• http://ecx.images-amazon.com/images/I/41ASFHQ7PHL._SL500_AA300_.jpg

    Note :

    http://www.matthewshipp.com

    The Good and Evil Sessions are the first in Thirsty Ear's Blue Series Continuum, which emphasizes diverse styles of music with a rotating, leaderless cast of musicians. This one melds Danny Blume and Chris Kelly of Good and Evil fame with turntable maven Miso and some of the heavy-hitters from the avant-garde jazz world, including bassist William Parker, pianist Matthew Shipp, and trumpeter Roy Campbell. The results are unpredictable and deliciously sassy, with groove-based throbs, jazz beats, and turntable scratches setting the stage for down-in-the-bucket solos that purr with joyous abandon. Free improv meets punk and dance rhythms laced with foot-tapping, body-swaying pulses. While the pop inflections are certain to spark a debate within the tiny but intense and vocal free jazz community over the commercialization of art, the generally uncompromising improvisations of the Shipp/Parker contingent stand up reasonably well even if somewhat less-intense and complex than usual. This sort of crossover fusion could widen the appeal of these otherwise relatively obscure though extremely talented performers. Shipp is in superb form, spinning webs of simple (though never simplistic) phrases, veiled by supple nuance. Miso's scratches are a constant, subversive presence, while the Blume-Kelly guitar duo keeps the hips shaking and the trombone twosome of Alex Lodico and Josh Roseman adds a raunchy bottom. Roy Campbell's fading repetitions on "On the Run" are lovingly distorted through the filter of the Good and Evil lens.

     ~ Steven Loewy
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    Origine du Groupe : North America
    Style : New Jazz , Free Jazz , Downtempo , Avant Garde , Abstract , Piano
    Sortie : 2003

    Tracklist :
    1.  Brainwash — 6:35
    2.  Then Again — 4:40
    3.  The Stakeout — 4:49
    4.  Close Call — 4:18
    5.  The Hideout — 4:39
    6.  On the Run — 4:42
    7.  Roll It Back — 4:03
    8.  Change of Plans — 5:09
    9.  Sweetbitter — 4:21

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  • http://c1.ac-images.myspacecdn.com/images02/32/l_dd073ce6c89e4f43930d8fa921434050.jpg

    Note :

    http://www.myspace.com/thirdiq

    Sortie : 2009

    Style : Nu-Jazz , Electro ,  Downtempo , Jazz , Hip Hop

    Tracklist :

    01. Breathe
    02. To Zion (feat. Maru)
    03. Lovers Fiction (feat. Yu Sakai)
    04. Beyond The Fields (Interlude)
    05. 220 Cures
    06. A Kind Of Nocturne With Shingo Suzuki
    07. Yellow
    08. All Things In The Universe (feat. Hanah)
    09. Mood
    10. 284 Cures
    11. Amaretto

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    Après « Monologue », le guitariste/producteur Yukihiro Atsumi, plus connu sous le nom de Thirdiq, revient avec un nouvel album « Who may find love in the imaginary axis » (dans les bacs depuis le 16 septembre) un opus où se mélange jazz, soul, hip hop avec beaucoup de subtilité…. Retour sur quelques tracks.

    Letters – The them of the film « love in the imaginary axis »
    Quoi de mieux pour conclure un album que de finir sur un morceau tel que celui-ci. « Letters » est une composition de 12 minutes à mi-chemin entre l’interlude et l’improvisation. Page se tourne, stylo écrit, son crépite, voix susurre… Le tout sur un musique douce où se mélange flûte, guitare, bruitages électroniques.

