• http://static-2.socialgo.com/cache/116370/image/1390.jpg

    http://www.myspace.com/duborchestra

    Origine du Groupe : France
    Style : Alternative Rock , Rock Dub Fusion , Psychedelic
    Sortie : 2010

    Immédiatement, à l'écoute d'" Escape ", premier titre de l'album " Sonic Deviance ", le second du quintet nantais Dub Orchestra, un parallèle s'opère avec le quatuor caennais Guns of Brixton et son dernier opus " Cap Adare ". La même couleur musicale imprègne les deux opus : un électro-dub servant de base au déploiement d'un rock fusion énergique. Sans renier le dub originel de leur création, ces groupes revendiquent aujourd'hui tête haute leurs racines, celles issues notamment du courant alternatif punk de certains de leurs membres. Une influence qui se fait de plus en plus prégnante dans leurs créations sonores, quand leurs aînés de la scène dub française y voient surtout une nécessaire diversification. Du coup, la construction musicale de ces deux albums adopte les mêmes codes : des riffs de guitares acérés, des lignes de claviers aériennes donnant une touche plus apaisée ou marquant des ruptures de rythme, des samples piochés dans les archives cinématographiques françaises ou venus d'horizons orientaux, des scratches, échos et reverb à foison et judicieusement incrustés. Mais alors, qu'est-ce qui différencie " Sonic Deviance" de " Cap Adare", que j'avais moyennement apprécié ? Un post-rock plus mesuré, moins noisecore. Donc plus harmonieux. Parce que les guitares savent s'effacer au profit de claviers aériens, que les arrangements laissent le couple drum'n bass s'exprimer à découvert (" A nap in the temple ") avant que des riffs énergiques ne s'incrustent à nouveau (" The fall ", " Behind the stars : strange encounters "), Dub Orchestra dévoile un mix savamment dosé où les instruments, rythmes et ambiances se mêlent, s'entrecroisent sans jamais se neutraliser. " Sonic Deviance " privilégie l'échange plutôt que la confrontation sonore. Un affrontement d'où les guitares et le rock sortiraient alors victorieux. En préférant cette alternative, Dub Orchestra peut se permettre toutes les audaces phoniques, quoi qu'encore trop timorée, n'hésitant pas à marier les opposés, rock progressif et psychédélique de Pink Floyd à des chants grégoriens (" Mascarade "), ou à revisiter l'électro-dub en conservant une base très classique de reggae (" Ningshi "). " Sonic Deviance " n'est pas un énième album électro-dub mâtiné de rock. C'est bien un album de rock qui s'est enrichi de l'énergie et de la chaleur du dub en empruntant les chemins de l'innovation qu'offre l'électro. Une combinaison détonante qui ne peut que ravir les amateurs des deux styles. " Opération Glaten-Buresh " ou Still waters run deep" en étant deux parfaites illustrations.
    par Stéphane  pour http://www.trip-hop.net

     


    Tracklist :
    1. Escape
    2. Mascarade
    3. Behind the Stars: Lost In Infinity
    4. Behind the Stars: Strange Encounters
    5. Behind the Stars: the Discovery
    6. Awake Dream
    7. The Fall
    8. Ningshi
    9. Adrénochrome
    10. Opération Glaken-Buresh
    11. Still Waters Run Deep
    12. A Nap In the Temple

    mp3

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  • http://i461.photobucket.com/albums/qq339/elviress/blknwht2.jpg

    http://ilovemetric.com

    http://www.myspace.com/metric

    Origine du Groupe : Canada
    Style : Alternative Rock , Electro Pop Rock
    Sortie : 2005
    Live : France (Saint Malo)

     

    " Metric prend la relève après un court moment pendant lequel les 2 DJs, qui animèrent agréablement les intermèdes du festival, passent quelques titres électro rock.

    Le pop rock incisif et mélodique de Metric, remarqué dans le film Clean de Assayas, a un peu de mal à faire oublier les Sonic mais la chanteuse Emily Haines et ses poses un peu systèmatiques et quasi chorégraphiques se lance dans la bataille afin de faire réagir au mieux les festivaliers.

    Tranquillement, le groupe de Montréal réussira à faire entendre sa pop un peu sombre et guidera le public vers la fin de la nuit. "

    par David  pour froggydelight.com

    Tracklist :
    01 Intro
    02 Succexy
    03 The list
    04 Slow night
    05 Handshakes
    06 Calculation theme
    07 Combat baby
    08 Dead disco
    09 Credits

    hd dvd rw

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  • http://multimedia.fnac.com/multimedia/FR/images_produits/FR/Fnac.com/ZoomPE/3/2/0/0886977350023.jpg

    http://www.satriani.com

    http://www.myspace.com/joesatriani

    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative Rock , Progressif Rock , Experimental , Instrumental , Guitar Hero
    Sortie : 2010

