• While The Rogue Element (aka Ben Medcalf) is busy touring the globe and putting together his second album, we present a ‘Special Delivery’ edition of the his debut album Rogue Rock, accompanied by a second disc that will leave dance/break beat/electro/indie fans alike salivating with excitement. The second disc features nine dance floor stompers never available on CD before. It includes the latest single for Dead Drummers/ The Moves, Rogues' award winning remix for Noisia's Gutterpump (Best Remix, Breakspoll) and his massive remixes for Soul Of Man, Dylan Rhymes and label mate Culprit 1. In addition to that we have the 12 inch version of Breathe with a brand new electro breaks remix by Elite Force, and Vandal's interpretation of Rogue Rock. In case you missed out on Rogue Rock first time round, it still sounds fresh and exciting, kicking in with dance-floor smashes Let Me Breathe and My Style, it takes grip and doesn’t let go. Rogue’s eye is always on the dance-floor with a take-no-prisoners approach to production, he bridges the gap between underground and commercial, breathing a new life into the breaks scene.
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    Xploding Plastix is the musical child of Jens Petter Nilsen and Hallvard Hagen. Both based in Oslo, they started making music together somewhere late 98-early 99. After about a year of playing, sampling, programming and focused tune writing; they decided it was time to let the public hear what they'd been up to. This resulted in a 6 track demo late 99. About 22 hours after first shipment, record companies were on the phone, and now 4 months later, 5 out of 6 tracks have been released on various lables.

    Xploding Plastix has a very organic sound; throwing saccharine analogue melodies to foreground the acoustic quality; imposing a distinctive live feel. A certain raw edge. An oeuvre of an ear-opener: Zipping and unzipping the beat, a beat-science out-of the ordinary. Emphasizing the flowing warmth and organity of the rhythms. Triggering flailing, skittering, skipping and spinning breaks, makes this pure nigthvision!

    Xploding Plastix has a sound like irradiated neon washes; shimmering and pulseglowing accordingly disproportional to the flashy stuttering redligths, like cancerous cocktails; splintering with deranged delight. The cinematic, dirty filmnoir feel is mercilessly exploited. Xploding Plastix is the epicure of a gorgeous, jagged, murderous pulse.

    Xploding Plastix has a sound outrageously present; rumbling oblique exclamations and punctuating vibes suggests musicians whose absolute confidence in their work frees them to kid 'n play: go totally trickster in their soaring urban conundrum. Here's abrasive bassy beatblasts, motor rhythm and lock grooves that whirr and writhe across the tracks. Xploding plastix has already become the poster child for present day electronic music; the model for what 'being taken seriously' has come to mean. Maneuvering steady in styles, like a genre-bending assemblage, with animated fluctuations successfully integrated. Frantic exuberant accretion of brittle, bustling rhythms and melodies introducing an urgent funk punch; a flickering sensuousness and enveloping rhythmic pulse.

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  • Broken haze is the alias of keisuke ito, a Japanese experimental electronica hip-hop producer whose fururistic music is composed with glitchy digital noise, chopped melody, industrial drum sound, and dark cinematic ambience.

    This is some cutting-edge music. If you like dark dubstep, you'll feel right at home.

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  • http://arctichospital.naritarecords.com/
    http://www.myspace.com/arctichospital


    Arctic Hospital (Eric Patrick Bray born January 8, 1985 in Green Bay, Wisconsin) is an American DJ and record producer. He began DJing industrial and EBM at age 14, and began producing urban techno on a Macintosh using the software sequencer Logic when he was 17. In 2004, Eric Bray received his big break when Narita Records owner Gabe Koch saw him open for seminal techno DJ John Digweed and immediately signed him to his record label. The music of Arctic Hospital is often described as dub techno.