    « To Zion » feat Maru
    Reprendre un morceau considéré comme un classique par beaucoup est souvent un raté. S’attaquer à du Lauryn Hill n’est pas une tâche facile tant la voix de l’artiste est puissante. Mais sur cette reprise de « To Zion », Thirdiq a su trouver une adaptation « jazzy » qui pourrait redonner une seconde vie à ce track. La voix suave de Maru pourrait presque faire oublier la chanteuse des Fugees surtout au début du morceau. En même temps, depuis son Unplugged, l’artiste est un peu passée de l’autre côté…

    « Yellow »
    S’il fallait retenir un morceau, ce serait celui-ci. « Yellow » est un titre catchy très groovy. La combinaison guitare-basse-flûte est plus qu’entraînante. Sur les 50 premières secondes les instruments s’enchaînent avec beaucoup de subtilité s’en se cannibaliser les uns les autres.

    « All The Things of the Univers » feat hanah
    « All The Things of the Univers » transporte. L’association guitare-voix sublime le morceau et Hanah rappellerait presque Amel Larrieux.

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  • http://www.dustygroove.com/images/products/r/regal~~~~~~_timepast~_101b.jpgNote :

    http://www.myspace.com/djregal

    Sortie : 2009
    Style : Jazz Hip Hop , Funk , Soul

    Tracklist :
    1. J.Z. Funk
    2. Tomorrow's Children feat. Josh Schoix (Lottum Strasse Interlude)
    3. Time Past (The Brass Guitar Interlude)
    4. The Pequod (Buz Ribs Nixon Interlude)
    5. The Candidate feat. Ray Mann (Sol Days Interlude)
    6. As I Walk The Earth, My True Love Waits For Me feat. Josh Schoix
    7. Planetarium
    8. Ruci Sez feat. Josh Schoix & Gideon Priess
    9. We Go Thru Life...Until The End feat. Edvesen (Outro)

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    Funky and eclectic beatcraft from DJ Regal -- a pretty moody set of funky boombap beats, heady bass lines and moody elements on the outer edges! Regal gets a variety of moods out on these tracks, from dusty soul beat hip hop backdrops, spacey bits of soul jazz keys and other echoey bits, spaced out bits of reggae, more head nodding funky parts to more less beat reliant modes that are more about mood! Titles include "JZ Funk" Time Past", "The Pequod", "Planetarium", "Ruck Sez" feat Josh Schoix & Gideon Priess, "We Go Thru Life. . .Until The End" feat Edseven and more.
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  • http://4.bp.blogspot.com/_k0A6Op01SGk/Sq2w3jymd_I/AAAAAAAAAnU/-SKWX-IQHBU/s320/bohren.jpg 
    http://www.bohrenundderclubofgore.de
    http://www.myspace.com/derclubofgore

    Parler d’un album de Bohren & der Club of Gore, c’est s’exposer à la cruauté dans toute sa splendeur.

    Dolores est une femme : elle évoque le mystère, l’érotisme ; c’est la présence de cet autre que l’on sent lorsqu’on éteint les lumières. Mais elle est aussi la douleur, le tourment infini, qui ne fait que se répéter. C’est une plaie ouverte, l’image figée de la mère désemparée au pied de son fils crucifié, la mater dolorosa.

    Dolores, enfin, est le nom du dernier album de Bohren & Der Club of Gore. Après l’impressionnant Geisterfaust en 2005, où la touche minimale se trouvait dans un climat à la fois aérien et lourd, ces derniers livrent encore une épreuve musicale unique. Unique, puisque les allemands continuent à creuser dans la brèche ouverte par leurs productions antérieures, à savoir manier le sublime dans sa profondeur sombre et inquiétante. Dans la musique de Bohren & Der Club of Gore, la lumière ne mérite son éclat que dans l’obscurité et inversement, le noir ne se donne à voir que dans la blancheur. C’est toujours une harmonie impure, avec ses contradictions, ses renversements.

