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Par DJDemonAngel le 14 Août 2010 à 11:30
Tracklist
Version de 1972 (60')
- Echoes, première partie
- Careful with That Axe, Eugene
- A Saucerful of Secrets
- One of These Days (I'm Going to Cut You into Little Pieces)
- Set the Controls for the Heart of the Sun
- Mademoiselle Nobs
- Echoes, seconde partie
Ajouts dans le director's cut
From Wikipedia :
Pink Floyd: Live at Pompeii est un film musical d'Adrian Maben, sorti initialement en 1972.
À l'origine, il s'agissait d'un projet de télévisions européennes prévoyant de filmer Pink Floyd interprétant certains de ses morceaux dans l'univers minéral de Pompéi et du Vésuve. La première version sortie en salle dure 60 minutes, et on n'y voit que les scènes de Pompéi et Paris. Cette version contenait une introduction ressemblant à Echoes avec de l'air, un sifflement et un petit air de guitare joué par David Gilmour.
Une seconde version sort en 1974 : elle ajoute vingt minutes de reportage sur Pink Floyd, alors en pleine élaboration de l'album The Dark Side of the Moon (on assiste ainsi à l'élaboration d’On the Run, d’Us and Them et de Brain Damage), ainsi que des extraits d'entretiens des quatre membres du groupe avec Adrian Maben. Cette version, de même que le director's cut, ont pour introduction un battement de coeur comme sur Speak to Me.
Seules Echoes, A Saucerful of Secrets et One of These Days apparaissent tournées sur place. Le reste a été enregistré en studio à Paris, avec des images de Pompéi projetées derrière les musiciens. Malgré les apparences, certaines scènes des titres tournés a Pompéi ont été reprises a Paris, hormis pour One of These Days. La majorité des plans concernant cette dernière chanson ont été perdus, si bien que l'on ne voit quasiment que le batteur Nick Mason sur cette séquence (il perd d'ailleurs une baguette, mais réussit à en sortir une autre tout en conservant le rythme).
Bien qu'on lui ait proposé de jouer en play-back, le groupe a préféré se produire en direct. L'acoustique de l'amphithéâtre de Pompéi est remarquable, et le cadre antique du site donne une dimension supplémentaire à la musique du groupe.
Contrairement à la très grande majorité des albums live qui sont le plus souvent enregistrés pendant des concerts, le Live at Pompeii de Pink Floyd est joué devant un théâtre vide de ses spectateurs. Ceci renforce encore l'impression d'un son totalement pur, idée récurrente chez Pink Floyd. Le film s'avère donc être « une sorte d'anti-Woodstock » (Adrian Maben), où le but serait de se focaliser sur la musique, et rien que sur la musique, laissant de côté « les réactions du public ».
En 2003 sort une version DVD dite « director's cut », qui dure 92 minutes : y ont été ajoutées des séquences en images de synthèse représentant l'espace, Pompéi et sa destruction par les laves du Vésuve, ainsi que des images provenant d'Abbey Road et des missions Apollo. Le DVD contient également le film de 1972 (60 minutes), mais avec comme générique le battement de coeur, comme la version longue de 1973.
Fiche technique
- Titre original : Pink Floyd: Live at Pompeii
- Réalisation : Adrian Maben
- Photographie : Willy Kurant et Gábor Pogány
- Montage : Nino DiFonzo, Marie-Claire Perret et José Pinheiro
- Production : Bayerischer Rundfunk (Allemagne), ORTF (France), RTBF (Belgique)
- Format : Couleurs - 1,37:1 - 35mm
- Durée : 60 minutes (durée du director's cut : 91 minutes)
- Date de tournage à Pompéi : octobre 1971
- Date de sortie : printemps 1973 (France)
Liens externes
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Par DJDemonAngel le 11 Août 2010 à 14:00
Note :
http://www.myspace.com/snowandvoices
Origine du Groupe : North America
Style : Alternative Rock , Indie , Psychedelic Pop
Sortie : 2010Beat Surrender gets an increasing amount of emails these days, not all the music "fits" the blog and by definition my personal taste but time permitting I always try to take a listen to everything that drops into my inbox and there are occasions where something on the fringes catches my attention and Snow & Voices new album Anything That Moves was one of them, the promo track that got my attention was Maybe Finland and straight of I was captivated by the vocal of Lauri Kranz.
