us

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  • http://www.ideology.de/archives/id027_frontcover_mittel.jpguse Player for prelisteing : from  iD.EOLOGY

    http://www.myspace.com/bangguru

    English: Nobody bangs it better! Our beloved master of catchy tunes with a track attitude is in to teach us another lesson in the shape of his second EP on iD.EOLOGY.

    From a loungy and dubby start the guru takes us straight to the madness of a proper club-banger, only to slow down and then let us off into the extatic euphoria of some poppy indian vibes.

    As the smart disciples we are, we follow the path the master has shown us, and we cheerfully smile after we´ve learned another lesson: the bang is all about controlling the energy-flow.

    let it bang, let it bang, let it bang!

     

    Deutsch: Keiner bangt wie er! Unser geliebter Meister der eingängigen Singstücke mit Trackattitüde ist anwesend, um uns in Gestalt seiner zweiten EP auf iD.EOLOGY eine neue Lektion zu erteilen.

    Von einem loungigen und dubbigen Anfang nimmt uns der Guru mit auf die schwindelnden Höhen eines waschechten Club-Bangers, nur um sodann die Geschwindigkeit zu reduzieren und uns in die ekstatische Euphorie indisch angehauchter Pop-Vibes zu entlassen.

    Und als die gelehrigen Schüler, die wir nun mal sind, folgen wir dem Pfad, den der Meister uns gewiesen hat. Ein fröhliches Lächeln erstrahlt auf unseren Gesichtern, als wir die zweite Lektion gelernt haben: Der Bang entsteht erst durch einen kontrollierten energetischen Flow.

    Let it bang, let it bang, let it bang!
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    Banguru "Time loser"

    Note :
    01. Target love        mp3    ogg  
    02. Love never ends        mp3    ogg  
    03. Daball        mp3    ogg  
    04. Race Track        mp3    ogg  
    05. Time loser        mp3    ogg  
    06. Abc        mp3    ogg  
    FROM iD.EOLOGY

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  • http://www.nyctrust.com/images/12002webpop.jpg


    I’ve always considered a certain level of anonymity an important quality among the musicians I tend to lionize. Not to say I expect a musician to release LP after LP under different pseudonyms, or drop mysterious white-label 12-inch vinyl as a career’s worth of output, but there’s a certain modesty and focus on the music that comes from not promoting the shit out of yourself.

    Brooklyn’s E’s E and Oneman have been clandestinely doing their thing for a long time in the borough of Kings. Not that my radar is that particularly sensitive to each and every blip on the underground scene here, but I was truly surprised when Aaron passed me their first release as Midnight Lab Band and it immediately blew me away. “How could I not know about this shit, when it’s being done right here in my backyard?” My guess is that the secret bunker lab that these guys work their sonic experiments in is somehow off the grid.

    Mixing the very best of eclectic 90’s-era UK downtempo (think Pork, Ninja, Grand Central, etc.) with the optimistic, earthy production reminiscent of Motown and the NYC grittiness ala Premiere or the RZA , the duo’s music is clearly a result of an unfettered love of everything funky — hip hop, soul, afrobeat, downtempo, funk, classics, etc. There’s an attention to detail that similar producers tend to overlook, as if the pair really do throw on the white lab coats and sit in front of their equipment like scientists until the formula is just right. And after listening to “The Forgotten Chant” there’s no doubt you’ll agree that Midnight Lab Band are dropping the science. Class is in session.

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    Note :

    SIDE A:
    Run Riot - LISTEN
    SIDE B:
    The Forgotten Chant - LISTEN
    Twilight Reprise - LISTEN

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  • http://1.bp.blogspot.com/_M9qO8uXi4Ko/SqQZoUXpFiI/AAAAAAAAAeA/4FJ4UVDHJJE/s320/Geskia+-+Eclipse+323.jpg logo_listen.png

    http://www.myspace.com/geskia

    Eclipse 323 est un disque de glitch-hop downtempo d'excellent acabit. L'utilisation du laptop, l'approche des breaks, des cuts ainsi que les liquides et fines mélodies font penser à la superbe école Flying Lotus, en certes plus spatial.
    Geskia aurait pu se contenter de ça, le hip-hop "futuriste" et "sci-fi" connaissant actuellement de belles heures de gloire. Avec beaucoup de maîtrise technique et ne souffrant jamais d'excès dans la superposition, ce japonais parvient aisément à insérer de cristallines sonorités acoustiques et des phases superbement lugubres qui rappellent le trip-hop du début des 90's.
    Ideal Copy (digne de Flying Lotus), Drawing Dawing et Inside Out Nights en sont les meilleurs exemples.
    Un seul et minuscule regret : les tracks sont parfois trop courts.
    Non content de signer un des meilleurs disques du genre cette année, Geskia s'entoure de la crème abstraite et underground sur les trois remixs qui concluent le disque. Bracken, Caural, mais surtout l'exceptionnel Lukid y vont de leur jolie contribution.

    Les charts ne devraient plus tarder à fourmiller de ce hip-hop cybernétique et racé. Face à cette inéluctable indigestion potentielle, il sera nécessaire de faire un tri. Dans une ombre relative, Geskia fait assurément partie des fers de lance du genre, en compagnie de Lukid, Dorian Concept et Flying Lotus. Un "must-have", tout simplement.
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    Note :
    -tracklist-
    01. Sun
    02. Innerroots
    03. Day Life Structure
    04. Ideal Copy
    05. Sunset Line Texture
    06. Silence Fiction
    07. Drawing Dawning
    08. Experimental Goddes
    09. Inside Out Night
    10. Silhouetteque
    11. Second Coming(Bracken Remix)
    12. Right Lights (Caural Remix)
    13. 3days Trial (Lukid Remix)
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  • http://images.juno.co.uk/full/CS1326386-02A-BIG.jpg logo_listen.png

    logo-myspace.jpg
    La mélancolie scandinave comme un vent léger à travers bois, et déjà plus qu'une marche pour l'automne, nous sommes dans un film noir et blanc français des années 60. C'est l'univers de Katrine Ottosen, fortement esthétique et d'une certaine façon universel. J'ai un sentiment étrange d'avoir déjà entendu ou rêvé cette musique pleine de subtilité et de sensibilité rendant les chansons presque nues, transparentes.

    Scandinavian melancholy like a light wind through a forest, and already one step before autumn, we are in a black and white French movie from the Sixties. This is the universe of Katrine Ottosen, strongly aesthetic and a certain way universal. I have a strange feeling about already to have heard or dreamed this music full with subtlety and sensitivity making the songs almost naked, transparent.
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    CALLmeKAT "My Sea" music video


    Note :
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