• http://www.blindpigrecords.com/images/covers/BP-5097.jpg

    Note : ++

    http://www.popachubby.com

    http://www.myspace.com/popachubbyband

    From Wikipedia :

    Popa Chubby, de son vrai nom Ted Horowitz, est un chanteur et guitariste  de blues  et de rock  new-yorkais.

    Originaire du Bronx à New York, son style agressif est influencé par Willie Dixon ainsi que Jimi Hendrix, Albert King ou encore Danny Gatton créant ainsi une synthèse Blues, Rock, Funk, Pop très personnelle mais transpirant le blues new-yorkais. Comme Calvin Russell, il a beaucoup plus de succès en France  qu’aux États-Unis, où il n’est connu que des spécialistes, bien que la situation ait tendance à s'inverser[réf. nécessaire]. Son nom de scène est tiré d’une expression d'argot, "pop a chubby", qui veut dire "avoir une érection", mais peut également faire référence à son embonpoint (popa/papa joufflu). Chacun de ses albums est un concept en lui-même : un album de ballades avec des chansons comme Hallelujah, de rock-punk pur ("If the Diesel Don't Get You Then the Jet Fuel Will"), ou encore de blues comme "Back Door Man" où l'on sent bien la patte du "maître"[réf. nécessaire]. Perfectionniste, c'est le roi des coups de gueule.

    En 2006 il entame une tournée en la commémoration de Jimi Hendrix, celui qui lui a fait découvrir le rock à la radio avec son Purple Haze. Il possède une collection de guitares dont une Fender que le fabricant n'avait pas répertoriée[réf. nécessaire].

    Il joue également de la batterie, qu'il lui arrive de pratiquer sur scène.

     

     

    Origine du Groupe : North America

    Style : Rock , Blues

    Sortie : 2005


    Tracklist :

    01 Hey joe [live] - 6:13
    02 Dirty lie [live] - 7:27
    03 Back door man [live] - 6:49
    04 I can't see the light of day [live] - 7:10
    05 If the diesel don't get you then the jet fuel will [live] - 5:22
    06 Sweet goddess of love & beer [live] - 6:14
    07 Motorcycle mama [live] - 6:54
    08 Somebody let the devil out [live] - 5:52
    09 Hallelujah [live] - 6:53
    10 Keep on the sunny side [live] - 4:07
    11 Time is killing me [live] - 6:26
    12 How'd a white boy get the blues? [live] - 3:10

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    Tell a Friend


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  • http://images.uulyrics.com/cover/m/marcia-ball/album-let-me-play-with-your-poodle.jpg

    Note :

    http://www.marciaball.com

    http://www.myspace.com/marciaballband

    This album of snaky swamp rock is one of Ball's best recordings. Great choice of songs (she wrote 5 of the 13) that let her show all her talents, both vocally and instrumentally. Slow-tempo songs display the force of her voice, as in "I Still Love You," and another of the many gems, "For the Love of a Man." Meanwhile, the playfulness of the title cut and "The Right Tool for the Job" allow her to have fun and let the band air it out. Then there is the perfect song to end the disc and an absolute tour de force, Randy Newman's "Louisiana 1927."

    Ball has again assembled another top-notch cast of characters who more than hold up their end of the bargain. A few of the many who shine are George Rains on drums, Mark Kazanoff, who does double duty as a co-producer and excels on various saxes, and Derek O'Brien, who also co-produced and shares much of the guitar work with Steve Williams. If you don't know Marcia Ball, this is a fantastic introduction, and if you liked her past work this is a gem you won't want to miss. ~ Bob Gottlieb

    Personnel includes: Marcia Ball (vocals, piano, Wurlitzer piano); Doyle Bramhall (vocals); Steve Williams (guitar, acoustic, electric & slide guitars, background vocals); Derek O'Brien (electric guitar, background vocals); Clarence Hollimon (electric guitar); Paul Klemperer (saxophone, tenor saxophone) Mark Kazanoff (saxophone, tenor & baritone saxophones); Red Rails (saxophone); Les Izmore (baritone saxophone); Gary Slechta (trumpet); Randy Zimmerman (trombone); Riley Osbourn (Hammond B-3 organ); Don Bennett (bass, background vocals); David Carroll (bass); Rodney Craig (drums); Fran Christina (drums, background vocals); B.E. "Frosty" Smith (tambourine, shaker/congas, percussion).

    by Award Winner
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    Origine du Groupe : North America

    Style : Blues , Rythm & Blues

    Sortie : 1997

    Tracklist :
       1.  American Dream Lyrics
       2. Can't Trust My Heart Lyrics
       3. Crawfishin Lyrics
       4. For The Love Of A Man Lyrics
       5. How Big A Fool Lyrics
       6. I Still Love You Lyrics
       7. I'm Just A Prisoner Lyrics
       8. Let Me Play With Your Poodle Lyrics
       9. Louisiana 1927 Lyrics
      10. Something I Can't Do Lyrics
      11. The Right Tool For The Job Lyrics
      12. The Story Of My Life Lyrics
      13. Louisiana 1927