Kranz' has a talented song-writing partner, multi-instrumentalist / producer Jebin Bruni (Aimee Mann, Fiona Apple) and together with a supporting cast of LA musicians they've come up with a nine track album of LA dream pop described as "a multi-layered aural landscape", not a bad summary. Without prior knowledge of the band I'd convinced myself they were from Scandinavia and not California (thrown off the scent by the first track title and band name maybe?), there's no L.A. sunshine to be found here and listening between dusk and darkness is recommended - Kranz' vocal and the albums melancholy fit that time of day perfectly. The album is released independently on the bands own label on May 25th.
by simon230
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Tracklist :
1. Maybe Finland (3:56)
2. Everything Coming Apart (4:39)
3. Blue (5:19)
4. I Am a Storm (2:54)
5. The Letting Go (5:27)
6. Swallow Me (5:00)
7. Mistress (4:19)
8. Liar (7:27)
9. Please Be My Lover (4:07)
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Par DJDemonAngel le 7 Août 2010 à 14:30
Note :
http://www.myspace.com/timbertimbre
Origine du Groupe : Canada
Style : Alternative Rock , Folk Psyché
Sortie : 2009Je vous avais déjà parlé de Timber Timbre (bon, j’peux pas vous faire un lien vers le billet en question, un 403 Forbidden de plus et j’explose), ce groupe canadian de folk/blues dont la notoriété ne cesse de grimper, qui a été récompensé par un prix Polaris et qui en pleine tournée américaine, ce qui devrait leur offrir une plus grande visibilité internationale. J’me prends même à espérer une tournée européenne en 2010. Comment définir leur musique… C’est en quelque sorte un mélange de Devendra Banhart et M. Ward, avec une voix qui me fait penser à Charlie Winston, notamment dans « Demon Host ». C’est génial.
par Le Choix de Mlle Elodie
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Tracklist :
1. "Demon Host"
2. "Lay Down in the Tall Grass"
3. "Until the Night is Over"
4. "Magic Arrow"
5. "We'll Find Out"
6. "I Get Low"
7. "Trouble Comes Knocking"
8. "No Bold Villain"
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Par DJDemonAngel le 2 Août 2010 à 13:00
Note :
http://www.myspace.com/guanopadano
Origine du Groupe : Italia
Style : Alternative Rock , Country , Folk , Smooth Jazz , Instrumental Experimental
Sortie : 2009Alessandro Steffana released his debut solo album to much acclaim on Important a few years back Since then he has worked as a member of Mark Ribot's Ceramic Dog project as well as Mike Patton's Mondocane.
Guano Padano, assembled by Alessandro Stefana, features guests Alessandro Alessandroni (renowned whisteler of the immortal Ennio Morricone western soundtracks), Gary Lucas (Captain Beefheart/Jeff Buckley guitarist), Chris Speed (clarinet player with Tim Berne, Uri Caine, John Zorn etc.) and, last but not least, the legendary Italian singer Bobby Solo
Guano Padano’s music is a kind of road movie, unfolding between the scorching asphalt of Highway number 4 and the juicy smells of the peasant festivals so common in the Pianura Padana. It’s a dreaming mixture of rock, psychedelia, folk and country, jazz improvisations and Morricone hints. Alessandro "Asso" Stefana and Zeno de Rossi started to work together some years ago while playing in Vinicio Capossela’s band, of which they are still steady members. For this trip they are joined by Danilo Gallo, a double bass player with a dark, meaty, gutsy style, who has shared with Zeno various adventuresmerged in El Gallo Rojo collective, one of the most interesting experiences of Italian underground and independent jazz.