     Le poids des années n’a-t-il pas de prise sur Joe Satriani ? Tout porte à le croire à l’heure où il sort son quatorzième album. Son aventure avec le super-groupe Chickenfoot  a remis ce génie de la guitare sur le devant de la scène et ce nouvel album, Black Swans And Wormhole Wizards, vient définitivement confirmer que l’inspiration et le goût pour la composition sont toujours là.
    En ce qui nous concerne, Satch est le guitariste, avec Steve Vai, qui symbolise le plus l’alliance de la mélodie et de la technique. Il est vrai que depuis Engines Of Creation notre intérêt pour le travail du Californien avait lourdement chuté et c’est avec circonspection et curiosité que nous avons abordé Black Swans And Wormhole Wizards, et là, le bonheur enfin retrouvé d’une présence restée chaudement enfouie dans notre mémoire…

    La quintessence de Satch se révèle avec trois albums : Flying In A Blue Dream, The Extremist et Joe Satriani. Trois chefs d’œuvre très différents mais intemporels qui s’écoutent encore régulièrement avec toujours le même plaisir. C’est une douce impression de ressentir les atmosphères de ces trois albums tout au long de ce disque.
    D’abord, le premier morceau, "Premonition" qui déroule une structure simple (souvent le cas avec Satch) mais avec ce qu’il faut de mélodie. Le son s’est un peu asséché et on comprend que l’aventure Chickenfoot a laissé des traces dans l’inspiration. Prenons le morceau "Pyrrhic Victoria". On se laisse prendre au riff d’entrée qui n’aurait pas juré sur l’album des quatre rockeurs. C’est une incroyable mélodie, parfaitement aérienne comme seul Satch sait en écrire qui vient casser la fausse nonchalance du morceau. Finis les expérimentations technoïde (malgré tout plutôt réussie) ou le bazar des derniers albums.

    Un des moments les plus incontournables des albums de Satch est la sempiternelle ballade. Le cahier des charges a été un peu modifié sur Black Swans And Wormhole Wizards avec un groove pas forcément adéquat au pathos digital. "Dream Song" prend forme sur un balayage à la wah-wah et garde jusqu’au bout une sobriété qui fait plaisir à entendre. Deuxième composition qui fait office de passage obligé, "Wind In The Trees" avec la particularité d’un jeu tremblant à la wah-wah qui n’est pas courant chez Joe et qui vient quelque peu déconstruire tous les codes de la ballade larmoyante estampillée Satriani.

    Ceux qui ont aimé l’album éponyme gardent en mémoire un blues très abrasif avec une section rythmique très âpre de Manu Katché et Nathan East. Le jeu de Satriani y était juste et l’album une vraie réussite. La finesse du jeu se retrouve ici avec la pesanteur de "Littleworth Lan"» dont une légère parenté avec le génie Jeff Beck est tentante. Cas presque similaire avec "Two Sides To Every Story" qui lorgne plus vers le jazz et la funk mais avec la même justesse. A noter le bel apport de Mike Keneally aux claviers pour créer l’ambiance si entraînante de ce morceau, et au piano lors des phrases finales de "Wind In The Trees". "The Golden Room" nous ramène directement, et de manière troublante, à The Extremist avec ses rythmes indiens et cette wah-wah si caractéristique.

    L’excellent Noise, dans sa chronique de Professor Satchafunkilus And The Musterion Of Rock, écrivait : "Joe Satriani signe donc là un très bon album, même si la magie qui entourait ses débuts a tendance à disparaître au fil du temps". Bien que grand thuriféraire de Satch devant l’éternel, je ne pouvais pas donner tort à Noise. J’affirme qu’avec ce nouvel album la magie est de retour.

    par  Nuno777 pour Music Waves.fr


    Tracklist :   
    01. Premonition-03:53
    02. Dream Song-04:49
    03. Pyrrhic Victoria-05:09
    04. Light Years Away-06:11
    05. Solitude-00:58
    06. Littleworth Lane-03:46
    07. The Golden Room-05:20
    08. Two Sides to Every Story-04:10
    09. Wormhole Wizards-06:27
    10. Wind in the Trees-07:43
    11. God is Crying-04:53

    mp3

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  • http://toulouse.viciouscircle.org/images/kidcongo.jpg

    http://www.kidcongopowers.com

    http://www.myspace.com/kidcongoandthepinkmonkeybirds

    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative Rock
    Sortie : 2009

    Kid “Congo” Powers est une légende. Vous l’ignoriez ? Il est donc grand temps de vous dispenser un petit cours d’histoire du rock’n’roll !

    C’est en 1979 que Kid « Congo » rencontre un certain Jeffrey Lee Pierce, amateur de bourbon, poète, beatnik et musicien à l’occasion. Les deux comparses se découvrent une aversion commune pour la new wave et un goût prononcé pour le désert du Texas, pour les fantômes qui y rôdent et les plantes curieuses qui y poussent. Pierce l’initie rapidement à la guitare des grands maîtres du Delta que sont Charley Patton ou Son House, et tous deux se lancent dans la fondation d’un des groupes de punk rock les plus mythiques de l’ouest, j’ai nommé The Gun Club.