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  • http://img13.nnm.ru/e/6/b/2/c/0c31b96395449067c8e53f40a1d_prev.jpg

    Note :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Magic_Sam

    Origine du Groupe : North America

    Style : Blues

    Sortie : 1969

    Tracklist :

    1. I Just Want A Little Bit
    2. What Have I Done Wrong
    3. Easy, Baby
    4. You Belong To Me
    5. It's All Your Fault
    6. I Have The Same Old Blues
    7. You Don't Love Me Baby
    8. San-Ho-Zay
    9. Stop! You're Hurting Me
    10. Keep Loving Me Baby

        * Magic Sam : vocals and guitar
        * Eddie Shaw : tenor sax
        * Lafayette Leake : piano
        * Mighty Joe Young : guitar
        * Mack Thompson : bass
        * Odie Payne Jr. : drums

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    From wikipedia :

    Devenu Magic Sam, le jeune homme commence en 1957 à enregistrer des 45 tours pour Cobra Records, dont All Your Love, qui remporte un succès local. Ce morceau est souvent considéré comme l'acte de naissance du Blues "west side .

    Très amical, bon vivant et décontract, Sam n'en est pas moins confronté aux difficultés de la vie de musicien de Blues, et de tout ce qu'elle implique à l'époque en matière notamment de consommation de tabac et d'alcool. Plus grave, en 1959, alors que sa carrière semble en train de décoller, Magic Sam est appelé à faire son service militaire. Décidé à y échapper, il déserte, ce qui lui vaut six mois de prison. Il revient traumatisé par cette expérience. Mais Sam parvient néanmoins à redevenir une figure importante des nights-clubs de Chicago, malgré des démêlés avec le syndicat local des musiciens et des problèmes de management Pour autant, aucun de ses enregistrements ne parvient à une renommée nationale, et les opportunités discographiques se font rares.

    En 1960, à la suite de la faillite de Cobra Records, Magic sam signe sur le label Chief, pour qui il enregistre notamment sa version de Every Night About This Time, de Fats Domino. Le single remporte un certain succès, ce qui reste l'exception.

    Néanmoins, le milieu des années 1960 voit la carrière de Magic Sam repartir, grâce au renouveau du Blues à la suite du British Blues Boom et au regain d'intérêt du public blanc. Il enregistre notamment Out of Bad Luck pour Crash Records, avant de signer avec Delmark Records pour That's Why I'm Crying. Il enregistre en 1967 pour Delmark son premier album, West Side Soul, qui contient notamment une version du Sweet Home Chicago de Robert Johnson (1936) . Il part ensuite en tournée pour soutenir l'album, malgré une blessure par balle à la jambe quelques jours avant le départ.

    Après une tournée aux États-Unis et en Europe, Magic Sam enregistre en 1969 son second album, Black Magic, qui doit lui permettre de "percer" au niveau international. Tournées, bonnes ventes de disques et cachets en augmentation, tout semble alors sourire au guitariste. Mais sa santé, qui n'a jamais été très bonne], se dégrade brutalement. Alors qu'il tourne en première partie de l'harmoniciste Charlie Musselwhite, Magic Sam doit être hospitalisé pour ce qu'on croit d'abord être une bronchite, mais qui se révèle en réalité une crise cardiaque.

    Sorti de l'hôpital, Magic Sam semble rétabli, tournant en Europe et en Californie, et il est question qu'il signe avec le célèbre label Stax. Mais il décède d'une nouvelle crise cardiaque le 1er décembre 1969 au matin[23]. Sa tante Lilly aura survécu à tous les enfants qu'elle a élevé .


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  • http://4.bp.blogspot.com/_9Y7oNYJgqKw/SpIX6DOb7xI/AAAAAAAADcY/d_FZvavxTSs/s320/untitled.bmp

    Note : ++

    http://www.celsosalim.com

    http://www.myspace.com/celsosalim

    Origine du Groupe : Brazil

    Style : Blues , Alternative Rock

    Sortie : 2003

    Tracklist :

    01. Intro 00:36
    02. Going Out Tonight 05:52
    03. Sweet Brown Eyes 04:58
    04. One For The Winter 03:52
    05. Slow Down 04:45
    06. Gold Hearted Lady 06:06
    07. What Kind Of Spell (You Put On Me) 03:58
    08. See You Tomorrow 07:37
    09. Ain't Gonna Fade Away 05:45
    10. Daydreamin' 06:23
    11. Don't Bother Me 04:31
    12. Funky Mama 05:16
    13. Gonna Stay 07:07

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    Produced by Celso Salim and Rafael Cury
    With classic rock, Blues and country influence this record includes 3 instrumentals and is Celso's debut on vocals. He also plays mandolin and bass on it.
    With special guests: Henry "Sol-Eh" Brewer on keyboards, Rafael Moreira on guitar, Darryl Carriere-harp & vocals, Dillo D'Araújo-guitar, Rafael Cury on vocals, Pablo Fagundes-harp, Célio de Moraes & Daniel Lima-bass, Vinícius Corrêa & Leander Motta-drums  and more. 