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Tracklist :
01. Guano Padano
02. A Country Concept
03. El Divino
04. Epiphany
05. Bull Buster
06. Ramblin' Man
07. Jack Frost
08. Del Rey
09. Danny Boy
10. Tromp Valley
11. El Divino (alternate version)
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Par DJDemonAngel le 27 Juillet 2010 à 11:00
Note :
http://www.myspace.com/sleepysun
Origine du Groupe : North America
Style : Alternative Rock Fusion
Sortie : 2010Avant-propos : cette critique n’est absolument pas objective et n’a pas pour vocation de l’être de toute façon. Je donne mon avis sur un album qui m’a plu. C’est pourquoi il serait de bon ton lorsque le cœur vous en dit et avec une argumentation correcte d’en discuter dans les commentaires, c’est beaucoup plus enrichissant.
Je ne connaissais absolument pas ce groupe avant d’entendre parler de cet album, Fever, qui sort aujourd’hui en Grande-Bretagne et le 1er juin aux Etats-Unis. C’est pourtant bien leur deuxième album, successeur d’Embrace. Et apparemment, il est sur la même lignée. Sorti seulement quelques mois après ce premier, Fever a pour moi deux caractéristiques très importantes et prédominantes : la guitare et les voix.
Les deux sont très présents sur leur single Open Eyes, et reflètent vraiment leur place au sein de l’album. Tout comme le premier titre d’ailleurs, « Marina », qui est une démonstration d’emblée de l’esprit du groupe avec les gros riffs de guitare et de l’aisance vocale de la chanteuse. Une voix par moment extrêmement grave ou anodine, puis cristalline à vous en coller des frissons, d’une seconde à l’autre. Comme ça, comme si c’était pas la même fille. Elle enveloppera ainsi toutes les chansons, mettant une véritable empreinte sur ce qu’est « Sleepy Sun ». Les guitares, elles, sont sublimes. Rapides, électriques sans être agressives, parfois lentes et suaves. Elles savent tout faire. Les autres femmes de ce groupe.
Un autre gros atout de l’album est sa tenue. Aucune dérive, aucun impact extérieur : ils se tiennent à ce qu’ils savent bien faire. Passant des sons rock (Wild Machines) à la folk (Rigamaroo) et parfois même à la country clichée mais qui marche bien (Desert God), ils savent garder une cohérence dans la progression de leur disque. Attention, cela n’empêche pas la présence de titres plus surprenants, comme le duo essentiellement instrumental Acid Love/Desert God en plein milieu de l’album. Il y a une envie de faire voyager qui est évidente, voyager à travers les plaines arides, au milieu des dunes et des grands canyons, dans leurs régions qu’ils décrivent si bien. Accompagnés de la Sandstorm Woman et de son harmonica, pourquoi pas.
En fait le single Open Eyes n’est pas du tout représentatif de Fever. Je m’attendais à un groupe de New-wave un peu lo-fi, et puis en fait non. C’est vraiment un ensemble amusant à cerner, des ambiances très variées et envoutantes, par leur réelle simplicité. Tout un univers entre le désert et les machines (du point de vue des thèmes, mais aussi des instruments). Un album qui n’a pas d’intérêt à être analysé piste par piste, puisqu’elles sont tellement différentes les unes des autres, formant un tout qui est Fever. Lorsque l’on arrive au bout de l’album et qu’on croit comprendre la cohérence de l’ensemble, on n’en est en fait qu’au début du voyage. Alors on relance, encore une fois. Pour voir comment ça fait, quand on connait déjà. Et évidemment, c’est jamais pareil.
Par Quentin
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Tracklist :
* 1. Marina
* 2. Rigamaroo
* 3. Wild Machines
* 4. Ooh Boy
* 5. Acid Love
* 6. Desert God
* 7. Open Eyes
* 8. Freedom Line
* 9. Sandstorm Woman
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