    Avec une franchise émérite et un son plus qu’approximatif, le groupe fait figure de précurseur du desert rock et de fer de lance du psychobilly naissant, aux cotés de Television et des Cramps. Ce sont ces derniers que Powers rejoint en 1981 en remplacement de Bryan Gregory. S’en suivent alors d’innombrables tribulations entre l’Europe et les States fin 84 lors desquelles il enregistre, entre autres, Las Vegas Story avec un Pierce de plus en plus ravagé. Il finit par atterrir à Berlin où il accompagne les Bad Seeds d’un certain Nick Cave pour plusieurs albums (dont le très bon Tender Prey). Ce n’est que dans le courant des années 2000 que Powers monte son projet solo créant les Pink Monkey Birds.

    Après le très garage Berlin Insane IV, Powers nous propose le très rythmé Dracula Boots, qui concilie, avec sagesse et méthode, rock « chicano » et R&B 50’. « Sagesse » parce que Dracula Boots peut prétendre au titre d’album « éclairé » ; Powers plonge abondamment dans l’immense culture que son parcours implique : il reprend « I Found A Peanut » des Thee Midniters, le « Funky Fly » de Bo Diddley et grappille ainsi un peu de tout ce qu’on peut trouver entre le rock tex-mex, la soul, le garage crasseux, et le funk.

    « Méthode » parce que Powers a su s’entourer de très bons musiciens ; la section rythmique de chaque titre et tout bonnement clinquante et la basse est groovante au possible (voir le génial « Pumpkin Pie »). Le tout est enregistré sur scène avec l’écho naturel d’un gymnase : Dracula Boots à l’allure d’un trip au mescal devant un film d’horreur ! Même la balade la plus simple (« La Llarona ») est dégoulinante de reverb !

    Bien campé sur des bases solides, Dracula Boots est loin d’être une révolution, mais il développe une énergie assez conséquente qui en fera remuer plus d’un ; c’est décidément une constante chez In The Red Records : quand ce n’est pas du tout bon, c’est du très bon et dans tous les cas, ça bouge énormément.

    par http://www.goutemesdisques.com


    Tracklist :
    1 Lsdc 3:35
    2 I Found A Peanut 2:32
    3 Hitchhiking 2:05
    4 Funky Fly 2:54
    5 Black Santa 3:53
    6 La Llarona 3:37
    7 Buck Angel 2:38
    8 Pumpkin Pie 2:11
    9 Bobo Boogie 3:39
    10 Rare As The Yeti 3:15
    11 Kris Kringle Ju Ju 3:04
    12 Late Night Scurry 5:00

     

    mp3

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    http://www.rodriguezlopezproductions.com

    http://www.myspace.com/omarrodriguezquintet

    Origine du Groupe : North America
    Style : Alternative Fusion Rock , Psychedelic , Experimental , Rock Progressive
    Sortie : 2010

    News !!! Desktopify this player music HERE

    From Wikipedia :
    Cizaña de los Amores is the seventeenth studio album by Omar Rodríguez-López as a solo artist. The album will be released October 18, 2010 on CD and vinyl by Rodriguez-Lopez Productions on Koncurrent in Europe, then November 8 through the US hello merch store.[1]  It is the first collaboration between Omar and vocalist Lisa Papineau, who had previously worked with The Mars Volta bandmate Juan Alderete in their band Big Sir.[2]  This record features the song "Victimas del Cielo" in studio form, having first been released on the live album Los Sueños de un Hígado.

    Cizaña was recorded in Hamburg, Germany by Omar and Lars Stalfors, with all artwork done by Sonny Kay.


    Lisa Papineau - Vocal melodies & Lyrics [tracks 1&7]
    Ximena Sariñana Rivera- Vocal melodies & Lyrics [tracks 2,3,4,5 & 6 ]
    Juan Alderete De La Peña - Bass
    Marcel Rodriguez Lopez - Drums, Organ, Piano, Synths
    Omar Rodriguez Lopez - Guitar, Piano, Synths

    Produced by Omar Rodriguez Lopez
    Mixed by Lars Stalfors
    Mastered by Mark Chalecki
    Original artwork, layout and design by Sonny Kay

    All music written, arranged and directed by Omar Rodriguez Lopez P 2010 Hija De Lola (ASCAP) & Seitrack Music/Warner Chappell Music
    except Soledad y Silencio and Nada De Amor P 2010 Hija De Lola (ASCAP) & Bontà D’Animo (BMI)


    Tracklist :
    1. Soledad Y Silencio
    2. No Hay Más Respuestas
    3. Victimas Del Cielo
    4. Corazón
    5. De Piedra
    6. Infiel Hasta La Muerte
    7. Nada De Amor
    8. Carne De Perro

     

    mp3

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