    Discographie :
    • Neon Veils (to be released in 2008)
    • Citystream (2006) 

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  • http://www.anderstrentemoller.com/
    http://www.myspace.com/trentemoeller








    Review by dMute :
    A la première écoute de The Last Resort, il me prend une irrésistible envie d’écrire et de décrire le pourquoi du comment Take me into your skin me rentre par tous les pores de la peau… Une basse profonde et quelques nappes de synthé qui rappellent les brumes de Sigur ros et les montagnes enneigées de Björk, enfin par-dessus, une montée progressive, irrésistible, à vous exploser le dance-floor … De la glace en fusion, en somme. Autre morceau évocateur de cette musique polaire, While the cold winter waiting porte son nom à merveille. Le rythme est plus lent, dessinant un paysage se laissant progressivement engourdir par le froid de l’hiver. Une basse cardiaque et profonde figure la sève endormie, qui survit à cet enneigement. En tous cas, nous, on a déjà fondu ! Mais le sieur fait aussi dans la finesse du détail. Il manie les clicks et les déflagrations électriques aussi bien que les grandes mélodies romantiques. Et flirte avec le registre des musiques de film, comme sur Like two strangers, où quelques notes de xylophone précèdent une symphonie de riffs de guitares façon western, de gimmicks de bruits de portes et de voix à peine dévoilées. De véritables voix, vous en entendrez peut-être aussi - celles de Richard Davis et d'Anne Trolle- sur les versions remaniées de Always something better et de Moan, si vous vous procurez le CD bonus (CD qui présente aussi l'intérêt de compiler d'ancien singles). Une certaine tristesse se dégage au final de l’album, comme sur Miss you, tranche de mélancolie taillée à vif sur le flot du temps. On pense à la douceur de Mum, un groupe de nordiques, également... D'autres titres au contraire sont dans la plus pure lignée de la dance minimale allemande, comme Into the threes, qui donne sa tierce partie au track Serenetti, paru en 2006 sur Tic tac toe, le label danois. Vamp, une espèce de booty-blues à la dégaine terrible, laisse deviner l’influence revendiquée des Daft Punk (mais on pourrait aussi se référer à Justice, notamment pour le côté électro-rock cradingue..). Une belle brochette d’inspirations, en somme. Reward, on reprend depuis le début : Trentemoeller débarque sur la scène musicale en 1997, avec son groupe Trigbag. Ils jouent en live, avec un batteur et un bassiste. En 2000 l’aventure s’achève, et il s'essaie alors à tout : breakbeat, jazz, rock… Ces influences musicales se ressentent dans The Last Resort, qui fleure bon le dub (Nightwalker, Evil Dub), le rock, et même l’ambiant. Une fois ses premières amours électroniques retrouvées, c’est grâce à la rencontre avec l’excellent artiste et producteur Steve Bug que la carrière du danois va prendre toute son ampleur, en même temps qu’il rentre dans l’écurie Poker Flat. Mais à l’époque, le son que nous révèle Trentemoller est bien loin de ce qu’il nous laisse paraître aujourd’hui : les titres étaient plus rapides, plus dance, voire techno (Rykketid, sur le maxi Physical fraction). Trentemoller est aussi le grand manitou remixeur d’une floppée de groupes comme The Knife, Röyksopp, les Pet Shop Boys ou Moby. The Last Resort est donc une espèce d’œuf Kinder, on croit y trouver un fleuron dance, quand on tombe en fait sur une perle glacée. Le plus étonnant, c’est que les titres s’enchaînent et se répondent avec une réelle cohérence d’ensemble -chose plutôt rare pour un premier album. Sans doute est-ce l’effet de ces nappes atmosphériques, sortes de présences fantômes, de boussoles temporelles tapies dans l’ombre de la conscience, qui forment la trame de motifs divers et variés. Le prochain sera, paraît-il, enregistré avec une chanteuse danoise, dans un style plus électronica. Chouette, encore une surprise !
    Chroniqué par Ether le 30/11/2006

    Discographie :
    - The Last Resort (2006) 
    - The Trentemøller Chronicles (2007)

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