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  • http://lunkiandsika.files.wordpress.com/2009/10/seasick_steve_-_man_from_another_time_packshot_lowres_medium.jpg

    Note : ++

    http://www.seasicksteve.com

    http://www.myspace.com/seasicksteve

    Origine du Groupe : North America

    Style : Blues Rock , Country , Boogie

    Sortie : 2009

    Tracklist :

    1. Diddley Bo (3:51)
    2. Big Green And Yeller (4:15)
    3. Happy (To Have A Job) (3:06)
    4. The Banjo Song (3:30)
    5. Man From Another Time (3:14)
    6. That’s All (4:39)
    7. Just Because I Can (CSX) (3:40)
    8. Never Go West (3:30)
    9. Dark (3:55)
    10. Wenatchee (3:54)
    11. My Home (Blue Eyes) (2:29)
    12. Seasick Boogie (10:30)

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    « My name is Steve and I’m your walking man »

     

     

     Seasick Steve a grandi dans la rue. A 13 ans, il claque la porte de la maison et se dépatouille à coups de petits boulots. Ses séjours en prison, il a arrêté de les compter. Par contre, il se souvient que la vie en tournée, c'est un peu comme le paradis sur terre. Il a longtemps travaillé dans les studios d'enregistrement en tant que technicien ou homme à tout faire. Au début des années 90, il embarque tout son équipement et quitte le Tennessee pour Seattle. Il y créé un studio qui sera fréquenté par des groupes indie comme Modest Mouse et Bikini Kill. Et puis, bien sûr, les groupes grunge. C'est ainsi qu'il rencontre Kurt Cobain, son voisin du dessus lorsqu'il monte son propre studio, Moon Studios, à l’arrière d’un magasin de musique à Seattle et commence à enregistrer les jeunes groupes du coin. 80 disques au total. C’est ainsi qu’il collabore avec Murder City Devils et autres Bikini Kill… et, en 1996, enregistre et produit le premier album de Modest Mouse « This Is A Long Drive For Someone With Nothing To Think About ».

     

    Lors de concerts avec le bluesman R.L. Burnside, Steve prend conscience que son boogie blues et sa technique de slide peuvent plaire, (R.L. Burnside a entre autres enregistré l’album « A Ass Pocket Of Whisky », en 1996, avec l’aide du Jon Spencer Blues Explosion). Mais c’est surtout l’intérêt initial du label Fat Possum Records pour les bluesmen du nord du Mississippi qui le convainc pour de bon de se remettre à jouer.

     

    En 2001, Steve quitte les États-Unis pour la Norvège (le pays d’origine de sa femme) et emmène avec lui famille et studio. Sur place, il continue d’enregistrer, et crée son label : There’s A Dead Skunk Records. Mais quand il se décide enfin à enregistrer son premier album « Cheap », en 2004, avec le groupe suédois The Level Devils, il essuie de lourds revers de fortune : la faillite de son label et une attaque cardiaque… Malgré tout, il se remet à la tâche deux ans plus tard, seul cette fois, dans sa cuisine, sur un enregistreur 4-pistes. Le résultat attire l’attention du label indépendant britannique Bronzerat qui produira son deuxième album, « Dog House Music ».

     

    C’est le début de la notoriété : on l’invite à jouer dans des festivals, et à faire les premières parties de gros groupes.

    Il rencontre notamment Nick Cave de cette façon et celui-ci, avec son groupe Grinderman, participe à l’enregistrement du troisième album de Steve au titre éloquent : « I Started Out With Nothin’ And I Still Got Most Of It Left » (2008).

    Sur cet album, enregistré avec le batteur Dan Magnusson – un ancien membre de The Level Devils, qui l’accompagne aussi en tournée – il utilise les guitares de bric et de broc et aux noms invraisemblables qu’il fait défiler lors de ses concerts, et qui rendent son personnage encore plus rocambolesque et attachant.

     

    Car sur scène Seasick Steve communique son plaisir d’être apprécié à sa juste valeur et à 68 ans, il partage ses histoires et son boogie avec énergie et bonhomie : que cela dure encore longtemps !

    Par Tonton

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