    Au fil du temps, l’aspect rugueux et brut de la surface musicale du quartet — Gore Motel de 1994 en témoigne — laisse la place petit à petit à une légèreté dans les compositions, sans perdre de leurs poids habituels. Chose intéressante, le “Kleiner Finger”, dernier morceau de Geisterfaust, appelle étrangement Dolores. Dans “Still am Tresen”, on retrouve cet aspect brumeux que possédait Sunset Mission, tandis que le rythme s’étire dans “Werk”, jusqu’à ce que son auditeur s’y perde.
    Et c’est là peut-être que réside l’originalité et le génie de Bohren & Der Club of Gore : mettre celui qui écoute dans une attente qui s’inscrit dans la durée, avec un travail minutieux du rythme et de l’harmonie. Le résultat de ce procédé fait qu’on se rend rarement compte des changements d’état qui opèrent dans la musique, et quand on en prend conscience, il est déjà trop tard.

    Chaque morceau, en ce sens, fonctionne comme les réminiscences d’un passé déjà révolu ou d’un futur qui n’est pas encore arrivé. Cette musique n’est pas triste ; mais elle a en elle cette espèce de cruauté résultant d’un travail de deuil incessant qui traverse chaque album, chaque note. La musique de Bohren & Der Club of Gore est une éloge funèbre, une lamentation envers une perte de ce que l’on n’a jamais vraiment possédé. Dolores continue à nourrir le vide qui ronge chaque être, ce puits noir qui est la source même de notre présence angoissante sur cette terre.

    par Umut Ungan,
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    Note :

    Sortie : 2008
    Style : Jazz Ambient

    Tracklist :
    01 Staub 7:51
    02 Karin 3:37
    03 Schwarze Biene (Black Maja) 8:11
    04 Unkerich 5:31
    05 Still am Tresen 3:58
    06 Welk 6:18
    07 Von Schnäbeln 3:56
    08 Orgelblut 6:12
    09 Faul 5:56
    10 Welten 6:53
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  • http://ecx.images-amazon.com/images/I/519ao7RVJPL._SL500_AA280_.jpg


    http://www.myspace.com/unkleho

    If you know your Aussie hip-hop you’ll have no doubt tasted the fruits produced by this rather creative chap. Unkle Ho actually produces for The Herd, the group that brought us such tracks as Scallops, Burn Down The Parliament, and their cover of the classic I Was Only 19. Both The Herd and Unkle Ho are signed to Aussie label Elefant Traks, one that I am loving more and more as each day passes. The material released on Elefant Traks is not bound to any rules or constraints, full creativity is encouraged and I believe this helps the artists to flourish and deliver a more developed and well rounded end result. This is entirely the case with Unkle Ho’s latest release Circus Maximus, but enough from me, let’s see what he has to say for himself in this, another edition of, 6 Questions

    1. Who Are You? Unkle Ho, gypsy beats producer from Sydney, Australia.

    2. What do you do? Produce music as Unkle Ho and also for 8 headed hip hop beast The Herd. I also help run Elefant Traks, the label that Unkle Ho and The Herd are released on.

    3. Why do you do it? Started doing it for fun and haven’t looked back. Hopefully when I’m an old man my crippling arthritis won’t stop me from tinkering on music machines.

    4. So what’s new? Well funny that you should mention that, my second album Circus Maximus is now out in shops. People can listen to what I’ve been up to in the two years since the first one.

    5. Who are you listening to at the moment? Lots of things, Waiting For Guiness’ new album is great, this Russian band called Billy’s Band, local Aussie band called Because of Ghosts and some top shelf dancehall from Mista Savona.

    6. What’s your best nugget of wisdom? Hmm, one who cuts his own wood is twice warmed…

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    Note :

    Tracklist :

    Sortie 2007

    Label : Elefant Traks


    01.affogato 03:58
    02.circus maximus 04:17
    03.bar chutzpah 03:12
    04.bally broad feat. jane tyrrell 04:18
    05.hiroshi waltz 03:32
    06.big bad rag 03:29
    07.spaghetti eastern 04:30
    08.bermuda rectangle 04:33
    09.on my way home feat mikelangelo 04:04
    10.oum's funeral 04:02
    11.silent song 05:42

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