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Seven Dub

By Reggae.fr :
Seven Dub « Dub Club Edition » (09/05/2006)
Une sortie originale vient ponctuer cette fin de printemps en lui ajoutant un brin de soleil. En effet n’en déplaise aux détracteurs ce CD apporte sa dose de bonnes vibrations dans un style qui a connu beaucoup de variantes, mais rarement avec autant de « groove ». C’est dès les premières notes que l’on sent la forte influence jazz dans cette rythmique Dub.
Les chants d’Angélique viennent encore ajouter une dimension « soul music » qui n’est pas sans rappeler certains travaux des Massive Attack, sans pour autant les copier. « Rock with me » et « Running Away » sont deux morceaux qui sortent du lot. « U & dem » s’apparente à un style Dub House avec un tempo assez binaire sur des sons très ambiance. Ajoutons au featuring d’Angélique un très bon passage avec Lone Ranger sur le « It doesn’t matter »qui amène un certain rub a dub sur ce morceau. Et n’oublions surtout pas la participation de sista Zakeya qui déchausse le micro sur le morceau « Fire ».
C’est donc dans ces tons Dub House-Jazz, Dub Soul & rub a Dub qu’oscille cet album définitivement très groovy. Un style « digital » mais assez « hype » pour être relevé. C’est certainement ce parti pris qui marque la grande différence avec les productions européennes actuelles. Un son particulier donc, qu’il faut écouter avant d’acheter. Ce style n’étant pas fait pour plaire à tous, il est en tout cas réalisé avec attention et brio, tout comme l’est la reprise « My only lover » de Gregory Isaac, qui est ici interprété par Angélique.

http://www.camille-music.com/




Camille - Music hole

Extatique ! C’est l’adjectif qui vient à l’esprit à l’écoute de « Music Hole », le troisième album de Camille. Sur cette galette chantée tout en anglais sauf quelques choeurs, la chanteuse porte sa technique de la bidouille vocale à son apogée. Métamorphosant son bel organe en une foule d’instruments, beats et sonorités, et y ajoutant un piano et quelques autres trucs, la géniale bruitiste nous a concocté un disque festif, beaucoup plus rythmé que les précédents, et qui flirte carrément par instants avec le mystique. Bref, un album de… gospel/rhythm&blues, avec quelques titres franchement dansants (...)

Discographie 

• 2002 : Le Sac des filles
• 2005 : Le Fil (réédité fin 2005 avec un 2^e disque comprenant trois inédits)
• 2006 : Live au Trianon
• 2008 : Music Hole

http://www.andrewbird.net/




Andrew Bird - Noble beast

67 concerts d'Andrew Bird sur Archive.org (formats: flac, ogg, mp3)

Andrew Bird (né le 11 juillet 1973) est un chanteur et musicien américain.

Né dans l’Illinois, il vit actuellement près de Chicago. Cet auteur-compositeur est violoniste de formation.

Collaborateur chevronné et sollicité, notamment par Neko Case, The Autumn Defense et la Handsome Family, il a commencé véritablement sa carrière commerciale avec sa collaboration avec le groupe Squirrel Nut Zippers et l’album Thrills. Poursuivant avec son groupe Bowl of Fire, Bird offre un folk nourri de multiples influences : ambient, rythme latin, rock, Ravel, et pop.

Bird se lance en solo et sort deux albums, Weather Systems et The Mysterious Production of Eggs distribués par le label Righteous Babe Records dirigé par Ani DiFranco. Les deux albums très aboutis, entre Jeff Buckley et Rufus Wainwright, montrent une progression vers un indie/folk rock de plus difficile à cataloguer. Il revient en 2007 avec Armchair Apocrypha, un album studio produit sous le label Fat Possum Records.

Son originalité est servie par l’utilisation d’instruments comme le violon et le glockenspiel. Enfin lors de ses concerts, il utilise l'oversampling pour jouer par-dessus ses propres boucles, ce qui lui offre un son plus proche du groupe de rock que de l’artiste solo. Entre jazz, folk, rock et soul, il impose un univers riche, sobre et très personnel (...)

Discographie 

• Avec Bowl of Fire :
  • Thrills (1998)
  • Oh The Grandeur (1999)
  • The Swimming Hour (2001)

• En solo :
  • Music of Hair (1997)
  • Fingerlings (2002)
  • The Balad of the Red Shoes (2002)
  • Weather Systems (2003)
  • Fingerlings 2 (2004)
  • Sovay (2004)
  • The Mysterious Production of Eggs (2005)
  • Fingerlings 3 (2006)
  • Armchair Apocrypha (2007)
  • Noble Beast (2009)

http://www.margotandthenuclearsoandsos.com/




Margot & The Nuclear So And So's - Not animal (2008)

Démarrons la semaine par une pépite musicale en la présence de Margot and the Nuclear So and So’s. Sous ce nom à rallonge se cache un groupe en provenance d’Indianapolis aux sonorités riches et variées et un songwriting soigné.

Margot and the Nuclear So and So’s est une belle découverte musicale, l’univers du groupe est simple mais pas simpliste, les compositions s’appuient sur de nombreuses familles d’instruments, l’ensemble effleure vos oreilles de la plus belle manière.

Vous pouvez en découvrir plus sur Margot and the Nuclear So and So’s en visitant le site officiel, plutôt joli d’ailleurs, et sur la page Myspace.

Je ne m’étendrais pas plus puisque une écoute aura toujours plus d’impact qu’un long discours (...)

Margot and the Nuclear So & So's - German Motor Car - A Take Away Show from La Blogotheque on Vimeo.
Margot and the Nuclear So & So's - As Tall as cliffs - A Take Away Show from La Blogotheque on Vimeo.
Margot and the Nuclear So & So's - My Baby - A Take Away Show from La Blogotheque on Vimeo.

http://www.orendafink.com/




Orenda Fink - Invisible ones

BIOGRAPHY

One of the reasons that I chose to make a solo record was that I was ready to take a different approach to songwriting than I had used previously with Azure Ray. After traveling extensively in India, Cambodia and Haiti, I began to focus more on the external world instead of the internal. I was drawn to issues like spirituality, oppression, and the mystical and interminable spirit that underlies the human condition. The challenge that I faced was representing these issues with songs. This collection of songs is my attempt at that. It is an expression of my personal experiences, revelations, and observations.    - Orenda Fink

Invisible Ones, Orenda Fink's debut solo album, relates a human journey from inward to outward, crossing boundaries of self and culture to find reconciliation with guilt, betrayal, tragedy, and regret. Orenda weaves empathetic tales of struggle with compositions that by turns haunt and offer clarity. Invisible Ones is haunted by ghosts from the earth’s four corners. It is troubled but ultimately optimistic. It is enigmatic and soulful. It is best heard with eyes closed.

“Leave It All” lures us in with its heartrending open-airiness; “Bloodline” feels like flying. On “Les Invisibles,” a resplendent chorus of Haitian voices reach to the sky in cries of transcendence. The album closes with “Animal,” a song in which surging, dirge-like percussion drives to an escalating frenzy that symbolizes the vodou cycle of life (...)